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== Toponymie ==
== Toponymie ==
Le nom de la localité est attesté sous la forme ''Landulficurtis'' en 828<ref>{{Ouvrage |titre=Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France |éditeur= Librairie Guénégaud | nom1=[[Albert Dauzat]] |nom2=[[Charles Rostaing]] |langue=français | année=1979 | lieu=Paris |isbn=2-85023-076-6 |passage=400b}}</ref>, c'est-à-dire « domaine de Landulf », du bas latin ''curtis'' ou gallo-roman <small>*CORTE</small> « domaine, ferme », et d’un anthroponyme germanique composé des éléments ''*landa'' « territoire », et ''wulf'' « loup ». Les formations toponymiques médiévales en ''-court'' sont caractéristiques de la zone d'extension primitive des [[Francs]] et l'appellatif ''-court'' traduit l'appellatif germanique ''-hove, -hof'' « cour, ferme »
Le nom de la localité est attesté sous la forme ''Landulficurtis'' en 828<ref>{{Ouvrage |langue=fr |nom1=[[Albert Dauzat]] |nom2=[[Charles Rostaing]] |titre=Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France |lieu=Paris |éditeur=Librairie Guénégaud |année=1979 |passage=400b |isbn=2-85023-076-6}}</ref>, c'est-à-dire « domaine de Landulf », du bas latin ''curtis'' ou gallo-roman <small>*CORTE</small> « domaine, ferme », et d’un anthroponyme germanique composé des éléments ''*landa'' « territoire », et ''wulf'' « loup ». Les formations toponymiques médiévales en ''-court'' sont caractéristiques de la zone d'extension primitive des [[Francs]] et l'appellatif ''-court'' traduit l'appellatif germanique ''-hove, -hof'' « cour, ferme »


== Histoire ==
== Histoire ==
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=== Liste des maires ===
=== Liste des maires ===
{{ÉluDébut|Titre=Liste des maires successifs<ref>{{Ouvrage|langue=Français|auteur1=Lucien CHARTON|titre=LIANCOURT et sa région|passage=269|lieu=Liancourt|éditeur=|année=1980|pages totales=557|isbn=|lire en ligne=}}</ref> |Charte=commune}}
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; Monument historique
; Monument historique
{{Détail|Château de la Rochefoucauld}}
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Les anciennes dépendances du château de Liancourt datant du {{s|XVIII|e}} comprennent les communs, le pavillon du jardinier et la laiterie. Le château a été détruit<ref>{{ouvrage | auteur=Lucien Charton | titre=Liancourt et sa région | éditeur= Office d'édition du livre d'histoire | année=1995 (1{{ère}} édition 1968) | pages totales=557 | isbn=2841780538}} ; {{p.|494-508}}.</ref>{{,}}<ref>{{ouvrage | prénom1 =Philippe | nom1 =Seydoux | titre =Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise | sous-titre =Tome I. Beauvaisis, Vexin, Pays de Bray, Plateau picard et Pays de Clermont | éditeur =Éditions de la Morande | lieu =Paris | année=s.d. (2009) | pages totales=323 | isbn =2902091389}} ; {{p.|217-223}}.</ref>. L'ensemble des dépendances du château fait l’objet d’une inscription au titre des [[Monument historique (France)|monuments historiques]] depuis le {{date|3|décembre|1930|en France}}<ref>{{Mérimée|PA00114729|Communs du château de la Rochefoucauld}}</ref>.
Les anciennes dépendances du château de Liancourt datant du {{s|XVIII|e}} comprennent les communs, le pavillon du jardinier et la laiterie. Le château a été détruit<ref>{{Ouvrage | langue=fr | auteur1=Lucien Charton | titre=Liancourt et sa région | lieu=Paris/Autremencourt | éditeur=Office d'édition du livre d'histoire | année=1995 (1{{ère}} édition 1968) | pages totales=557 | isbn=978-2-84178-053-2 | isbn2=2-84178-053-8}} ; {{p.|494-508}}.</ref>{{,}}<ref>{{Ouvrage | prénom1=Philippe | nom1=Seydoux | titre=Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise | sous-titre=Tome I. Beauvaisis, Vexin, Pays de Bray, Plateau picard et Pays de Clermont | lieu=Paris | éditeur=Éditions de la Morande | année=s.d. (2009) | pages totales=323 | isbn=978-2-902091-38-6 | isbn2=2-902091-38-9}} ; {{p.|217-223}}.</ref>. L'ensemble des dépendances du château fait l’objet d’une inscription au titre des [[Monument historique (France)|monuments historiques]] depuis le {{date|3|décembre|1930|en France}}<ref>{{Mérimée|PA00114729|Communs du château de la Rochefoucauld}}</ref>.
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=== Bibliographie ===
=== Bibliographie ===
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* {{article | auteur=Raymond Poussard | titre=Les châteaux de Liancourt | périodique=Bulletin du G.E.M.O.B. | mois=décembre | année=2006 | numéro=129-130 | lieu=Beauvais}}, 62 p.
* {{article | auteur=Raymond Poussard | titre=Les châteaux de Liancourt | périodique=Bulletin du G.E.M.O.B. | mois=décembre | année=2006 | numéro=129-130 | lieu=Beauvais}}, 62 p.



Version du 23 juillet 2020 à 16:46

Liancourt
Liancourt
L'église Saint-Martin depuis le sud-est.
Blason de Liancourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Liancourtois
Maire
Mandat
Roger Menn
2020-2026
Code postal 60140
Code commune 60360
Démographie
Gentilé Liancourtois, Liancourtoises
Population
municipale
6 983 hab. (2021 en évolution de −1,55 % par rapport à 2015)
Densité 1 470 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 54″ nord, 2° 27′ 58″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 139 m
Superficie 4,75 km2
Élections
Départementales Canton de Clermont
Législatives 7e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Liancourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Liancourt
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Liancourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Liancourt
Liens
Site web https://www.ville-liancourt.fr

Liancourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Liancourtois et les Liancourtoises.

Géographie

Localisation

La commune est située dans le département de l'Oise, au pied du massif de Clermont et près de la rive gauche de la Brêche, à une distance orthodromique de 53 km au nord de Paris[1], entre le chef-lieu d'arrondissement de Clermont au nord et l'agglomération de Creil au sud.

Liancourt entre dans l'unité urbaine (ou agglomération au sens de l'Insee) de Creil composée de 22 communes et regroupant 116 662 habitants en 2009[2],[3]. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est situé à 40 km au sud[4], la capitale de la région Picardie, Amiens, se trouve à 64 km au nord[5], Beauvais se situe à 30 km à l'ouest[6] et Compiègne à 28 km à l'est[7].

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Liancourt[8]
Bailleval Rosoy
Rantigny Liancourt[8] Verderonne
Cauffry Mogneville

Classements

Avec une superficie modeste de 4,75 km2, Liancourt se place au 536e rang des 694 communes de l'Oise, alors que c'est, en 2011, la 17e commune du département par le nombre de ses habitants[9],[10].

Topographie

Le territoire communal est délimité par la Brêche à l'ouest, par les bois de Louveaucourt et de la Cavée des Meuniers (commune de Bailleval) au nord, et par le bois de Jouart (commune de Rosoy) au nord-est. Avec les zones humides boisées du fond de la vallée de la Brêche, la commune est ainsi presque entièrement entourée de forêts. Au nord et au sud, les maisons de la ville atteignent les limites de la commune. Au nord, les dernières maisons de l'agglomération sont bâties sur le territoire de la commune de Bailleval, bien que séparées de la localité par la forêt. Au sud, le long de la RD 62, une continuité urbaine avec le hameau de Mognevillette (commune de Mogneville) s'établit. À l'ouest, le long de la RD 137, la continuité urbaine avec Rantigny et Cauffry est également établie par une étroite bande de constructions, rapprochant Liancourt de sa gare située en dehors du territoire communal.

Plus d'un tiers du territoire est construit. Le centre-ville est bâti à une cinquantaine de mètres d'altitude, à peine plus que les rives de la Brêche. Jusqu'à la rivière, le terrain descend légèrement. Au nord de la RD 137 vers la gare, l'on trouve le Grand marais, et au sud, une autre zone humide avec le lieu-dit le Parc, liée au château de La Rochefoucauld. Sinon, des coteaux assez abrupts entourent la ville de trois côtés. Les pentes sont toutefois plus modérées au nord-est où un quartier résidentiel est construit en flanc de colline. Sur le plateau agricole à l'est (lieu-dit la Montagne), une altitude maximale de 139 m au-dessus du niveau de la mer est atteinte.

Hydrographie

La Brêche à Liancourt.

Liancourt est située sur la rive gauche de la Brêche qui la sépare de Rantigny. La rivière, prenant sa source à Reuil-sur-Brêche, rejoint Liancourt après avoir traversé Clermont avant de se jeter dans l'Oise à Creil. En quittant la commune de Rantigny et l'usine Saint-Gobain, la rivière sert de limite entre les deux communes. Elle longe le Grand Marais situé sur la rive gauche (commune de Liancourt) et passe sous un ancien pont ferroviaire et sous la D 37 (pont Bajac) où Cauffry se trouve sur la rive droite. Après avoir longé « le parc », lieu-dit autrefois parc du château de la Rochefoucauld, elle quitte la commune pour passer à proximité de Cauffry et de Mogneville. Elle se jette dans l'Oise à Nogent-sur-Oise.

La Béronnelle, affluent de la rive gauche de la Brêche prenant sa source à Erquery, passe également sur le territoire communal. Devenant parallèle à la Brêche à partir du village de Breuil-le-Sec, elles forment un marais ininterrompu entre leur lit sur plus de 7 km. Arrivant de Bailleval, comme la Brêche, la rivière, après avoir traversé plusieurs étangs, pénètre dans la commune après son passage sur la D 630 (entre Liancourt et Rantigny). Elle passe au lieu-dit de « la Fontaine Malade » et longe le Grand Marais situé sur sa rive droite avant de passer sous la D 137 où elle rejoint le lieu-dit du Parc. Puis, elle rejoint Mogneville où elle se jette dans la Brêche avant le moulin de Sailleville.

De plus, la commune possède trois mares : dans le Parc, avenue Louis-Aragon ; à proximité de la rue Josiane-Mouton, à l'ouest et dans le lieu-dit du Parc, au sud-ouest.

Voies de communications et transports

Réseau routier

Le rond-point de l'Île-de-France.

Liancourt est desservie indirectement par la RD 1016 Paris - Creil - Clermont - Amiens, aménagée en voie express sur sa section de Creil à Clermont. La RD 1016 passe à 2 km à l'ouest du centre-ville, l'échangeur le plus proche se trouvant sur la commune voisine de Cauffry. Trois routes départementales passent par le centre de Liancourt :

  • la RD 62 de Breuil-le-Sec à Nogent-sur-Oise par la vallée de la Brêche arrive de cette première commune par le hameau de Louveaucourt (commune de Bailleval), puis franchit une intersection avec la RD 630 (rejoignant Rantigny) et la rue Pasteur quand elle pénètre sur le territoire communal. Une déviation (avenue Louis-Aragon) évitant la rue Pasteur passe au sud-ouest de la ville et rejoint le rond-point d'Île-de-France, où elle croise la RD 137 et se poursuit par l'avenue du même nom puis par l'avenue Pierre-Bérégovoy. La route quitte la commune à la hauteur du hameau de Mognevillette (commune de Mogneville) ;
  • la RD 137, route allant de la RD 37 (Maimbeville) à la RD 44 (Noailles), arrive de Catenoy d'où l'on peut rejoindre Compiègne. Par la montagne de Liancourt, elle descend dans la vallée de la Brêche par la rue de l'École-des-Arts-et-Métiers. Elle traverse la place du Duc-de-La-Rochefoucauld puis passe par la rue Victor-Hugo. Arrivée au rond-point d'Île-de-France, elle croise la RD 62 et rejoint Rantigny et Cauffry par l'avenue Albert-Ier. Par l'une de ces deux communes, on peut rejoindre par un échangeur la voie express de la R D1016 (voir ci-dessus). La RD 137, après Cauffry, se dirige vers Mouy ;
  • la RD 29, route de Liancourt à Pont-Sainte-Maxence, débute de la rue des Arts-et-Métiers où elle passe par la rue Jule- Michelet et quitte la commune pour traverser Angicourt.

Une variante de la RD 137 existe sous la forme de la rue du Général-Leclerc, entre la colonne des Arts et Métiers et le carrefour RD 137 / RD 29 au centre-ville. Moins raide grâce à un itinéraire avec lacets, elle permet aux poids lourds d'éviter la rue de l'École-des-Arts-et-Métiers et d'arriver au sommet de la montagne de Liancourt pour rejoindre Compiègne.

Transports ferroviaires

La gare de Liancourt - Rantigny.
La commune est reliée au chemin de fer depuis 1846.
Ici, intérieur de la gare de Liancourt - Rantigny, photographiée avant la Première Guerre mondiale.

La gare de Liancourt-Rantigny, mise en service en 1846 sur la ligne de Paris-Nord à Lille, est située entre les gares de Clermont-de-l'Oise et de Creil sur la commune de Rantigny, à une distance routière de 2 km de la mairie de Liancourt. Elle est desservie par les trains TER Picardie (relation 22 Amiens - Creil - Paris). Quatorze à quinze trains par jour et par sens s'arrêtent du lundi au vendredi, et six à sept les dimanches et jours fériés. Du lundi au vendredi, la moitié des trains originent ou terminent à Creil, un changement étant donc nécessaire pour les déplacements entre Liancourt et Paris. Un TER Picardie met en moyenne 43 min pour atteindre la capitale, avec quatre arrêts intermédiaires[11].

Transports en commun

Liancourt est desservie par trois lignes d'autocars du réseau départemental Sud-Oise du Conseil général de l'Oise, exploitées par Keolis Oise à Senlis. Ces lignes ne fonctionnent que du lundi au vendredi, un service limité étant en plus proposé le samedi en période scolaire. La ligne no 1 relie Liancourt à Creil (sept allers et huit retours en période scolaire, moins pendant les vacances) et à Bailleval (période scolaire uniquement hormis le mercredi)[12]. La ligne n° 8A relie Catenoy et Sacy-le-Grand à Liancourt, sa vocation étant essentiellement scolaire avec un unique aller-retour assuré pendant les vacances (deux le mercredi). S'y ajoute toutefois un aller-retour Liancourt - Pont-Sainte-Maxence le vendredi, pour le marché de cette ville. Finalement, la ligne n° 8B assure la navette entre les différents quartiers de la ville et la gare SNCF, à raison de neuf allers et six retours, circulant pendant toute l'année[13]. Le tarif est de 1,50  pour un trajet court et de 2,00  pour un trajet long, l'aller-retour étant à respectivement 2,20  et 3,00 [14].

Accès aux aéroports

L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est éloigné de 50 km environ par la route. Il n'existe pas de liaisons directes avec cet aéroport, mais la ligne routière régionale « Picardie - Roissy » permet un accès rapide depuis Creil, avec un seul arrêt intermédiaire à Senlis[15].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Landulficurtis en 828[16], c'est-à-dire « domaine de Landulf », du bas latin curtis ou gallo-roman *CORTE « domaine, ferme », et d’un anthroponyme germanique composé des éléments *landa « territoire », et wulf « loup ». Les formations toponymiques médiévales en -court sont caractéristiques de la zone d'extension primitive des Francs et l'appellatif -court traduit l'appellatif germanique -hove, -hof « cour, ferme »

Histoire

Château au XVIIIe siècle.

Une motte castrale subsiste dans « le parc du bas », dont il reste un monticule qui semble attester une présence romaine dans la région.

Au XVIIe siècle, la ville s’appelait Liancourt-les-Belles-Eaux. L’agencement de son château, de ses jardins, de ses fontaines et de ses canaux auraient servi de modèle au prestigieux Versailles[réf. nécessaire].

La ville a connu tous les fléaux et les tourments de l’histoire: les ravages effectués par les Normands en 860 et en 891, la Jacquerie de 1358 et celle de 1429, la peste de 1348, celle de 1625, les famines qui se sont ensuivies, aggravées par les hivers rigoureux - les hommes étaient contraints à peler les arbres pour en manger les écorces - étés caniculaires, ou encore pluies de hannetons[réf. nécessaire].

La ville-seigneurie a appartenu à une très ancienne famille charentaise, les La Rochefoucauld, dont les membres le plus illustres sont François de La Rochefoucauld, auteur des Maximes et François XII de La Rochefoucauld duc de Liancourt (1747-1827), statufié sur la place de la ville. Il a créé la Ferme de la Montagne[17], école de formation professionnelle pour les orphelins de la région en 1776, à l’époque de la Guerre d’Indépendance américaine. Ce fut une expérience pilote et totalement novatrice qui donna naissance en 1780 à la première école des Arts et Métiers. Le duc de Liancourt est également fondateur, en 1818, de la Caisse d'Épargne et de Prévoyance de Paris.

À la Révolution Française, Liancourt se fait renommer Unité-sur-Oise[18].

Politique et administration

La communauté de communes du Liancourtois dans le département de l'Oise.
L'hôtel de ville et le monument aux morts entourés de leur parc.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription de l'Oise.

Elle était depuis 1802 le chef-lieu du canton de Liancourt[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Clermont.

Intercommunalité

La commune fait partie de la Communauté de communes du Liancourtois, dite de la vallée dorée.

Tendances politiques et résultats


Liste des maires

Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1795 Louis Baigue    
1795 1796 Jean André Perville    
1769 1797 M. Crotey-Bonval    
1797 1800 Pierre Joseph Godde    
1800 1802 Thomas Leclerc    
1802 1805 François Maupin du Clozeau    
1805 1813 François XIII de La Rochefoucauld    
1813 1814 Louis François Joseph Darly    
1814 1815 Antoine Paris    
1815 1832 Pierre Joseph Godde    
1832 1841 Cosme Fulgence Pillon    
1841 1848 Frédéric Gaëtan de La Rochefoucauld-Liancourt    
1848 1850 Hippolyte Maupin    
1850 1854 Frédéric Gaëtan de La Rochefoucauld-Liancourt    
1854 1865 Louis Chevallier    
1865 1870 Philippe Latour    
1870 1871 Jean-Baptiste Ponthieu    
1871 1874 Joseph Jolidon    
1874   François Émilien de La Rochefoucauld    
1875 1876 François Auguste Marie
de La Rochefoucauld
   
1876 1878 Léon Ernest Menu    
1878 1880 Louis Joseph Cuvinot    
1880 1881 Antoine Pinçon    
1881 1892 Edmond Jolidon    
1892 1904 Pierre Eugène Charton    
1904 1914 Arthur Debeaupuis    
1914 1918 Anatole Dauchin    
1918 1925 Arthur Debeaupuis    
1925 1927 Maxime Aurélien Duhamel    
1927 1929 Édouard Malard    
1929 1931 Léonce Faure    
1931 1944 Jacques Paul Soulier    
1944 1945 Paul Sarouille    
1945 1947 Charles Maine    
1947 1948 Alphonse Guillaumet    
13 juillet 1949 13 juillet 1949[Passage problématique] Georges Lenoël    
19 septembre 1952 29 janvier 1953 Georges Lensel    
1953 1965 Pierre Borau   Compagnon de la Résistance[Quoi ?].
1965 1967 Marc Gorecki-Leroy    
1967   Lucien Charton    
1967 1974 Robert Hersant[21],[22] UDF Patron de presse
Maire de Ravenel (1953 → 1969)
Les données manquantes sont à compléter.
1989 En cours
(au 29 mai 2020)
Roger Menn PS Chercheur
Président de l'OPAC Oise Habitat[23],[24]
Conseiller général de Liancourt (1988 → 2015[25])
Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27],[28]

Jumelages

La commune de Mainburg en Allemagne
La commune de Olgiate Comasco en Italie

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 6 983 habitants[Note 1], en évolution de −1,55 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0749621 2361 2621 2661 2921 3641 3251 345
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3002 6123 1123 9174 0534 6524 2864 0334 169
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 9993 9243 9283 6303 4693 3273 1203 3914 046
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
4 8505 0785 7506 1126 1786 4767 1107 1947 245
2017 2021 - - - - - - -
6 8806 983-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges en 2007

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (53,9 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 53,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 15,4 %, 15 à 29 ans = 25,2 %, 30 à 44 ans = 24 %, 45 à 59 ans = 20,2 %, plus de 60 ans = 15,2 %) ;
  • 46,1 % de femmes (0 à 14 ans = 18,5 %, 15 à 29 ans = 20,9 %, 30 à 44 ans = 20,3 %, 45 à 59 ans = 19,1 %, plus de 60 ans = 21,2 %).
Pyramide des âges à Liancourt en 2007 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90  ans ou +
1,5 
4,0 
75 à 89 ans
8,8 
10,9 
60 à 74 ans
10,9 
20,2 
45 à 59 ans
19,1 
24,0 
30 à 44 ans
20,3 
25,2 
15 à 29 ans
20,9 
15,4 
0 à 14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90  ans ou +
0,8 
4,5 
75 à 89 ans
7,1 
11,0 
60 à 74 ans
11,5 
21,1 
45 à 59 ans
20,7 
22,0 
30 à 44 ans
21,6 
20,0 
15 à 29 ans
18,5 
21,3 
0 à 14 ans
19,9 

Enseignement

Liancourt dépend de l'académie d'Amiens, on compte :

  • le groupe scolaire Jean-Macé (maternelle et primaire) ;
  • le groupe scolaire Albert-Camus (maternelle et primaire) ;
  • l'école maternelle Jean-de-La Fontaine ;
  • un collège : le collège de la Rochefoucauld ;

Liancourt ne possède pas d'école privée.

Sports

Liancourt possède :

  • deux gymnases : au collège et la salle Guy-Lejeune ;
  • un stade (dans le quartier de la Faïence) ;
  • un centre aquatique intercommunal (Piscine de la Vallée Dorée) ;
  • deux terrains de tennis à proximité du centre aquatique.

Santé

  • L'hôpital Villemin-Paul-Doumer

Centre hospitalier dépendant de l'Assistance publique - hôpitaux de Paris (AP-HP).

L'EHPAD de Liancourt. Maison de retraite de 198 lits

Cultes

Liancourt accueille le culte catholique romain dans l'église Saint-Martin.

Médias

Liancourt ne possède pas de médias basés dans la ville. Des équipes de journaux quotidiens locaux et régionaux (Le Bonhomme picard, Le Courrier picard, Le Parisien...) se relayent les informations locales. La chaîne régionale est France 3 Picardie, basée à Amiens.

Culture

Médiathèque Lucien-Charton, ouverte en 2011 dans les locaux des anciens communs du château de la Rochefoucauld.

Le Centre culturel Alexandre Urbain 5 rue du Général Leclerc comprend : une salle de spectacle, une école de musique, une école d'arts plastique et une école d'expression orale et théâtrale.

Manifestations culturelles et festivités

Fête communale et Grande cavalcade. Depuis 1999, en juin, la commune organise une Grande Cavalcade, grand défilé de chars fleuris l'après midi et illuminés le soir à la tombée de la nuit. Cette grande fête populaire se termine par un grand feu d'artifice tiré depuis la place Verte pour clôturer cette manifestation très appréciée.

Centre pénitentiaire

Le centre a été ouvert en 2004. Avant 2004, il était un établissement spécialisé notamment dans les longues peines et où, entre 1995 et 1999, le cinéaste Francis Fehr a initié l'opération "Ecrire Enfermé"[34].

Il comprend aujourd'hui[Quand ?] quatre bâtiments d’hébergement :

  • un affecté au régime maison d’arrêt (246 places) ;
  • deux sous le régime de centre de détention (384 places) ;
  • un quartier réservé aux détenus mineurs (20 places).

Chaque cellule est équipée d’une douche, on compte 10 m2 pour une simple et 14 m2 pour une double. Des cellules de 20 m2 adaptées existent pour les personnes handicapées. L’établissement dispose d’un terrain de football, d’un gymnase, d’une bibliothèque et d’un centre scolaire. Dans le quartier des mineurs, les gardiens sont en tenue de sport. Ce centre a fait parler de lui dans une affaire de violences sur détenus, où le directeur a été muté[35].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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Monument historique

Les anciennes dépendances du château de Liancourt datant du XVIIIe siècle comprennent les communs, le pavillon du jardinier et la laiterie. Le château a été détruit[36],[37]. L'ensemble des dépendances du château fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [38].

Autres éléments du patrimoine
  • Le musée national Gadzarts, dans la ferme de la Montagne ou de la Faïence, rue de la Faïence : La Fondation des Arts et métiers a acheté, un peu avant 1980, l'ancienne ferme de la Montagne dans laquelle le duc de La Rochefoucauld-Liancourt avait fondé une première école, en 1780, pour des pupilles de son régiment de dragons. Cette école a été la forme primitive des écoles impériales d'Arts et Métiers fondée en 1804 par Napoléon Ier en transférant l'école de Liancourt à Compiègne, puis, en 1806, à Châlons-en-Champagne[39]. La Fondation des Arts et Métiers y a fondé le Musée national Gadzart[40], inauguré en 1990.
  • Le tombeau du duc de La Rochefoucauld-Liancourt, à gauche du portail de la cour de ferme : le monument funéraire du tombeau du duc de La Rochefoucauld-Liancourt s'appuie contre le mur-pignon d'un ancien bâtiment agricole. Il est assorti de trois plaques commémoratives installée à de différentes occasions par les anciens élèves.
  • La colonne des Arts et Métiers, rue des Arts-et-Métiers (RD 137) / rue de la Faïence, à la sortie nord-est de la ville et à 250 m du musée Gadzarts : elle a été élevée en 1882 par les Gadzarts à l'occasion du centenaire de la création de leur première école, et rappelle les autres écoles des Arts et Métiers fondées en France[41].
  • Statue de la Rochefoucauld-Liancourt, place Rochefoucauld : elle a été érigée par les anciens élèves des écoles et par la population sur la place du même nom et inaugurée pour la première fois le . Sans le piédestal, la statue mesure 2,6 m de haut. Enlevée par les Allemands le , elle est refondue en plein bronze par les Gadzarts et remise en place le en présence du duc de Liancourt[41].

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  • L'hôtel de ville, le monument aux morts et son parc, rue Jules-Michelet : Le bâtiment de la mairie est une ancienne résidence bourgeoise. Grâce aux dispositions testamentaires prises par sa dernière propriétaire, Mme Gromard, la ville a pu l'acquérir à des conditions très avantageuses. L'inauguration a eu lieu le . À la fin des années 1960, le plan d'urbanisme prévoit la destruction de la mairie et de son parc[42], projet finalement non réalisé. L'ensemble a ensuite été restauré.
  • L'église Saint-Martin (du XIIe au XVIe siècle), place du chanoine Snejdareck : elle présente sous un vaste toit de tuile une nef de la fin de la période romane et ses collatéraux. Il y avait autrefois trois toitures différentes. Le clocher, aux baies lancéolées, et la façade ont été modifiés à partir de 1578, lors de l'édification du chœur, du transept et des chapelles avec leurs caveaux (XVIe siècle). Elle est placée sous le vocable de saint Martin. Sa façade offre une représentation du saint patron, une plaque de métal sculptée où on le voit couper son manteau, sa cape, en deux à l’aide de son épée. Roger du Plessis-Liancourt et son épouse Jeanne de Schomberg sont inhumés dans le caveau de la chapelle de face, sans monument ni inscription[43]. L'église possède cinq objets classés : la dalle funéraire d'Hélie Monnet et Catherine Bazar[44], la dalle funéraire de Jacques de Langle et Marie de Auger [45], la dalle funéraire à effigie gravée de Mathurin Serault[46] et les fonts baptismaux[47], tous classés en 1912 et le monument funéraire de Charles du Plessis et d'Antoinette de Pons composé de leur statue de marbre (classé depuis 1886)[48].
  • Parc de Liancourt, à l'ouest du centre-ville, au nord du château.
  • La pyramide au souvenir de Georges de La Rochefoucauld (1829-1861), quartier des Ducs, rue de la Pyramide.
  • Villas et maisons industrielles, au centre-ville et le long de la rue Albert-Ier entre le centre et la gare de Liancourt-Rantigny.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Armes de Liancourt

Les armes de Liancourt se blasonnent ainsi :
Ecartelé au 1) d’argent à la croix engrêlée de gueules chargée de cinq coquilles d’or, au 2) burelé d’argentet d’azur aux trois chevrons de gueules, le premier écimé, brochant sur le tout, au 3) de gueules aux monogramme des Arts et Métiers d’or, brochant sur une roue dentée du même au 4) d’azur au soc de charrue d’argent et au marteau du même passés en sautoir ; le tout d’argent à la fasce de sable.

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Lucien Charton, Liancourt et sa région, Paris/Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire, 1995 (1re édition 1968), 557 p. (ISBN 978-2-84178-053-2 et 2-84178-053-8)
  • Xavier de Courville, Liancourt, sa dame et ses jardins, S.l., s.n., (lire en ligne). (BNF 38672041), Rééditions : Paris, 1925, Librairie Bloud et Gay, (BNF 31976406) ; 2004, (BNF 39195196)
  • Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Liancourt, arrondissement de Clermont (Oise), , 146 p. (lire en ligne)
  • Raymond Poussard, « Les châteaux de Liancourt », Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, nos 129-130,‎ , 62 p.

Articles connexes

Liens externes

  • « FLiancourt », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

Notes et références

Notes

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « Orthodromie entre Liancourt et Paris », sur lion1906 (consulté le ).
  2. « Composition communale de l'agglomération : 60601-Creil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. « Résumé statistique - unité urbaine de Creil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Liancourt et Tremblay-en-France », sur lion1906 (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Liancourt et Amiens », sur lion1906 (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Liancourt et Beauvais », sur lion1906 (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Liancourt et Compiègne », sur lion1906 (consulté le ).
  8. « Communes limitrophes de Liancourt » sur Géoportail.
  9. « Commune de Liancourt (60360), Département de l'Oise (60), résumé statistique », sur Insee (consulté le ).
  10. « Résumé statistique national (fichier Excel) », sur Insee (consulté le ).
  11. [PDF] « Amiens - Paris, horaires valables du 11 décembre 2011 au 14 juillet 2012 et du 19 août 2012 au 8 décembre 2012 », sur TER Picardie (consulté le ).
  12. [PDF] « Horaires de la ligne 1 Clermont - Creil », (consulté le ).
  13. [PDF] « Horaires des lignes 8A et AB Pont-Sainte-Maxence - Liancourt - Rantigny et Angicourt - Rantigny », (consulté le ).
  14. « Tarifs réseau interurbain du CG 60 », sur Oise mobilité (consulté le ).
  15. [PDF] « Creil - Roissy, horaires valables du 11 décembre 2011 au 14 juillet 2012 et du 19 août 2012 au 8 décembre 2012 », sur TER Picardie (consulté le ).
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 400b
  17. La ferme de la Montagne" ou Liancourt, berceau des écoles d'Arts et Métiers
  18. « Liancourt - Notice Communale », sur cassini.ehess.fr (consulté le )
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Lucien CHARTON, LIANCOURT et sa région, Liancourt, , 557 p., p. 269
  21. « La mort de Robert Hersant: un empire de presse orphelin », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  22. « Robert Hersant (1920 - 1996) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  23. Victor Fortunato, « Les problèmes soulevés doivent être réglés » : Roger Menn, nouveau président de l'office HLM Oise Habitat Conseiller général depuis 1994, réélu maire de Liancourt pour la troisième fois, Roger Menn, 45 ans, a pris, au mois de juin, la présidence du conseil d'administration d'Oise Habitat », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  24. Patricia Haute-Pottier, « 14 nouveaux logements à Sacy et 11 en prévision à Liancourt », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3297,‎ , p. 17
  25. « Roger Menn ne sera pas candidat aux élections départementales », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Je vous en parle pour la dernière fois ! » Roger Menn ne briguera pas de nouveau mandat pour les prochaines élections départementales, le 29 mars, alors que les communes du canton seront désormais rattachées à Clermont, Pont-Sainte-Maxence et Nogent-sur-Oise. « Pour que la majorité du conseil général soit conservée, mon adjointe, une femme jeune et intelligente aux nombreuses compétences - Valérie mon épouse - nous représentera dans le canton du Clermontois où nous allons être intégrés », a-t-il expliqué lors de ses vœux à la population présentés dimanche ».
  26. Sylvie Molines, « Liancourt : le maire assuré d’être réélu : À la tête de la liste « Liancourt Horizon 2020 », Roger Menn, maire sortant, est sans adversaire. Il a donc l’assurance d’être réélu dimanche », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Roger Menn entame son cinquième mandat avec sa nouvelle équipe », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283,‎ , p. 17
  28. Marjorie Michaud, « Liancourt : Roger Menn réélu maire », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne) « Roger Menn, maire sortant, a été réélu à la fonction avec 22 voix pour (et 7 pour Ophélie Van Elsuwe). ».
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Évolution et structure de la population à Liancourt en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  33. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  34. « L'Opération "Ecrire enfermé" », Francis Fehr, Prison Justice n°107, janvier 2014, p. 31-37.
  35. Le Nouvel Obs
  36. Lucien Charton, Liancourt et sa région, Paris/Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire, 1995 (1re édition 1968), 557 p. (ISBN 978-2-84178-053-2 et 2-84178-053-8) ; p. 494-508.
  37. Philippe Seydoux, Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise : Tome I. Beauvaisis, Vexin, Pays de Bray, Plateau picard et Pays de Clermont, Paris, Éditions de la Morande, s.d. (2009), 323 p. (ISBN 978-2-902091-38-6 et 2-902091-38-9) ; p. 217-223.
  38. « Communs du château de la Rochefoucauld », notice no PA00114729, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. Lucien Charton, Liancourt et sa région, op. cit., p. 246-247.
  40. Centre historique des Arts et Métiers
  41. a et b Lucien Charton, Liancourt et sa région, op. cit., p. 249.
  42. Lucien Charton, Liancourt et sa région, op. cit., p. 247-248.
  43. Lucien Charton, Liancourt et sa région, op. cit., p. 251-256.
  44. « Dalle funéraire d'H.Monnet et C.Bazar », notice no PM60000971, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  45. « dalle funéraire de J.de Langle et M.de Auger », notice no PM60000972, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  46. « dalle funéraire de M.Serault », notice no PM60000970, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  47. « Fonts baptismaux », notice no PM60000969, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  48. « Monument funéraire de C.du Plessis et d'A.de Pons », notice no PM60000968, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  49. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎
  50. Christophe Levantal, Ducs et pairs et duchés-pairies laïques à l'époque moderne : 1519-1790, Paris, Maisonneuve et Larose, 1996, p. 300 et 693.