« Andrei Vieru » : différence entre les versions
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Lors de la parution de l’''Éloge de la vanité''<ref>Voir les critiques de Jacques Drillon (Nouvel Observateur, 11-17 juillet 2013), Marin de Viry (Marianne, 15-21 juin 2013), Thierry Clermont (Le Figaro, 30 mai 2013).</ref> ([[Grasset]], 2013), son deuxième ouvrage, {on a pu remarquer qu’en dépit des apparences il s’agit là moins d’un livre sur les vanités, les ambitions et les jalousies que d’un essai sur le talent et le génie. Vieru reconnaissait, lors de la sortie de la version roumaine (traduction de l’auteur) de l’ouvrage en novembre 2016, qu’il a fini par se rendre compte lui-même de cette double thématique. Bien que n’étant pas un livre d’aphorismes, cet essai avait pourtant été perçu par la presse littéraire comme relevant de la tradition française de [[La Rochefoucauld]], de [[Sebastien-Roch Nicolas de Chamfort|Chamfort]] et de [[Cioran]].
Sous l’aspect plus particulier des problématiques de la traduction, il reprendra le thème de l’interprétation des œuvres d’art dans son essai « De la tâche du traducteur et de celle de l’interprète » paru dans le premier numéro de la
== Philosophe ==
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