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'''Jean Escoula''', né à [[Bagnères-de-Bigorre]] en 1851 et mort à [[Paris]] en 1911, est un [[sculpteur]] [[France|français]].
'''Jean Escoula''', né à [[Bagnères-de-Bigorre]] en 1851 et mort à [[Paris]] en 1911, est un [[sculpteur]] [[France|français]].


Son fils [[Jacques Escoula]] (1883-1930) est également sculpteur<ref>[http://art.loucrup65.fr/sculpteurs.htm « Jacques Escoula (1883-1930) », dans ''Art dans les Hautes-Pyrénées''], sur art.loucrup65.fr.</ref>.
Son fils [[Jacques Escoula]] (1882-1930) est également sculpteur<ref>[http://art.loucrup65.fr/sculpteurs.htm « Jacques Escoula (1883-1930) », dans ''Art dans les Hautes-Pyrénées''], sur art.loucrup65.fr.</ref>.


== Biographie ==
== Biographie ==

Version du 13 juillet 2021 à 13:00

Jean Escoula
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 59 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Maître
Maurice Journès (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant

Jean Escoula, né à Bagnères-de-Bigorre en 1851 et mort à Paris en 1911, est un sculpteur français.

Son fils Jacques Escoula (1882-1930) est également sculpteur[1].

Biographie

Jean Escoula reçoit une formation d'apprenti chez son père marbrier jusqu'en 1871. Il travaille comme praticien dans les ateliers de Jean-Baptiste Carpeaux, Jean Gautherin, Alfred Lenoir et Auguste Rodin, tout en développant parallèlement son œuvre personnel.

Entre 1884 et 1900, il exécute pour Rodin les marbres de Ève, Éternelle idole, Madame Alfred Roll (vers 1887, avec Louis Cornu), Madame Vicuna (en 1888, avec Louis Cornu), Danaïde (vers 1889), ainsi que les chevaux du Monument de Claude Gellée (en 1892, avec Victor Peter)[2].

Entre 1868 et 1908, il expose au Salon des artistes français, et de 1892 à 1910 au Salon de la Société nationale des beaux-arts.

Il remporte une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889 et à celle de 1900.

Œuvres dans les collections publiques

Salons

  • 1890 : La Mort de Procris, groupe en plâtre.
  • 1892 : Le Printemps, statue en plâtre.
  • 1895 : Nymphe des Sources, statue en plâtre.
  • 1897 : La Douleur, statue[4].
  • 1898 : La Mort de Procris, groupe en marbre.

Notes et références

  1. « Jacques Escoula (1883-1930) », dans Art dans les Hautes-Pyrénées, sur art.loucrup65.fr.
  2. Site du musée d'Orsay.
  3. Notice du musée d'Orsay.
  4. Gaston Schefer, Le Salon de 1897, Paris, Goupil & Cie, 1897, p. 89 et 95 (en ligne).

Annexes

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Bibliographie

Liens externes