[go: nahoru, domu]

Chanaz

commune française du département de la Savoie

Chanaz (prononcée [ ʃɑnɑ][Note 1]) est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Chanaz
Chanaz
Le canal de Savières à Chanaz en soirée.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Lac
Maire
Mandat
Yves Husson
2020-2026
Code postal 73310
Code commune 73073
Démographie
Gentilé Chanaziens
Population
municipale
546 hab. (2021 en évolution de +7,69 % par rapport à 2015)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 34″ nord, 5° 47′ 38″ est
Altitude Min. 220 m
Max. 572 m
Superficie 6,75 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bugey savoyard
Législatives Première circonscription
Localisation
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Chanaz
Liens
Site web chanaz.fr

La commune est surnommée la Petite Venise savoyarde en raison de la présence du canal de Savières[4]. Avec son moulin, sa maison forte, son musée gallo-romain, elle est labellisée Petite Cité de caractère. Sa situation le long de la route cyclable ViaRhôna est un autre atout touristique.

Géographie

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Plan du territoire de Chanaz.

Chanaz se trouve à l'extrémité nord de la chaîne de l'Épine, à une altitude moyenne de 250 mètres. Le village borde le canal de Savières reliant le lac du Bourget au Rhône, pratiquement à l'embouchure du canal côté Rhône. La commune comprend aussi un hameau du nom de Portout qui se trouve à trois kilomètres du village, près de l'autre bout du canal de Savières.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 348 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belley Man », sur la commune de Belley à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 099,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communication et transports

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Pistes cyclables

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Chanaz est située le long de la route cyclable ViaRhôna reliant le Léman à la mer Méditerranée.

Transport ferroviaire

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Chanaz n'est traversée par aucune ligne ferroviaire mais la ligne de Culoz à Modane (frontière) passe par la commune limitrophe de Vions, où se situe la gare de Vions - Chanaz, située à environ 2 km au nord de Chanaz.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Chanaz est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,2 %), zones agricoles hétérogènes (20,4 %), eaux continentales[Note 2] (8,9 %), terres arables (5,5 %), prairies (3,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %), zones humides intérieures (1,1 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

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Chanaz a pour formes anciennes Chanassum (1259), Channas (1272), Apud Chanas, Cura de Chagnaz (vers 1344) ou encore Castellanus Channaci (1433)[16],[17]. Le chanoine Gros ajoute que « Les citations ci-dessus sont de simples formes romanes ou des latinisations plus ou moins maladroites. Elles ne nous apprennent rien sur l'étymologie de Chanaz »[16]. Il lui semble plus probable que le nom soit un ancien Cassanate[16].

Cassanate tout comme Chanaz est issu du gaulois casnos/cassanos, avec le suffixe collectif patois -az[17], désignant un lieu où les chênes sont abondants[16],[18]. Le z final ne sert qu'à marquer le paroxytonisme et ne doit pas être prononcé[Note 1].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Shânâ, selon la graphie de Conflans[19].

Histoire

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Période antique

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De tout temps Chanaz a été un lieu de passage, dès le Ier siècle av. J.-C. le village était traversé par une voie romaine.

En 58 av. J.-C., passage de Jules César.

Moyen Âge

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Le , passage du pape Innocent IV accompagné de douze cardinaux, pour aller présider le concile de Lyon.

Le , passage du cortège funèbre du comte rouge Amédée VII de Savoie, sur le canal de Savières en direction de l'abbaye de Hautecombe.

En , passage sur le canal de Savières du nouveau comte Amédée VIII de Savoie en direction de l'abbaye de Hautecombe.

Le , Claude de Mareste, fils du seigneur du château de Culoz, épousait Jeanne de Luyrieu, fille de feu Christophe de Luyrieu, seigneur du Villard, qui lui apportait en dot de nombreux biens de Chanaz et d'Yenne, exceptant le fief du Villard, réservé[20].

Époque moderne

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En 1598, le cardinal légat du pape Alex de Médicis, arrêté par l'épidémie de peste de la vallée du Rhône, séjourne à Chanaz en attente de la visite du duc de Savoie Charles Emmanuel Ier de Savoie.

Lors du traité de Lyon le qui vit le transfert du Bugey, du pays de Gex de La Bresse et du Valromey de la Savoie à la France, Chanaz fut accordé à la France comme tête de pont sur la rive gauche du Rhône. Le traité de Turin, ou traité des limites, du vit la frontière reportée sur le fleuve[21].

En , le roi Victor-Amédée III de Sardaigne, vient visiter les digues. La même année, le comte de Provence, le futur Louis XVIII de France, fait escale à Chanaz.

Châtellenie de Chanaz

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Chanaz est le siège d'une châtellenie, dit aussi mandement (mandamentum), avant 1289[22] (année de mention d'un châtelain). Elle est l'une des six châtellenies du bailliage de Novalaise[22]. Elle est associée, dans le bailliage du Bugey, avec celle d'Yenne, créée vers 1310[22] et Rochefort, en 1295[23].

Les comptes de châtellenie, conservés aux archives départementales de la Savoie, concernent Chanaz ainsi que la châtellenie de Yenne pour la période de 1296 à 1571. Par ailleurs, une partie des comptes de Chanaz, Yenne et Rochefort se trouvent aux archives départementales de la Côte-d'Or (comprenant trente et un rouleaux de 1295 à 1442, ainsi que neuf registres de 1458 à 1533).

Dans l'organisation du comté de Savoie, le châtelain est un « [officier], nommé pour une durée définie, révocable et amovible »[24],[25], qui « depuis les débuts de la résidence, est toujours allé à un fidèle »[26]. Il est chargé de la gestion de la châtellenie, il perçoit les revenus fiscaux du domaine, et il s'occupe également de l'entretien du château[27]. Son rôle est donc multiple (judiciaire, financier et militaire).

Le châtelain est parfois aidé par un receveur des comptes, qui rédige « au net [...] le rapport annuellement rendu par le châtelain ou son lieutenant »[28].

Période contemporaine

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Le , passage sur le canal de Savières du prince Napoléon et de sa suite.

Politique et administration

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Administration municipale

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Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du conseil municipal de Chanaz :

Groupe Président Effectif Statut
DVG Yves Husson 15 majorité

Liste des maires

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Liste de l'ensemble des maires qui se sont succédé à la mairie de Chanaz :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1965 1977 Antoine Gianetto DVG ...
1977 En cours
(au 25 mars 2023)
Yves Husson DVG  

Population et société

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Les habitants de la commune sont appelés les Chanaziens[30].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 546 habitants[Note 3], en évolution de +7,69 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
488379596644698822782677697
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
680693689693647636592576528
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
596595525481411374269263276
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
323416442477483513507547546
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Chanaz relève de l'académie de Grenoble. Celle-ci évolue sous la supervision de l'inspection départementale de l'Éducation nationale.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Chaque année depuis 2011, Parade vénitienne, le dernier week-end du mois de juin.
  • Tous les ans, Journées du Patrimoine avec visite guidée de la Maison de Boigne, inscrite à la liste supplémentaire des monuments historiques, avec en 2018 un hommage particulier au Moulin à huile (150 ans), centenaire de l'armistice 1918, exposition sur "Jadis le Canal de Savière" ainsi qu'une sur le Rhône avec le concours de la CNR, chants populaires savoyards et chansons de rues, expositions de poteries anciennes et récentes au musée gallo-romain et animations d'archéologie.
  • Tous les deux ans (impairs), Festival des Orgues de Barbarie.
  • Le week-end de Pâques, la "Ruée vers l'œuf", grande chasse gourmande dans les ruelles médiévales[35].
  • Au mois de mai, la Course de Côte Moto (46e édition, en 2017), organisée par la commission d'animation de Chanaz et inscrite aux Championnats de France de la montagne et aux Championnats de France de motos anciennes[36].
  • Le Marché de Noël des producteurs, organisé chaque année sur un week-end (aux environs du 10-15 décembre) par l'association des commerçants "Made in Chanaz".

La commune de Chanaz possède une équipe de football : Entente Sportive de Chanaz, créée en 1984 et dont les couleurs sont le jaune et le noir. L'équipe fanion évolue en promotion d'excellence de Savoie et se maintient honorablement à ce niveau qu'elle a atteint pour la première fois de son histoire en 2008.

Médias

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  • Télévision locale : TV8 Mont-Blanc.
  • Radio locale : Radio Grand Lac 92.1 FM.

Économie

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Culture locale et patrimoine

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La commune possède le label Petite Cité de caractère décernée par l'association des Petites Cités de caractère de France en 2019[37].

Lieux et monuments

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  • Canal de Savières et le port de plaisance.
 
Le canal de Savières (Chanaz, Savoie), reliant le lac du Bourget au Rhône.
 
Église Sainte-Appolonie.
La proximité du canal, avec une écluse et un port de plaisance, ainsi que la situation géographique attirent plus de 150 000 touristes à Chanaz chaque année[38].
Le port de plaisance de Chanaz a une capacité de 115 anneaux[39]. Le hameau de Portout dispose également d'un port, plus petit.
  • Le moulin de Chanaz
Édifié en 1868 sur les hauteurs du village et mis en mouvement par l'eau d'un canal (le Biez), il fut abandonné en 1960, puis restauré dans les années 1990 à l'initiative de la municipalité et avec le concours des élèves du lycée technique Monge de Chambéry et de la section "Savoie" de l'association des amis des moulins savoyards . Depuis lors, il a retrouvé la fonction qui fut la sienne dans les années 1950 : le pressage de noix et noisettes pour la fabrication d'huiles[40]. Cet artisanat d'exception (ne subsiste aujourd'hui qu'une dizaine de pressoirs à huile de noix traditionnels en France), couplé à la dimension historique du lieu, en font un emblème du patrimoine savoyard.
  • Site antique de Portout Chanaz et le Musée gallo-romain
Portout comporte également un site archéologique de poterie datant du Ve siècle de notre ère. Des fouilles y ont été effectuées entre 1976 et 1987. La chapelle gothique Notre-Dame-de-Miséricorde , dans le village, abrite le Musée gallo-romain comportant des réalisations de l'époque (amphores, bijoux, monnaies, etc.).
  • Maison forte de Chanaz ou Grande Maison de Boigne.
L'ancienne maison forte de Chanaz dite « Grande Maison de Boigne » est une ancienne maison forte, du XIIIe, remaniée au XVIIe siècle. Elle se dresse au cœur du bourg, face au canal de Savières, et abrite aujourd'hui les services de la mairie de la commune. La maison forte fut au Moyen Âge le siège de la seigneurie de Chanaz, élevée en marquisat. Elle doit son nom de « Maison de Boigne » en raison du nom de son ancien propriétaire le comte de Boigne.
La maison de Boigne, les façades et les toitures, la terrasse, le four à pain, l'escalier intérieur à volées droites, les trois cheminées, fait l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques depuis le [41],[42].
  • Ancien relais de poste, aujourd'hui la brulerie de Chanaz.
De nouvelles chambres d'hôtes ont ouvert le 1er avril 2012 dans l'ancien relais de poste du XVIIIe siècle, situé dans le centre du village le long du canal de Savière : Le Doux Nid.
Autres lieux

La mairie a créé des chalets sur pilotis, appelés « Ilôts » avec un port de 48 anneaux réservés aux bateaux électriques, le tout dans le respect écologique. Le projet a été déclaré d'utilité publique le 5 avril 2007 et un permis de construire a été délivré le 15 mai 2007.

Patrimoine naturel

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Espaces verts et fleurissement

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En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[43].

Personnalités liées à la commune

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Benoît de Boigne.
  • Benoît de Boigne (°1751-†1830), militaire, il fut président du conseil général du département du Mont-Blanc et comte. Il posséda une propriété sur la commune de Chanaz dont l'actuel bâtiment appelé Maison de Boigne et qui fait office de mairie.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 338-347. ([PDF] lire en ligne)

Fonds d'archives

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. a et b Le -az final ne se prononce pas, mais indique que l'accentuation du mot va sur la première syllabe[1],[2],[3].
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. Henri Dénarié, « Berlioz ne rime pas avec myxomatose », La Voix des Allobroges,‎ (lire en ligne) (Article publié dans le numéro 13 de La Voix des Allobroges, été 2007)
  2. Jean-Baptiste Serron avec Marc Bron, « Comment bien prononcer les noms de nos communes? », L'Essor savoyard,‎ (lire en ligne).
  3. « Toponymie arpitane : les noms en -oz, -az, -ex, -ix », sur Arpitan.com - Fédération internationale de l'arpitan (consulté le ).
  4. Le dauphiné libéré 27/07/08 p.7
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Chanaz et Belley », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Belley Man », sur la commune de Belley - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Belley Man », sur la commune de Belley - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune de Chanaz ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c et d Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 98..
  17. a et b Henry Suter, « Chanaz », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur site henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté en ).
  18. Henriette Walter, L'aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44.
  19. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
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  20. Jean Létanche, Les vieux châteaux maisons fortes et ruines féodales du canton d'Yenne en Savoie, Le livre d'Histoire-Lorisse, coll. « Monographie des villes et villages de France », 2005 (réédition de 1907), 99 p. (ISBN 978-2-8437-3813-5), p. 9.
  21. « Traité entre le Roi et le roi de Sardaigne, conclu à Turin le 24 mars 1760 (p.4) », sur Gallica.bnf.fr.
  22. a b et c Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 2-05-101676-3), p. 475.
  23. Alain Kersuzan, Défendre la Bresse et le Bugey : les châteaux savoyards dans la guerre contre le Dauphiné, 1282-1355, vol. 14, Presses universitaires de Lyon, coll. « Collection d'histoire et d'archéologie médiévales », , 433 p. (ISBN 978-2-7297-0762-0, lire en ligne), p. 138.
  24. Christian Sorrel, Histoire de la Savoie : images, récits, La Fontaine de Siloé, , 461 p. (ISBN 978-2-84206-347-4, lire en ligne), p. 146-147.
  25. Nicolas Carrier, « Une justice pour rétablir la « concorde » : la justice de composition dans la Savoie de la fin du Moyen Âge (fin XIIIe début XVIe siècle) », dans Dominique Barthélemy, Nicolas Offenstadt, Le règlement des conflits au Moyen Âge. Actes du XXXIe Congrès de la SHMESP (Angers, 2000), Paris, Publications de la Sorbonne, , 391 p. (ISBN 978-2-85944-438-9), p. 237-257.
  26. Demotz 2000, p. 411.
  27. Alessandro Barbero, « Les châtelains des comtes, puis ducs de Savoie en vallée d'Aoste (XIIIe – XVIe siècle) », dans Guido Castelnuovo, Olivier Mattéoni, « De part et d'autre des Alpes » : les châtelains des princes à la fin du moyen âge : actes de la table ronde de Chambéry, 11 et 12 octobre 2001, , 266 p. (lire en ligne).
  28. Nicolas Carrier, « A travers les archives médiévales de la principauté savoyarde - Les comptes de châtellenies », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - Sabaudia.org (consulté en ).
  29. ADS1.
  30. « Chanaz », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Music mag 73 du jeudi 24 mars 2016 sur Radio Aix-les-bains
  36. émission Musik Mag sur Radio Aix-les-Bains le 12 mai 2016
  37. « Chanaz | Petites cités de caractère », sur petitescitesdecaractere.com (consulté le ).
  38. Site officiel de Chanaz
  39. Ports de plaisance liés au lac du Bourget
  40. « Le Moulin de Chanaz », sur moulindechanaz.com (consulté le ).
  41. « Maison de Boigne », notice no PA00118248, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Site officiel de la mairie de Chanaz - Traditions et patrimoine
  43. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).