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== Géographie == |
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250 habitants en hiver, le double en été, Buffières se situe en Saône-et-Loire, en Bourgogne. Le village se trouve à 15 kilomètres de Cluny et 40 de Mâcon. |
250 habitants en hiver, le double en été, Buffières se situe en Saône-et-Loire, en Bourgogne. Le village se trouve à 15 kilomètres de Cluny et 40 de Mâcon. |
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{{multiple image | align =center | direction =horizontal | header =Représentations cartographiques de la commune | caption_align =center | total_width = 600 | image1 =Buffières OSM 01.png | caption1 =Carte OpenStreetMap | image2 =Buffières OSM 02.png | caption2 =Carte topographique | image3 =Buffières OSM 03.png | caption3 = Carte avec les communes environnantes }} |
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=== Communes limitrophes === |
=== Communes limitrophes === |
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=== Climat === |
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{{Article général|Climat de la Bourgogne-Franche-Comté|Climat de Saône-et-Loire|position=section}} |
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En 2010, le climat de la commune est de type [[Climat de la France#2010-T3|climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord]], selon une étude du [[Centre national de la recherche scientifique]] s'appuyant sur une série de données couvrant la [[normale climatique|période 1971-2000]]<ref name=Joly>{{Article |langue= fr|auteurs=Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky|titre=Les types de climats en France, une construction spatiale|périodique=Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography |numéro=501|date=18 juin 2010|doi=10.4000/cybergeo.23155|lire en ligne=http://journals.openedition.org/cybergeo/23155 |consulté le=26 janvier 2024}}</ref>. En 2020, [[Météo-France]] publie une typologie des [[Climat de la France|climats de la France métropolitaine]] dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le [[Climat de la France#MF-T2|climat océanique altéré]] et le [[Climat de la France#MF-T3|climat océanique altéré]] et est dans la région climatique [[Climat de la France#MF-R11| Centre et contreforts nord du Massif Central]], caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement<ref>{{Lien web |url= http://pluiesextremes.meteo.fr/france-metropole/Un-peu-de-geographie.html|titre=Zonages climatiques en France métropolitaine.|site =pluiesextremes.meteo.fr |consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>. |
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Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de {{tmp|10.7| °C }}, avec une [[amplitude thermique]] annuelle de {{tmp|17.2| °C }}. Le cumul annuel moyen de précipitations est de {{Unité|949 mm}}, avec {{Unité|11.2|jours}} de précipitations en janvier et {{Unité|7.7|jours}} en juillet<ref name=Joly/>. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la [[station météorologique]] de [[Météo-France]] la plus proche, « Jalogny_sapc », sur la commune de [[Jalogny]] à {{Unité|7|km}} à [[orthodromie|vol d'oiseau]]<ref>{{Lien web |url=https://fr.distance.to/Buffières,Saône-et-Loire/Jalogny,Saône-et-Loire |titre=Orthodromie entre Buffières et Jalogny |site=fr.distance.to |consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>, est de {{tmp|11.2| °C }} et le cumul annuel moyen de précipitations est de {{Unité|873.4|mm}}. {{StationMétéo|71240001}}{{,}}<ref>{{Lien web |url=https://donneespubliques.meteofrance.fr/FichesClim/FICHECLIM_71240001.pdf |titre= Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche climatologique - période 1991-2020.|site=donneespubliques.meteofrance.fr|consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |url=https://donneespubliques.meteofrance.fr/metadonnees_publiques/fiches/fiche_71240001.pdf|titre= Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche de métadonnées.|site=donneespubliques.meteofrance.fr|consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>. |
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<!-- Un tableau météorologique est affiché pour toutes les communes : |
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* disposant sur leur territoire d'une station météorologique en activité ; |
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* de plus de 2000 habitants et dont une station météorologique est située dans une commune à moins de 5 km (les distances étant mesurées de chef-lieu à chef-lieu et non de chef-lieu à station météo). |
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* de statut préfecture ou sous-préfecture ou de plus de 5000 habitants et dont une station météorologique est située dans une commune à moins de 10 km. -->Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents [[Scénario RCP|scénarios]] d'[[Émission de dioxyde de carbone|émission de gaz à effet de serre]] à partir des nouvelles [[Réchauffement climatique en France#Scénarios à l’échelle nationale|projections climatiques de référence DRIAS-2020]]<ref>{{Lien web |url=https://www.drias-climat.fr/accompagnement/sections/296|titre=Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020.|site=drias-climat.fr |consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>. Ils sont consultables sur un site dédié publié par [[Météo-France]] en novembre 2022<ref>{{Lien web |url=https://meteofrance.com/climadiag-commune|titre= Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité.|date =novembre 2022 |site=meteofrance.com |consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>. |
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== Urbanisme == |
== Urbanisme == |
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=== Typologie === |
=== Typologie === |
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Au {{date|1er janvier 2024}}, Buffières est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022<ref>{{Lien web |url=https://www.insee.fr/fr/information/6439600|titre=La grille communale de densité |site=le site de l'[[Institut national de la statistique et des études économiques|Insee]]|date=28 mai 2024 |consulté le= 29 juin 2024}}.</ref>. |
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Buffières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'[[Institut national de la statistique et des études économiques|Insee]]<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le {{date-|14 novembre 2020}} en comité interministériel des ruralités.</ref>{{,}}<ref >{{Lien web |url=https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/typologie-urbain-rural |titre=Typologie urbain / rural |site=www.observatoire-des-territoires.gouv.fr |consulté le= 3 avril 2021}}.</ref>{{,}}<ref >{{Lien web |url=https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c1902|titre=Commune rurale - définition |site=le site de l’[[Insee]] |consulté le= 3 avril 2021}}.</ref>{{,}}<ref >{{Lien web |url= https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/methodes/comprendre-la-grille-de-densite|titre= Comprendre la grille de densité|site=www.observatoire-des-territoires.gouv.fr |consulté le= 3 avril 2021}}.</ref>. |
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Elle est située hors unité urbaine<ref name=meta-insee>{{Métadonnées Commune|71065|buffieres|Buffières}}</ref> et hors attraction des villes<ref name="AAV2020">{{Lien web|url=https://www.insee.fr/fr/information/4803954|titre=Base des aires d'attraction des villes 2020.|date=21 octobre 2020|site=le site de l'[[Institut national de la statistique et des études économiques|Insee]] |consulté le= 29 juin 2024}}.</ref>{{,}}<ref name="AAV20202b">{{Lien web|url=https://www.insee.fr/fr/statistiques/4806694 |titre=En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville |auteur=Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee) |date=21 octobre 2020 |site=le site de l'[[Institut national de la statistique et des études économiques|Insee]] |consulté le= 29 juin 2024}}.</ref>. |
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=== Occupation des sols === |
=== Occupation des sols === |
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la [[base de données]] [[Europe|européenne]] d’occupation [[biophysique]] des sols [[Corine Land Cover]] (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (65 %), forêts (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)<ref name="CLC">{{Lien web |url=https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/corine-land-cover-0 |titre=CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). |site=le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.|consulté le= 16 mai 2021}}.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la [[carte de Cassini]] ({{s-|XVIII}}), la [[carte d'état-major]] (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>{{Lien web |url= https://remonterletemps.ign.fr/comparer/basic?x=4.53916666667&y=46.4308333333&z=14&layer1=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.PLANIGNV2&layer2=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.ETATMAJOR40&mode=doubleMap|titre=Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes|auteur=IGN |site=remonterletemps.ign.fr |consulté le=17 juillet 2023}}.</ref>. |
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[[Fichier:71065-Buffières-Sols.png|vignette| |
[[Fichier:71065-Buffières-Sols.png|vignette|redresse=1.4|centre|alt=Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.|Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 ([[Corine Land Cover|CLC]]).]] |
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la [[base de données]] [[Europe|européenne]] d’occupation [[biophysique]] des sols [[Corine Land Cover]] (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : |
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prairies (65 %), forêts (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)<ref name="CLC">{{Lien web |url=https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/corine-land-cover-0 |titre=CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). |site=le [https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/ site des données et études statistiques] du ministère de la Transition écologique.|consulté le= 16 mai 2021}}</ref>. |
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L'[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la [[carte de Cassini]] ({{s-|XVIII|e}}), la [[carte d'état-major]] (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref>{{Lien web |url=https://remonterletemps.ign.fr/comparer/basic?x= 4.53916666667&y= 46.4308333333&z=14&layer1=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN-EXPRESS.STANDARD&layer2=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN50.1950&mode=vSlider|titre=Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.|auteur =[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] |site = remonterletemps.ign.fr |consulté le= 16 mai 2021}}. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>. |
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== Toponymie == |
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== Histoire == |
== Histoire == |
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La première trace dans l'histoire se situe aux environs de [[914]]{{ |
La première trace dans l'histoire se situe aux environs de [[914]]{{référence nécessaire}}. L'ager buferiacensis est répertorié dans une charte capitulaire de l'abbaye de Cluny. |
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Il y aurait eu un seigneur à Buffières, même si nulle trace ne subsiste d'un château fort. Toutefois, l'hypothèse semble crédible du fait de la présence de plusieurs maisons très anciennes à Buffières : |
Il y aurait eu un seigneur à Buffières, même si nulle trace ne subsiste d'un château fort. Toutefois, l'hypothèse semble crédible du fait de la présence de plusieurs maisons très anciennes à Buffières : |
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- aux Seignes, une demeure remarquable, encore appelée ici et là "le domaine" ; |
- aux Seignes, une demeure remarquable, encore appelée ici et là "le domaine" ; |
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- en Blanet (actuellement sur Donzy-le-National), une ancienne maison-forte (ex-maison Carrette), dite "château des Murgers" |
- en Blanet (actuellement sur Donzy-le-National), une ancienne maison-forte (ex-maison Carrette), dite "château des Murgers" aux XVII et XVIIIe siècles. Sa place lui permettait de contrôler le passage sur l'ancien chemin de Buffières à Donzy-le-National (ou Royal, avant [[1789]]) avant la construction du chemin départemental ({{numéro|41}} aujourd'hui) ; |
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- sur la Louère, des traces visibles d'avion (et sur photos |
- sur la Louère, des traces visibles d'avion (et sur photos satellites) d'une construction importante. |
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Le "château" visible en dessous du Fourneau n'est en rien un vestige du Moyen Âge. Il s'agit d'une demeure bourgeoise, construite, semble-t-il, au début du {{s-|XIX|e}}. Le lieu s'appelle le Chapo, source peut-être d'une confusion de mots. |
Le "château" visible en dessous du Fourneau n'est en rien un vestige du Moyen Âge. Il s'agit d'une demeure bourgeoise, construite, semble-t-il, au début du {{s-|XIX|e}}. Le lieu s'appelle le Chapo, source peut-être d'une confusion de mots. |
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La Révolution et ses conséquences vont entraîner un phénomène important qui se retrouve encore aujourd'hui dans la vie communale. |
La Révolution et ses conséquences vont entraîner un phénomène important qui se retrouve encore aujourd'hui dans la vie communale. |
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=== Traces de l'histoire === |
=== Traces de l'histoire === |
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Elle est également active au sein de plusieurs groupements de communes : |
Elle est également active au sein de plusieurs groupements de communes : |
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* regroupement pédagogique intercommunal (RPI) des écoles de Buffirèes et Sivignon ; |
* regroupement pédagogique intercommunal (RPI) des écoles de Buffirèes et Sivignon ; |
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* SIVU centre de première intervention de l' |
* SIVU centre de première intervention de l'ouest Clunisois ; |
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* Syndicat des eaux de la Guye (SIEG) ; |
* Syndicat des eaux de la Guye (SIEG) ; |
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* Syndicat départemental d'énergie de Saône-et-Loire (Sydesl). |
* Syndicat départemental d'énergie de Saône-et-Loire (Sydesl). |
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[[Fichier:Église St Denis Buffières 4.jpg|vignette|Église Saint-Denis.]] |
[[Fichier:Église St Denis Buffières 4.jpg|vignette|Église Saint-Denis.]] |
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=== Lieux et monuments === |
=== Lieux et monuments === |
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* L'église [[Art roman|romane]], placée sous le vocable de saint Denis, dont une partie a été construite pendant le {{s-|XIII|e}}. Elle présente un bel ensemble de vitraux du début du |
* L'église [[Art roman|romane]], placée sous le vocable de saint Denis, dont une partie a été construite pendant le {{s-|XIII|e}}. Elle présente un bel ensemble de vitraux du début du {{s-|XX}}, sortis de l’atelier Bertrand, peintres verriers à [[Chalon-sur-Saône]] (les vitraux du chœur, de la travée du clocher et des bas-côtés correspondent à une première phase de création : signés ''C. Bertrand'', ils ont été installés au tout début du {{s-|XX}}). |
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=== Personnalités liées à la commune === |
=== Personnalités liées à la commune === |
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* Dom Célestin Fumet (1876-1936), [[Ordre des Chartreux|chartreux]], né à Buffières sous le nom de Claude Fumet. Entré à la [[Grande Chartreuse]] en 1900, il fut nommé à la [[Chartreuse Sainte-Marie de Montealegre|chartreuse de Montealegre]] en Espagne où il fut assassiné par les {{citation|rouges}} le 20 juillet 1936<ref>{{es}} José María Canals, ''Martirio de los monjes de Montalegre asesinados en Tiana y en Barcelona el día 20 de julio del 1936 y el 15 de octubre del mismo año'', [[Grande Chartreuse]], 1996, A4, pp. 11-13</ref>. C'est la raison pour laquelle, à l’entrée de la nef de l'église Saint-Denis, un grand ensemble formé de trois vitraux (signé ''C. Bertrand et ses fils'') installés vers 1938 présente saint Bruno, en habit de chartreux, devant les bâtiments du monastère de la Grande Chartreuse. |
* Dom Célestin Fumet (1876-1936), [[Ordre des Chartreux|chartreux]], né à Buffières sous le nom de Claude Fumet. Entré à la [[Grande Chartreuse]] en 1900, il fut nommé à la [[Chartreuse Sainte-Marie de Montealegre|chartreuse de Montealegre]] en Espagne où il fut assassiné par les {{citation|rouges}} le 20 juillet 1936<ref>{{es}} José María Canals, ''Martirio de los monjes de Montalegre asesinados en Tiana y en Barcelona el día 20 de julio del 1936 y el 15 de octubre del mismo año'', [[Grande Chartreuse]], 1996, A4, pp. 11-13</ref>. C'est la raison pour laquelle, à l’entrée de la nef de l'église Saint-Denis, un grand ensemble formé de trois vitraux (signé ''C. Bertrand et ses fils'') installés vers 1938, présente saint Bruno, en habit de chartreux, devant les bâtiments du monastère de la Grande Chartreuse. |
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* Firmin Verjat, habitant de Buffières et père de seize enfants, qui, en 1917, reçut le « |
* Firmin Verjat, habitant de Buffières et père de seize enfants, qui, en 1917, reçut le « prix [[Étienne Lamy]] » (et la somme de 10 000 francs) créé par le secrétaire perpétuel de l'[[Académie française]] pour aider les pères de familles pauvres, mais nombreuses qui « par des privations quotidiennes et volontairement subies, perpétuent encore des foyers riches d'enfants »<ref>Le 15 juin 1916, Étienne Lamy, avait créé une fondation dotée de 500 000 francs confiés à l'[[Institut de France]] et produisant un revenu annuel d'environ 25 000 francs, pour aider les pères de familles pauvres mais nombreuses qui {{citation|par des privations quotidiennes et volontairement subies, perpétuent encore des foyers riches d'enfants}}, parce que {{citation|restaurer la fécondité de notre race est le plus essentiel intérêt de la France}} (p. 127). Au sujet de la récompense que reçut Firmin Verjat, lire : « Chez un lauréat du prix Étienne Lamy (1917) », texte de [[René Bazin]] de l'Académie française paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 116 de décembre 1998, pages 2 et 3.</ref>. |
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== Pour approfondir == |
== Pour approfondir == |
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=== Bibliographie === |
=== Bibliographie === |
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* G. Piveteau, ''Regards sur la population d'un village au 18{{e}} siècle : Buffières'', revue « Images de Saône-et-Loire » n° 36 (janvier 1978), pp. |
* G. Piveteau, ''Regards sur la population d'un village au 18{{e}} siècle : Buffières'', revue « Images de Saône-et-Loire » n° 36 (janvier 1978), pp. 3–7. |
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=== Articles connexes ===<!--Liens vers des pages de l'encyclopédie fr.wikipedia--> |
=== Articles connexes ===<!--Liens vers des pages de l'encyclopédie fr.wikipedia--> |
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=== Notes === |
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{{Références|groupe=Note}} |
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=== Cartes === |
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=== Références === |
=== Références === |
Dernière version du 3 août 2024 à 21:37
Buffières | |||||
Panorama général. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Mâcon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Clunisois | ||||
Maire Mandat |
Michel Labarre 2020-2026 |
||||
Code postal | 71250 | ||||
Code commune | 71065 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | B’firons[1],[2] | ||||
Population municipale |
276 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 25′ 51″ nord, 4° 32′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 250 m Max. 553 m |
||||
Superficie | 12,13 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Cluny | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
| |||||
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Buffières est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
[modifier | modifier le code]250 habitants en hiver, le double en été, Buffières se situe en Saône-et-Loire, en Bourgogne. Le village se trouve à 15 kilomètres de Cluny et 40 de Mâcon.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Chiddes | La Vineuse sur Fregande | |||
Sivignon | N | Château | ||
O Buffières E | ||||
S | ||||
Curtil-sous-Buffières | Bergesserin |
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 949 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,6 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Buffières est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (65 %), forêts (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]La première trace dans l'histoire se situe aux environs de 914[réf. nécessaire]. L'ager buferiacensis est répertorié dans une charte capitulaire de l'abbaye de Cluny.
Il y aurait eu un seigneur à Buffières, même si nulle trace ne subsiste d'un château fort. Toutefois, l'hypothèse semble crédible du fait de la présence de plusieurs maisons très anciennes à Buffières :
- aux Seignes, une demeure remarquable, encore appelée ici et là "le domaine" ;
- en Blanet (actuellement sur Donzy-le-National), une ancienne maison-forte (ex-maison Carrette), dite "château des Murgers" aux XVII et XVIIIe siècles. Sa place lui permettait de contrôler le passage sur l'ancien chemin de Buffières à Donzy-le-National (ou Royal, avant 1789) avant la construction du chemin départemental (no 41 aujourd'hui) ;
- sur la Louère, des traces visibles d'avion (et sur photos satellites) d'une construction importante.
Le "château" visible en dessous du Fourneau n'est en rien un vestige du Moyen Âge. Il s'agit d'une demeure bourgeoise, construite, semble-t-il, au début du XIXe siècle. Le lieu s'appelle le Chapo, source peut-être d'une confusion de mots.
La Révolution et ses conséquences vont entraîner un phénomène important qui se retrouve encore aujourd'hui dans la vie communale.
Traces de l'histoire
[modifier | modifier le code]A la vallée : un menhir christianisé (avec une croix posée sur la pierre).
Politique et administration
[modifier | modifier le code]La commune de Buffières est intégrée à la communauté de communes du Clunisois.
Elle est également active au sein de plusieurs groupements de communes :
- regroupement pédagogique intercommunal (RPI) des écoles de Buffirèes et Sivignon ;
- SIVU centre de première intervention de l'ouest Clunisois ;
- Syndicat des eaux de la Guye (SIEG) ;
- Syndicat départemental d'énergie de Saône-et-Loire (Sydesl).
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].
En 2021, la commune comptait 276 habitants[Note 2], en évolution de +1,85 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église romane, placée sous le vocable de saint Denis, dont une partie a été construite pendant le XIIIe siècle. Elle présente un bel ensemble de vitraux du début du XXe siècle, sortis de l’atelier Bertrand, peintres verriers à Chalon-sur-Saône (les vitraux du chœur, de la travée du clocher et des bas-côtés correspondent à une première phase de création : signés C. Bertrand, ils ont été installés au tout début du XXe siècle).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Dom Célestin Fumet (1876-1936), chartreux, né à Buffières sous le nom de Claude Fumet. Entré à la Grande Chartreuse en 1900, il fut nommé à la chartreuse de Montealegre en Espagne où il fut assassiné par les « rouges » le 20 juillet 1936[19]. C'est la raison pour laquelle, à l’entrée de la nef de l'église Saint-Denis, un grand ensemble formé de trois vitraux (signé C. Bertrand et ses fils) installés vers 1938, présente saint Bruno, en habit de chartreux, devant les bâtiments du monastère de la Grande Chartreuse.
- Firmin Verjat, habitant de Buffières et père de seize enfants, qui, en 1917, reçut le « prix Étienne Lamy » (et la somme de 10 000 francs) créé par le secrétaire perpétuel de l'Académie française pour aider les pères de familles pauvres, mais nombreuses qui « par des privations quotidiennes et volontairement subies, perpétuent encore des foyers riches d'enfants »[20].
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- G. Piveteau, Regards sur la population d'un village au 18e siècle : Buffières, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 36 (janvier 1978), pp. 3–7.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
- habitants.fr
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Buffières et Jalogny », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Buffières ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- (es) José María Canals, Martirio de los monjes de Montalegre asesinados en Tiana y en Barcelona el día 20 de julio del 1936 y el 15 de octubre del mismo año, Grande Chartreuse, 1996, A4, pp. 11-13
- Le 15 juin 1916, Étienne Lamy, avait créé une fondation dotée de 500 000 francs confiés à l'Institut de France et produisant un revenu annuel d'environ 25 000 francs, pour aider les pères de familles pauvres mais nombreuses qui « par des privations quotidiennes et volontairement subies, perpétuent encore des foyers riches d'enfants », parce que « restaurer la fécondité de notre race est le plus essentiel intérêt de la France » (p. 127). Au sujet de la récompense que reçut Firmin Verjat, lire : « Chez un lauréat du prix Étienne Lamy (1917) », texte de René Bazin de l'Académie française paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 116 de décembre 1998, pages 2 et 3.