[go: nahoru, domu]

Aller au contenu

« Wikipédia:Sélection/Cinéma italien » : différence entre les versions

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Agatino Catarella (discuter | contributions)
m en avance sur le label demain
Agatino Catarella (discuter | contributions)
m en avance
Ligne 2 : Ligne 2 :
| 1=Curzio Malaparte
| 1=Curzio Malaparte
| 2=Sergio Leone
| 2=Sergio Leone
| 3=La dolce vita
| nombre=2
| nombre=3
}}{{Liens vers la sélection|portail=Cinéma italien}}</includeonly><noinclude>
}}{{Liens vers la sélection|portail=Cinéma italien}}</includeonly><noinclude>
__NOTOC____NOEDITSECTION__ {{Palette Sélection d'articles par portail}} {{Catégorie cinéma italien}}
__NOTOC____NOEDITSECTION__ {{Palette Sélection d'articles par portail}} {{Catégorie cinéma italien}}

Version du 8 mai 2016 à 08:58

Liste des articles labellisés

Article de qualité Articles de qualité

  • À venir...

Bon article Bons articles

Article potentiellement bon ou de qualité Votes en cours

  • À venir...

Intentions de vote

  • À venir...

Proposer un article : bon article / article de qualité

modifier la liste

Aperçu

Curzio Malaparte
Curzio Malaparte.
Curzio Malaparte.

Curzio Malaparte, né sous le nom de Curt-Erich Suckert le à Prato en Toscane, mort le à Rome, est un écrivain, cinéaste, journaliste, correspondant de guerre et diplomate italien. Il est surtout connu en Europe pour deux ouvrages majeurs : Kaputt et La Peau. Il fit inscrire sur son mausolée, en lettres capitales : « Je suis de Prato, je me contente d'être de Prato, et si je n'y étais pas né, je voudrais n'être jamais venu au monde. » C'est dire l'importance affective qu'il attachait à la Toscane et aux Toscans, mais surtout aux habitants de Prato et de sa région. Dans la lignée de l'auteur du Décaméron, qui fut le créateur de la prose italienne, Malaparte demeure par son goût de la chronique un fils spirituel de Boccace, et l'un des prosateurs majeurs de la littérature italienne du XXe siècle.

Sergio Leone
Sergio Leone.
Sergio Leone.

Sergio Leone, né le à Rome où il est mort le , est un réalisateur et scénariste italien.

Père du western spaghetti (qu'il popularise largement, sans toutefois l'inventer, ni adhérer à l'épithète), il réalise les films Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus et Le Bon, la Brute et le Truand qui sont souvent considérés comme des classiques du cinéma, films qui révèlent l'acteur Clint Eastwood et le compositeur Ennio Morricone. Il est également célèbre pour la Trilogie du temps, composée de Il était une fois dans l'Ouest, Il était une fois la révolution et Il était une fois en Amérique.

Alors qu'il était apprécié par le public, mais boudé par la critique et ses pairs de son vivant, son importance dans l'histoire du cinéma est par la suite reconnue. Leone réussit à s'imposer parmi les grands réalisateurs grâce à son style novateur, par sa mise en scène, et par l'utilisation de la musique, composée par son collaborateur et ami Ennio Morricone. Plusieurs réalisateurs importants reconnaissent l'influence qu'il a eue sur leur travail ou l'admiration qu'ils lui portent, au premier rang desquels Quentin Tarantino.

La dolce vita
La scène de la fontaine de Trevi.
La scène de la fontaine de Trevi.

La dolce vita (prononciation italienne : [la ˈdoltʃe ˈviːta]), sorti initialement en France sous le titre La Douceur de vivre, est un film franco-italien réalisé par Federico Fellini et sorti en 1960. Le film a obtenu la Palme d'or au 13e Festival de Cannes, ainsi que l'Oscar 1962 pour les costumes.

Construit comme une succession de petits épisodes, La dolce vita suit Marcello Rubini, un journaliste de presse people, au fil d'une semaine de vie mondaine à Rome dans une recherche infructueuse de l'amour et du bonheur. Ce film marque un tournant dans la filmographie de Federico Fellini : il fait suite à trois films proches du néoréalisme : La strada (1954), Il bidone (1955) et Les Nuits de Cabiria (Le notti di Cabiria) (1957) et inaugure le vocabulaire cinématographique personnel qui deviendra définitivement la marque de fabrique « fellinienne » des films de la maturité. Aujourd'hui considéré comme un classique du cinéma italien et du cinéma en général, il a pourtant été accueilli par le scandale à sa sortie pour sa description d'une société oisive et débauchée.