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En novembre 2016, Claude Perdriel nomme Guillaume Malaurie directeur général délégué du groupe.
En novembre 2016, Claude Perdriel nomme Guillaume Malaurie directeur général délégué du groupe.


En décembre 2017, la direction de la société [[Renault]] annonce avoir acquis 40 % de la société Perdriel par le biais d’un accroissement de capital de cinq millions d’euros. Renault investit dans le groupe dans l’objectif d’offrir des contenus médias exclusifs aux propriétaires de ses futurs véhicules<ref>{{Article|langue=fr-FR|date=13 décembre 2017|titre=Renault prend 40 % du groupe de presse Perdriel possédant Challenges|périodique=Ouest-France.fr|lire en ligne=https://www.ouest-france.fr/economie/entreprises/renault/renault-prend-40-du-groupe-de-presse-perdriel-possedant-challenges-5444227|consulté le=2018-02-13}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article|langue=fr|titre=Renault se lance dans la presse avec Claude Perdriel|périodique=Libération.fr|lire en ligne=http://www.liberation.fr/futurs/2017/12/13/renault-se-lance-dans-la-presse-avec-claude-perdriel_1616450|consulté le=2018-02-13|date=13 décembre 2017}}.</ref>.
En décembre 2017, la direction de la société [[Renault]] annonce avoir acquis 40 % de la société Perdriel par le biais d’un accroissement de capital de cinq millions d’euros. Renault investit dans le groupe dans l’objectif d’offrir des contenus médias exclusifs aux propriétaires de ses futurs véhicules<ref>{{Article|langue=fr-FR|date=13 décembre 2017|titre=Renault prend 40 % du groupe de presse Perdriel possédant Challenges|périodique=Ouest-France.fr|lire en ligne=https://www.ouest-france.fr/economie/entreprises/renault/renault-prend-40-du-groupe-de-presse-perdriel-possedant-challenges-5444227|consulté le=2018-02-13}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article|langue=fr|titre=Renault se lance dans la presse avec Claude Perdriel|périodique=Libération.fr|lire en ligne=http://www.liberation.fr/futurs/2017/12/13/renault-se-lance-dans-la-presse-avec-claude-perdriel_1616450|consulté le=2018-02-13|date=13 décembre 2017}}.</ref>.

Début 2019, Renault monte à 45% du capital du groupe de presse [[Groupe Perdriel|Perdriel]] en injectant 2,25 millions d'euros. [[Claude Perdriel]] investit envion 2,75 millions d'euros en augmentation de capital<ref>{{Lien web |langue=fr |nom1=BFMTV |titre=Le magazine Challenges croit toujours au papier |url=https://www.bfmtv.com/economie/le-magazine-challenges-croit-toujours-au-papier-1613469.html |site=BFMTV |périodique= |date=16 janvier 2019 |consulté le=2019-07-26 }}</ref>{{,}}<ref>Le Monde Diplomatique et Acrimed, 14 décembre 2018 ([https://www.acrimed.org/IMG/png/ppav14-1.png Lire en ligne])</ref>.


== Titres édités ==
== Titres édités ==

Version du 26 juillet 2019 à 14:09

Le Groupe Perdriel est un groupe de presse français fondé par l'industriel Claude Perdriel en 1964, et dont le principal titre détenu est L'Obs.

Historique

Le groupe Perdriel (ou groupe Nouvel Observateur) est un groupe de presse français dirigé par l'industriel Claude Perdriel (société des sanibroyeurs SFA PAR). Le groupe est né en 1964, avec la création de l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur. En mars 2008, Denis Olivennes a été nommé directeur général délégué du groupe par Claude Perdriel, qui souhaite « prendre du champ »[1]. Denis Olivennes quitte le groupe pour Lagardère Active en 2010.

Le groupe a cédé en janvier 2014 les deux tiers du capital de l'hebdomadaire L'Obs (anciennement Le Nouvel Observateur) aux actionnaires du groupe Le Monde Pierre Bergé, Xavier Niel et Mathieu Pigasse. Cette offre concerne également le site internet d'information générale Rue89 (acquis par Perdriel en 2012), ainsi que les suppléments gratuits Obsession (spécialisé dans la mode, les tendances et la culture) et TéléObs. Le groupe conserve une participation de 34 %[2].

En novembre 2016, Claude Perdriel nomme Guillaume Malaurie directeur général délégué du groupe.

En décembre 2017, la direction de la société Renault annonce avoir acquis 40 % de la société Perdriel par le biais d’un accroissement de capital de cinq millions d’euros. Renault investit dans le groupe dans l’objectif d’offrir des contenus médias exclusifs aux propriétaires de ses futurs véhicules[3],[4].

Début 2019, Renault monte à 45% du capital du groupe de presse Perdriel en injectant 2,25 millions d'euros. Claude Perdriel investit envion 2,75 millions d'euros en augmentation de capital[5],[6].

Titres édités

Titres disparus

  • Le Matin de Paris, quotidien lancé en mars 1977 et suspendu en mai 1987.
  • La Presse économique, hebdomadaire lancé en 1979 et suspendu en 1980.
  • Le Nouveau Cinéma, magazine de cinéma publié entre octobre 1999 et septembre 2000, avant de fusionner au sein du supplément TéléObs du Nouvel Observateur le [7] (créé en 1993).
  • Triba, mensuel destiné aux familles recomposées, lancé en octobre 2001 et suspendu au bout du troisième numéro.

Répartition du capital

Acquisitions récentes

En juin 2016, le groupe Perdriel, propriétaire de Challenges et Sciences et Avenir, achète la société Sophia Publications, éditrice de La Recherche, L'Histoire, Historia et Le Magazine littéraire[9]

Notes et références

  1. Denis Olivennes devient directeur de la publication , article de Nouvelobs.com, 9 juin 2008.
  2. « Nouvel Obs » : les coulisses d’une vente, Fabienne Schmitt, Les Échos, 15 janvier 2014.
  3. « Renault prend 40 % du groupe de presse Perdriel possédant Challenges », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. « Renault se lance dans la presse avec Claude Perdriel », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. BFMTV, « Le magazine Challenges croit toujours au papier », sur BFMTV, (consulté le )
  6. Le Monde Diplomatique et Acrimed, 14 décembre 2018 (Lire en ligne)
  7. « Le Nouveau Cinéma », sur revues-de-cinema.net (consulté le ).
  8. « Renault devient actionnaire de Challenges », sur Le Monde.fr (consulté le )
  9. Quentin Ebrard, « Claude Perdriel seul propriétaire de « Historia », « L’Histoire », « Le Magazine littéraire » et « La Recherche » », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )

Voir aussi