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== Œuvres dans les collections publiques ==
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* [[Bagnères-de-Bigorre]] : ''Monument à [[Sophie Cottin]]'', 1910, bas-relief en marbre<ref>[https://anosgrandshommes.musee-orsay.fr/index.php/Detail/objects/1951 « Monument à Sophie Cottin »], notice sur ''anosgrandshommes.musee-orsay.fr''.</ref>.
* [[Bagnères-de-Bigorre]] :
** parc thermal : ''Muse bagnéraise'', 1909, statue en marbre<ref>{{Base Joconde|IM65002601|''Muse bagnéraise''}}.</ref> ;
** ''Monument à [[Sophie Cottin]]'', 1910, bas-relief en marbre<ref>[https://anosgrandshommes.musee-orsay.fr/index.php/Detail/objects/1951 « Monument à Sophie Cottin »], notice sur ''anosgrandshommes.musee-orsay.fr''.</ref>.
* [[Châlons-en-Champagne]], [[Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Châlons-en-Champagne|musée des Beaux-Arts et d'Archéologie]] : ''Jeunes baigneuses'', plâtre.
* [[Châlons-en-Champagne]], [[Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Châlons-en-Champagne|musée des Beaux-Arts et d'Archéologie]] : ''Jeunes baigneuses'', plâtre.
* [[Douai]], [[Musée de la Chartreuse de Douai|musée de la Chartreuse]] : ''Jeunes baigneuses'', 1888, plâtre, exposé au Salon de 1886 sous le {{numéro|3858}}.
* [[Douai]], [[Musée de la Chartreuse de Douai|musée de la Chartreuse]] : ''Jeunes baigneuses'', 1888, plâtre, exposé au Salon de 1886 sous le {{numéro|3858}}.
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* 1897 : ''La Douleur'', statue<ref>Gaston Schefer, ''Le Salon de 1897'', Paris, Goupil et {{Cie}}, 1897, {{pp.|89}} et 95 [https://archive.org/stream/salondeburt1897burt#page/90/mode/2up (en ligne)].</ref>.
* 1897 : ''La Douleur'', statue<ref>Gaston Schefer, ''Le Salon de 1897'', Paris, Goupil et {{Cie}}, 1897, {{pp.|89}} et 95 [https://archive.org/stream/salondeburt1897burt#page/90/mode/2up (en ligne)].</ref>.
* 1898 : ''La Mort de Procris'', groupe en marbre.
* 1898 : ''La Mort de Procris'', groupe en marbre.
* 1909 : ''La Muse Bagnéraise'', marbre.
* 1909 : ''Muse bagnéraise'', statue en marbre.
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Jean Escoula La Peine.jpg|''La Douleur'' (Salon de 1897).
Jean Escoula La Peine.jpg|''La Douleur'' (Salon de 1897).
Nîmes-Jardin de La Fontaine-Vers l'Amour-20101001.jpg|''Vers l'amour'' (1901), [[Nîmes]], [[jardins de la Fontaine]].
Nîmes-Jardin de La Fontaine-Vers l'Amour-20101001.jpg|''Vers l'amour'' (1901), [[Nîmes]], [[jardins de la Fontaine]].
Jean Escoula - La Muse Bagnéraise 03.jpg|''La Muse Bagnéraise'' (1909), [[Bagnères-de-Bigorre]].
Jean Escoula - La Muse Bagnéraise 03.jpg|''Muse Bagnéraise'' (1909), [[Bagnères-de-Bigorre]], parc thermal.
File:Sophie Cottin, buste en marbre.jpg|''Monument à [[Sophie Cottin]]'' (1910), [[Bagnères-de-Bigorre]].
File:Sophie Cottin, buste en marbre.jpg|''Monument à [[Sophie Cottin]]'' (1910), [[Bagnères-de-Bigorre]].
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== Notes et références ==
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== Annexes ==
== Annexes ==

Version du 12 août 2021 à 18:48

Jean Escoula
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 59 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Maître
Maurice Journès (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant

Jean Escoula né à Bagnères-de-Bigorre le et mort à Paris en est un sculpteur français.

Son fils Jacques Escoula (1882-1930) est également sculpteur[1].

Biographie

Jean Escoula reçoit une formation d'apprenti chez son père marbrier jusqu'en 1871. Il travaille comme praticien dans les ateliers de Jean-Baptiste Carpeaux, Jean Gautherin, Alfred Lenoir et Auguste Rodin, tout en développant parallèlement son œuvre personnel.

Entre 1884 et 1900, il exécute pour Rodin les marbres d’Ève, Éternelle idole, Madame Alfred Roll (vers 1887, avec Louis Cornu), Madame Vicuna (en 1888, avec Louis Cornu), La Danaïde (vers 1889), ainsi que les chevaux du Monument de Claude Gellée (en 1892, avec Victor Peter)[2].

Entre 1868 et 1908, il expose au Salon des artistes français, et de 1892 à 1910 au Salon de la Société nationale des beaux-arts.

Il remporte une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889 et à celle de 1900.

Œuvres dans les collections publiques

Salons

  • 1890 : La Mort de Procris, groupe en plâtre.
  • 1892 : Le Printemps, statue en plâtre.
  • 1895 : Nymphe des Sources, statue en plâtre.
  • 1897 : La Douleur, statue[6].
  • 1898 : La Mort de Procris, groupe en marbre.
  • 1909 : Muse bagnéraise, statue en marbre.

Notes et références

  1. « Jacques Escoula (1883-1930) », dans Art dans les Hautes-Pyrénées, sur art.loucrup65.fr.
  2. Site du musée d'Orsay.
  3. « Muse bagnéraise », notice no IM65002601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  4. « Monument à Sophie Cottin », notice sur anosgrandshommes.musee-orsay.fr.
  5. Notice du musée d'Orsay.
  6. Gaston Schefer, Le Salon de 1897, Paris, Goupil et Cie, 1897, pp. 89 et 95 (en ligne).

Annexes

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Bibliographie

Liens externes