« Perthō » : différence entre les versions
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Version du 8 mai 2009 à 12:45
Perþō ou Perþrō (également transcrit Perthō ou Perthrō) est la quatorzième rune du Futhark (l'alphabet runique des anciens peuples germaniques) et la sixième de la famille de Hagalaz. Elle est précédée de Eihwaz et suivie de Algiz.
Le nom de cette rune était peorð en vieil anglais ; l'usage en fut abandonné dans la version brève de l'alphabet runique en usage en Scandinavie, de sorte qu'il n'y a pas de nom en vieux norrois. Le Codex Vindobonensis 795 donne un nom de lettre correspondant dans l'alphabet gotique sous la forme pertra, restitué en gotique comme perþra. *Perþō ou *Perþrō est la forme reconstruite pour le proto-germanique à partir de cette correspondance ; le sens de ce mot n'est pas déterminable, celui de ses descendants supposés étant déjà obscur aussi bien en gotique qu'en vieil anglais.
Cette rune notait à l'origine le son [p].
Le vieil anglais possédait une modification de cette rune nommée cweorð pour noter le son [kw]. Elle trouve un exact parallèle dans le Code Vindobonensis 795, qui cite le nom d'un lettre gotique nommée qertra (restitué en gotique sous la forme qairþra), laquelle notait un son de même nature.
Symbolique
Perþ se traduit par "expédition". Cette rune symbolise le déclenchement, les secrets et la recherche pour des réponses à ces secrets. Cette rune est liée à Sleipnir ("planeur", "fleur") et à son origine, Loki ("serrure", "extrémité"). Il symbolise un voyage au wyrd ("estime", l'autre monde). Cette rune représente un cheval dans une course verticale, montant directement vers le haut ou le bas, à Asgard(Ásgarðr) ou Hel. C'est là que la religion (païenne) est devenue un facteur dans la vie. Les mystères et le style de vie païens (avec la concurrence, les différends et la guerre comme étants normalités de la vie) nous ont éclairé et notre curiosité a rendu nos esprits meilleurs. Nous nous sommes améliorés spirituellement, parce que nous avons suivi les règles du paganisme.