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{{homonymevoir homonymes|Granier}}
{{Infobox Musique classique (personnalité)
| charte = classique
| nom = Jeanne Granier
| nom autre =
| image = Jeanne Granier, par Reutlinger.jpg
| légende = Jeanne Granier - soprano et actrice française versen 18801902.
| surnom =
| nom de naissance = Marie Ernestine Jeanne Granier
| lieu de naissance = [[ParisBatignolles-Monceau]], {{France}}(Paris)
| date de naissance = {{date29 de naissance|31|mars|1852|en musique classique}}1853
| lieu de décès = [[17e arrondissement de Paris|Paris]], {{France17e}}]]
| date de décès = {{date17 dedécembre décès|18|décembre|1939|31|mars|1852|en musique classique}}
| activité principale = [[chanteuse d'[[opérette]] <br>comédienne
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}}
 
'''Jeanne Granier''', est une [[Chanteur|chanteuse]] et comédienne[[comédien]]ne [[France|française]], née le {{date-|3129|mars|18521853|en musique classique}} à Paris,[[Batignolles-Monceau]] (aujourd'hui elleParis) estet morte le {{date-|1817|décembre|1939|en musique classique}}, aà été[[17e une des personnalités les plus marquantesarrondissement de la vie parisienne de la fin duParis|Paris {{XIXe s}} et du début du {{XXe siècle17e}}]].
 
ElleConsidéré estcomme devenuel'une des personnalités marquantes de la vie parisienne de la fin du {{XIXe s}} et du début du {{XXe siècle}}, elle a été, pour une période de 20 ans, une des plus grandes starsvedettes dedes la musique àscènes Parisparisiennes, douée à la fois comme chanteuse et comme actrice. Mais Jeanne GranierElle était également très attachée au public londonien car, se produisant au cours de sa longue carrière, elle fità de nombreuses tournéesreprises d'opérettesdans àdes Londresopérettes etdes ypièces alla aussi souvent jouer lade comédiethéâtre.
« On peut être une excellente artiste et n'être point Jeanne Granier, parce que Jeanne Granier, c'est Jeanne Granier, c'est le sourire et c'est les larmes, c'est la fantaisie et le naturel, c'est une voix de joie et d'émotion, c'est Jeanne Granier enfin ! » (Rozière, Le Théâtre, ''[[Gil Blas]]'', 11 novembre 1904).
 
«{{bloc citation|On peut être une excellente artiste et n'être point Jeanne Granier, parce que Jeanne Granier, c'est Jeanne Granier, c'est le sourire et c'est les larmes, c'est la fantaisie et le naturel, c'est une voix de joie et d'émotion, c'est Jeanne Granier enfin ! » (|Rozière, « Le Théâtre », ''[[Gil Blas]]'', {{date-|11 novembre 1904)}}.}}
==Parcours==
Jeanne Granier fut la fille de l'actrice Emma Granier, pensionnaire du « Théâtre du Vaudeville » et du « Théâtre du Palais-Royal ».
 
== Biographie ==
Elle est devenue pour une période de 20 ans une des plus grandes stars de la musique à Paris, douée à la fois comme chanteuse et comme actrice. Mais Jeanne Granier était également très attachée au public londonien car, au cours de sa longue carrière, elle fit de nombreuses tournées d'opérettes à Londres et y alla aussi souvent jouer la comédie.
=== Enfance et débuts ===
Fille de l'actrice Marie Granier dite Irma Granier, pensionnaire du [[Théâtre du Vaudeville (Paris)|Vaudeville]] et du [[Théâtre du Palais-Royal|Palais-Royal]], et d'un père inconnu, Jeanne Granier naît le {{date-|29 mars 1853}} dans la commune de [[Batignolles-Monceau]] ([[Seine (département)|Seine]])<ref>Commune supprimée le {{date-|1 janvier 1860}} pour être intégrée à Paris.</ref>{{,}}
<ref name=":0">{{Lien web|titre=Acte de naissance|url=http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH115/PG/FRDAFAN84_O19800035v0278949.htm|site=Ministère de la culture - Base Léonore|consulté le=2019-12-02}}</ref>.
 
JeanneElle Granier a étéest l'élève de {{Mme|Barthe-Banderali}}, étudiant à la fois l'[[opéra-comique]] et la musique. Elle débute en 1873, au [[Théâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtrethéâtre de la Renaissance]], en remplaçant au pied levé [[Louise Théo]] dans ''[[La Jolie parfumeuseParfumeuse]]''. Remarquée parde [[Jacques Offenbach]] et [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]], elle a créé ''Giroflé-Girofla'', ''La Marjolaine'', ''Le Petit Duc'', ''Belle Lurette'', ''Janot'', ''Ninella'', ''Madame le Diable'', ''Fanfreluche'' et bien d'autres rôles.
 
Elle crée dans la foulée ''[[Giroflé-Girofla]]'' (1874) de [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]], mais c'est le rôle-titre du ''[[Le Petit Duc (opéra-comique)|Petit Duc]]'' du même compositeur, créé le {{date-|25 janvier 1878}} au théâtre de la Renaissance, qui lui apporte la consécration, devenant sa « signature ». Elle rependra l’œuvre dans ce même théâtre en 1879, 1881 et 1883.
Elle a jouéjoue dans ''[[Scènes de la vie de bohème|La Vie de bohème]]'' au [[Théâtrethéâtre de l'Odéon]] en 1875, dansinterprétant l'acte Iair de ''Musette'', en chantant ''La Jeunesse et l'Amour'' (paroles ded'Henri [[Meilhac]], musique de Massenet). [[Jules Massenet]]). Massenet lui acompose composéégalement une chanson pour ''EsmeraldaNotre-Dame de Paris'' en 1879 pour son apparition dans ''Notre-Dame de Paris''. Le {{date-|15 octobre 1876}}, elle apparutapparaît dans un spectacle au bénéfice de BerengèreBérengère et Anatole au Théâtrethéâtre de la Renaissance.
Toujours à la Renaissance, elle crée ''La Marjolaine'' (1878) et ''Janot'' (1881) de Charles Lecocq, ''[[Belle Lurette]]'' (1880) dernière œuvre d'Offenbach, ''Ninetta'' de Raoul Pugno (1882), ''Madame le Diable'' (1882) et ''Fanfreluche'' (1883) de [[Gaston Serpette]] et bien d'autres.
 
Les [[Frèresfrères Isola]] onttémoignent dità auson sujet de l'artiste dans leur livre de ''Souvenirs'' recueillis en 1943 : « À la Renaissance, dans ''Madame le Diable'', un personnage de la pièce arrivait sur la scène avec une valise de petite dimension à la main. Il ouvrait cette valise et Jeanne Granier en sortait costumée en diable. Son extrême minceur lui permettait de réussir cette acrobatie. L'admirable artiste a ainsi conté ses débuts d'amusante façon : ''C“C'est par la Renaissance que je débutais à la scène, sans être passée par le Conservatoire... Au vrai, je me destinais au classique, je travaillais pour le théâtre italien, et nul n'imaginait chez moi que je dusse "tomber"“tomber” dans l'opérette...opérette…” »<ref>Émile et Vincent Isola, ''Souvenirs »des frères Isola : Cinquante ans de vie parisienne'', recueillis par Pierre Andrieu, Flammarion, 1943.</ref>.
 
Dans d'autres théâtres de Paris elleElle crée ''MademoiselleMam'zelle Gavroche'' de [[Hervé (compositeur)|Hervé]] aux Variétés (1885), ''La Béarnaise'' (d'[[André Messager]] aux [[Théâtre des Bouffes-Parisiens|Bouffes-Parisiens]] (1885), ''La Cigale et la Fourmi'' d'[[Edmond Audran]] à la [[Gaîté-Lyrique|Gaîté]] (Gaité1886) et ''Les Saturnales'' (de [[Paul Lacôme]] aux [[Théâtre des Nouveautés|Nouveautés]] (1887).
C'est donc dans le répertoire de l'opérette que Jeanne Granier se fait connaitre. Cependant, en plein succès, sa voix lui fait défaut. Elle s'oriente alors, sur l'insistance du comédien [[Lucien Guitry]], vers le théâtre où elle réussit à se faire une place. D'ailleurs, elle lui donnera la réplique dans de nombreuses pièces.
Aux côtés de [[José Dupuis]], chanteur-fétiche d'Offenbach, elle participe aux reprises de ''[[La Fille de madame Angot]]'' de Lecocq et ''[[Orphée aux Enfers]]'' à l'[[Théâtre de l'Athénée Louis-Jouvet|Eden-Théâtre]] en 1888 et de ''[[La Belle Hélène]]'', ''[[Barbe-Bleue (opéra bouffe)|Barbe-Bleue]]'' et ''[[La Grande-duchesse de Gérolstein]]'' d'Offenbach aux [[Théâtre des Variétés|Variétés]] en 1890.
Le compositeur [[Emmanuel Chabrier]] lui a dédiédédie sa chanson ''Ballade des gros dindons'' (1889).
 
C'est donc dans le répertoire de l'opérette que Jeanne Granier se fait connaitre. Cependant, en plein succès, sa voix lui fait défaut. Elle s'oriente alors, sur l'insistance du comédien [[Lucien Guitry]], vers le théâtre où elle réussit à se faire une place. D'ailleurs, elleElle lui donnera ainsi la réplique dans de nombreuses pièces.
[[Jules Renard]] a repris dans son ''Journal'' une citation de Jeanne Granier (Journal, 6 février 1897) : « Moi, dit-elle, je ne suis pas comédienne. Je joue comme ça. » L'actrice joua au théâtre en cette année 1897 dans la pièce de [[Jules Renard]] ''[[Le Plaisir de rompre]]'' et y avait remporté un vif succès. Jeanne Granier restera liée à la carrière théâtrale de cet auteur dramatique.
 
En 1897, elle joue dans la pièce de [[Jules Renard]] a''[[Le reprisPlaisir dansde rompre]]'' et y remporte un vif succès. Dans son ''Journal'', Jules Renard reprend une citation de Jeanne Granier (Journal, 6 février 1897) : « Moi, dit-elle, je ne suis pas comédienne. Je joue comme ça. » L'actrice joua au théâtre en cette année 1897 dans la pièce de [[<ref>Jules Renard]], ''[[Le Plaisir de rompre]]Journal'', et{{date-|6 yfévrier avait1897}}).</ref>. remporté» un vif succès. Jeanne GranierElle restera liée à la carrière théâtrale de cet auteur dramatique.
La célèbre ''Diseuse fin de siècle'' [[Yvette Guilbert]] a dit d'elle dans ses ''Mémoires'' : « Jeanne Granier, la grande et spirituelle comédienne, avec son bout de nez amusant. »
 
La célèbre ''Diseuse« diseuse fin de siècle'' » [[Yvette Guilbert]] a dit d'elle dans ses ''Mémoires'' : « Jeanne Granier, la grande et spirituelle comédienne, avec son bout de nez amusant. »
La frontière entre le demi-monde et les coulisses des théâtres étaient assez floues et très nombreuses étaient les actrices qui voyaient dans le commerce de leur charme le prolongement logique de leur carrière artistique, cependant Jeanne Granier a toujours décliné les propositions libertines.
 
Le {{date-|30 juillet 1921}}, le ministère de l'Instruction publique lui décerne la distinction de [[Ordre national de la Légion d'honneur#Organisation|chevalier de la Légion d'honneur]]<ref name=":0" />.
Cependant, l'actrice fut un temps courtisée par le prince de Galles, le futur [[Édouard VII du Royaume-Uni|Édouard VII]] qui restera toujours parmi ses plus grands admirateurs. Elle aurait été l'une de ses maitresses de jeunesse.
 
Elle meurt le {{date-|17 décembre 1939}}, 88 [[avenue de Wagram]] à [[17e arrondissement de Paris|Paris {{17e}}]], à l'âge de 86 ans<ref name=":2">[https://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjMtMTAtMTkiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjY2OTAxO3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=6.3166656494140625%2C150&uielem_islocked=0&uielem_zoom=99&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F « Acte de décès n° 1975 (vue 9/19) »] registre des décès du {{17e}} arrondissement pour l'année 1939, Archives en ligne de la Ville de Paris. Elle y est faussement dite « fille de Charles Émile Granier et d'Irma Tisseyre, époux décédés ».</ref>. Un grand nombre de personnalités artistiques, mondaines et littéraires qui avaient connu l'époque brillante dont Jeanne Granier avait été une des vedettes les plus appréciées et les plus fêtées se réunit le {{date-|20 décembre 1939}} en l'[[Église Saint-François-de-Sales de Paris|église Saint-François de Sales]] afin de rendre un dernier hommage à l'incomparable artiste. Le deuil est conduit par son fils, André Granier. Elle est inhumée dans le caveau de famille au [[cimetière de Montmartre]] ({{29e|division}})<ref>[https://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article3785 Cimetières de France et d'ailleurs]</ref>, mais la tombe des Granier est détruite quelques années plus tard et la concession reprise en 2010.
À ce propos, le réalisateur [[Jean Renoir]], en parlant de son père le peintre [[Pierre-Auguste Renoir]], relata cette anecdote : « L’actrice qu’il préférait était Jeanne Granier. « Un filet de voix, mais si net, si précis, si spirituel. » Le prince de Galles, futur [[Édouard VII du Royaume-Uni|Édouard VII d'Angleterre]], ne ratait pas une représentation de Jeanne Granier aux Variétés quand il était à Paris. Le public était convaincu que son admiration pour l’étoile ne se cantonnait pas au domaine artistique. Lorsque, à la fin d’un air, les applaudissements éclataient, ils s’adressaient aussi bien au prince qu’à la chanteuse. Toute la salle se tournait vers lui pour le féliciter de son goût. Et le futur roi d’Angleterre, bon enfant, saluait la foule, nullement gêné par l’allusion, savourant cette intimité qui était parmi bien d'autres choses la marque de Paris. » Un soir, à la sortie d'une représentation au [[Théâtre des Capucines]], le prince [[Édouard VII du Royaume-Uni|Édouard]] offrit à Jeanne la rose qu'il portait à sa boutonnière.
 
=== Vie privée ===
Jeanne Granier est, par ailleurs, mentionnée dans l'œuvre de [[Marcel Proust]] ''[[À la recherche du temps perdu]]''.
[[File:CFP Granier, Jeanne (1).jpg|vignette|Jeanne Granier vers 1900]]
La frontière entre le demi-monde et les coulisses des théâtres étaient assez floues et très nombreuses étaient les actrices qui voyaient dans le commerce de leur charme le prolongement logique de leur carrière artistique. Courtisée par le prince de Galles, cependantfutur [[Édouard VII]] qui restera toujours parmi ses plus grands admirateurs (elle aurait été l'une de ses maîtresses de jeunesse), Jeanne Granier ase toujoursforgea déclinénéanmoins la réputation de décliner toutes les propositions libertines{{refnec}}.
 
À ce propos, le réalisateur [[Jean Renoir]], en parlant de son père le peintre [[Pierre-Auguste Renoir]], relatarelate cette anecdote : « L’actrice qu’il préférait était Jeanne Granier. « Un“Un filet de voix, mais si net, si précis, si spirituel. » Le prince de Galles, futur [[Édouard VII du Royaume-Uni|Édouard VII d'Angleterre]], ne ratait pas une représentation de Jeanne Granier aux Variétés quand il était à Paris. Le public était convaincu que son admiration pour l’étoile ne se cantonnait pas au domaine artistique. Lorsque, à la fin d’un air, les applaudissements éclataient, ils s’adressaient aussi bien au prince qu’à la chanteuse. Toute la salle se tournait vers lui pour le féliciter de son goût. Et le futur roi d’Angleterre, bon enfant, saluait la foule, nullement gêné par l’allusion, savourant cette intimité qui était parmi bien d'autres choses la marque de Paris. » Un soir, à la sortie d'une représentation au [[Théâtrethéâtre des Capucines]], le prince [[Édouard VII du Royaume-Uni|Édouard]] offrit à Jeanne la rose qu'il portait à sa boutonnière.
Elle décède à l'âge de quatre-vingt-sept ans. Tout ce que comptait encore Paris en personnalités artistiques, mondaines et littéraires qui avaient connu l'époque brillante dont Jeanne Granier avait été une des vedettes les plus appréciées et les plus fêtées s'étaient réunis le 20 décembre 1939 en l'[[Église Saint-François-de-Sales (Paris)|église Saint-François de Sales]] afin de rendre un suprême hommage à l'incomparable artiste. Le deuil fut conduit par André Granier, son fils. Elle avait été inhumée dans le caveau de famille au cimetière de Montmartre ({{20e|division}}, à quelques lignes de l'avenue de la Croix) mais la tombe des Granier a été détruite et la concession reprise en 2010 (malgré le fait que l'artiste ait reçu la Légion d'honneur et qu'elle soit décédée en 1939 !).
Jamais mariée, elle accouche le {{date-|29 septembre 1877}} à Paris {{16e}} à la villa Montmorency, 7 avenue du Square, d'un fils prénommé Xavier-Jean-André de père inconnu<ref name=":1">[https://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjMtMTAtMTkiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjIzOTA4O3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=-1213%2C-1146&uielem_islocked=0&uielem_zoom=217&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F « Acte de naissance n°819 avec mentions marginales (vue 17/31) »], registre des naissances du {{16e}} arrondissement pour l'année 1877, Archives en ligne de la Ville de Paris.</ref>. Elle le reconnaît à l'état-civil le {{date-|10 juillet 1907}}<ref name=":1" />.
 
Concernant la paternité d'André Granier, la chanteuse [[Eugénie Buffet]] déclare, avec une pointe d'humour: « C'était [[Laure Hayman]] ''(demi-mondaine célèbre)'' qui, fort gentiment, m'avait mis en garde contre la trop grande fécondité du beau de Merena, lequel avait la réputation justifiée de faire des enfants à toutes les jolies femmes de Paris ! Elle m'amusait beaucoup quand, me prenant par le bras, elle croyait devoir m'avertir : "Ne“Ne vous asseyez pas sur cette chaise, de Merena vient de s'y asseoir, vous auriez un enfant !" Et elle me glissait à l'oreille : "Savez“Savez-vous que le fils de Jeanne Granier est du Comte de Merena ?" Et elle ajoutait, avec un grand sérieux : "Il“Il y en a comme ça des tas dans Paris !"”<ref>Eugénie Buffet, ''Ma vie, mes amours, mes aventures'' ou ''Confidences recueillies par Eugène Figuière'', éd. Eugène Figuière, 1930 ([http://www.dutempsdescerisesauxfeuillesmortes.net/fiches_bio/buffet_eugenie/buffet_memoires/eugenie_buffet_memoires.pdf lire en ligne]).</ref> »
Concernant la paternité d'André Granier, la chanteuse [[Eugénie Buffet]] a déclaré, avec une pointe d'humour, dans son livre de ''Confidences'' recueillies en 1930 :
« C'était [[Laure Hayman]] ''(demi-mondaine célèbre)'' qui, fort gentiment, m'avait mis en garde contre la trop grande fécondité du beau de Merena, lequel avait la réputation justifiée de faire des enfants à toutes les jolies femmes de Paris ! Elle m'amusait beaucoup quand, me prenant par le bras, elle croyait devoir m'avertir : "Ne vous asseyez pas sur cette chaise, de Merena vient de s'y asseoir, vous auriez un enfant !" Et elle me glissait à l'oreille : "Savez-vous que le fils de Jeanne Granier est du Comte de Merena ?" Et elle ajoutait, avec un grand sérieux : "Il y en a comme ça des tas dans Paris !" »
 
André Granier se marie à deux reprises (dont un divorce) et meurt le {{date-|1 juin 1949}} à [[Nice]] ([[Alpes-Maritimes]])<ref name=":1" />.
== Repères chronologiques ==
 
* [[1873 au théâtre|1873]] : ''La Jolie parfumeuse'', opéra-comique d'[[Hector Crémieux]] et Ernest Blum, musique de [[Jacques Offenbach]], [[Théâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
== Répertoire ==
* [[1874 au théâtre|1874]] : ''Giroflé-Girofla'', opéra bouffe d'[[Eugène Leterrier]] et [[Albert Vanloo]], musique de [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]], [[Théâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[18751873 au théâtre|18751873]] : ''[[La PetiteJolie MariéeParfumeuse]]'', opéra bouffe-comique d'[[EugèneHector LeterrierCrémieux]] et [[AlbertErnest VanlooBlum]], musique de [[CharlesJacques Lecocq (compositeur)|Charles LecocqOffenbach]], [[Théâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtrethéâtre de la Renaissance]]
* [[18771874 au théâtre|18771874]] : ''La Marjolaine[[Giroflé-Girofla]]'', opéra bouffe d'[[Eugène Leterrier]] et [[Albert Vanloo]], musique de [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]], [[Théâtrethéâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[18781875 au théâtre|18781875]] : ''LeLa PetitPetite DucMariée'', opéra bouffe d'[[HenriEugène Meilhac]]Leterrier et [[LudovicAlbert Halévy]]Vanloo, musique de [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]], [[Théâtrethéâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[18791877 au théâtre|18791877]] : ''La Petit MademoiselleMarjolaine'', opéra-comique bouffe d'[[HenriEugène Meilhac]]Leterrier et [[LudovicAlbert Halévy]]Vanloo, musique de [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]], [[Théâtrethéâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[18801878 au théâtre|18801878]] : ''Les[[Le VoltigeursPetit deDuc la(opéra-comique)|Le {{32e}}Petit Duc]]'', opéra-comique bouffe d'[[EdmondHenri GondinetMeilhac]] et [[GeorgesLudovic Duval (dramaturge)|Georges DuvalHalévy]], musique de [[RobertCharles Planquette]]Lecocq, [[Théâtrethéâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[18801879 au théâtre|18801879]] : ''BelleLa LurettePetit Mademoiselle'', opéra-comique d'ErnestHenri Blum, [[Édouard Blau]]Meilhac et RaoulLudovic TochéHalévy, musique de [[JacquesCharles Offenbach]]Lecocq, [[Théâtrethéâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[18811880 au théâtre|18811880]] : ''JanotLes Voltigeurs de la {{32e}}'', opéra-comique bouffe de d'[[HenriEdmond MeilhacGondinet]] et [[LudovicGeorges HalévyDuval (dramaturge)|Georges Duval]], musique de [[CharlesRobert Lecocq (compositeur)|Charles LecocqPlanquette]], [[Théâtrethéâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[1882 au théâtre|1882]]1880 : ''Madame[[Belle le DiableLurette]]'', féérieopéra-opérettecomique ded'Ernest Blum, [[HenriÉdouard MeilhacBlau]] et [[ArnoldRaoul Mortier]]Toché, musique de [[GastonJacques Serpette]]Offenbach, [[Théâtrethéâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[18821881 au théâtre|18821881]] : reprise de ''Petit FaustJanot'', opéretteopéra bouffe d'[[HectorHenri Crémieux]],Meilhac et [[AdolpheLudovic Jaime]]Halévy, musique de [[HervéCharles (compositeur)|Hervé]]Lecocq, [[Théâtrethéâtre de la Porte-Saint-Martin]]Renaissance
* [[18831882 au théâtre|18831882]] : ''FanfrelucheMadame le Diable'', opéraféérie-comiqueopérette ded'Henri Meilhac et [[PaulArnold BuraniMortier]], Gaston Hirsch, Raoul de Saint-Arroman, musique de [[Gaston Serpette]], [[Théâtrethéâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* 1882 : ''Le Petit Faust'', opérette bouffe d'Hector Crémieux, [[Adolphe Jaime]], musique d'[[Hervé (compositeur)|Hervé]], [[théâtre de la Porte-Saint-Martin]]
* [[1885 au théâtre|1885]] : ''La Béarnaise'', opéra-comique d'[[Eugène Leterrier]] et [[Albert Vanloo]], musique d'[[André Messager]], mise en scène de [[Delphine Ugalde]], [[Théâtre des Bouffes-Parisiens]]<ref>[[Albert Vanloo]], ''Sur le plateau: Souvenirs d'une librettiste'' (Paris, 1913).</ref>.
* [[18871883 au théâtre|18871883]] : ''Le Cœur de ParisFanfreluche'', revueopéra-comique précédée d'un prologue, avecde [[RéjanePaul Burani]], etGaston Hirsch, [[AnnaRaoul Judicde Saint-Arroman]], musique de PhilippeGaston de MassalSerpette, représentation unique le 23.05.1887, [[Théâtre nationalthéâtre de l'Opéra-Comique|Théâtrela de l'Opéra-Comique]]Renaissance
* [[18871885 au théâtre|18871885]] : ''Les[[La SaturnalesBéarnaise]]'', opéra -bouffecomique d'AlbinEugène ValabrègueLeterrier et Albert Vanloo, musique de d'[[PaulAndré LacômeMessager]], avec [[Albertthéâtre Brasseurdes Bouffes-Parisiens]]<ref>Albert etVanloo, [[Jules''Sur Brasseur]],le [[Théâtreplateau des: Nouveautés]]Souvenirs d'un librettiste'' (Paris, 1913).</ref>.
* [[18881887 au théâtre|18881887]] : reprise''Le Cœur de Paris''[[Barbe-bleue, (opérarevue bouffe)|Barbe-Bleue]]'précédée d'un (création en 1866)prologue, opéra bouffemusique de [[HenriPhilippe Meilhac]]de etMassal, [[LudovicThéâtre Halévy]], musiquenational de [[Jacques Offenbachl'Opéra-Comique|Opéra-Comique]], [[Théâtre(23 des Variétés]]mai)
* 1887 : ''Les Saturnales'', opéra bouffe d'Albin Valabrègue, musique de [[Paul Lacôme]], [[théâtre des Nouveautés]]
* [[1889 au théâtre|1889]] : ''Paris Exposition'', revue d'[[Henri Blondeau]] et [[Hector Monréal]], avec [[Marcelle Lender]], [[Théâtre des Variétés]]
* [[18901888 au théâtre|18901888]] : reprise du ''Petit[[Barbe-Bleue Duc(opéra bouffe)|Barbe-Bleue]]'', opéra bouffe d'[[Henri Meilhac]] et [[Ludovic Halévy]], musique de [[CharlesJacques Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]]Offenbach, [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[18931889 au théâtre|18931889]] : ''MadameParis SatanExposition'', vaudevillerevue d'Ernest[[Henri BlumBlondeau]] et Raoul Toché, avec [[MarcelleHector LenderMonréal]], [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[18951890 au théâtre|18951890]] : ''AmantsLe Petit Duc'', comédieopéra debouffe [[Mauriced'Henri Donnay]],Meilhac avecet [[LucienLudovic Guitry]]Halévy, [[Théâtremusique de laCharles RenaissanceLecocq, (Paris)|Théâtrethéâtre dedes la Renaissance]]Variétés
* [[1893 au théâtre|1893]] : ''Madame Satan'', vaudeville d'Ernest Blum et Raoul Toché, théâtre des Variétés
* [[1895 au théâtre|1895]] : ''Amants'', comédie de [[Maurice Donnay]], théâtre de la Renaissance
* [[1897 au théâtre|1897]] : ''[[Le Plaisir de rompre]]'', comédie de [[Jules Renard]], Cercle des Escholiers
* [[1899 au théâtre|1899]] : ''Le Vieux Marcheur'', comédie d'[[Henri Lavedan]], avec [[Marcelle Lender]], [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[1900 au théâtre|1900]] : ''Éducation de Prince'', comédie de [[Maurice Donnay]], [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[1901 au théâtre|1901]] : ''Les Médicis'', comédie d'[[Henri Lavedan]], avec [[Albert Brasseur]], [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[1901 au théâtre|1901]] : ''La Veine'', comédie d'[[Alfred Capus]], avec [[Lucien Guitry]], [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[1901 au théâtre|1901]] : ''La revueRevue des Variétés'', revue de [[Paul Gavault]] et Adrien Vely, [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[1902 au théâtre|1902]] : ''Les Deux Écoles'', comédie d'[[Alfred Capus]], avec [[Ève Lavallière]], [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[1902 au théâtre|1902]] : ''Joujou'', comédie d'[[Henri Bernstein]], [[Théâtre du Gymnase Marie-Bell|Théâtrethéâtre du Gymnase]]
* [[1903 au théâtre|1903]] : ''La citoyenneCitoyenne Cotillon'', comédie d'[[Ernest Daudet]] et [[Henri Cain]], [[Théâtre de l'Ambigu-Comique|théâtre de l'Ambigu]]
* [[1905 au théâtre|1905]] : ''Snob'', comédie de [[Gustave Guiches]], avec [[Lucien Guitry]], [[Théâtrethéâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[1905 au théâtre|1905]] : ''Le bonheur, Mesdames !'', comédie de [[Francis de Croisset]], [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[1906 au théâtre|1906]] : reprise de ''Éducation de Prince'', comédie de [[Maurice Donnay]], [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[1907 au théâtre|1907]] : reprise de ''La Veine'', comédie d'[[Alfred Capus]], avec [[GabrielleThéâtre Dorziat]],du [[ThéâtreVaudeville (Paris)|théâtre du Vaudeville]]
* [[1908 au théâtre|1908]] : ''Mariage d'Étoile'', comédie d'[[Alexandre Bisson]] et Georges Thurner, [[Théâtrethéâtre du Vaudeville]]
* [[1908 au théâtre|1908]] : ''La Patronne'', comédie de [[Maurice Donnay]],[[Théâtre théâtre du Vaudeville]]
* [[1911 au théâtre|1911]] : ''La Bonne intention'', [[Théâtre Michel (Paris)|Théâtrethéâtre Michel]], (octobre)
* [[1912 au théâtre|1912]] : ''[[L'Habit vert (Flers et Caillavet)|L'',Habit comédievert]]'' de [[Robert de Flers]] et [[Gaston Arman de Caillavet]], [[Théâtrethéâtre des Variétés]]
* [[1913 au théâtre|1913]] : ''Le Ruisseau'' de [[Pierre Wolff]], [[Théâtrethéâtre de la Porte-Saint-Martin]]
* [[1914 au théâtre|1914]] : ''Madame'' d'[[Abel Hermant]] et [[Alfred Savoir]], avec [[Monna Delza]], [[Théâtrethéâtre de la Porte-Saint-Martin]]
* [[1921 au théâtre|1921]] : ''[[Le Grand Duc (pièce de théâtre)|Le Grand Duc]]'', comédie de [[Sacha Guitry]], avec [[Lucien Guitry]], [[Sacha Guitry]], [[Polin]] et [[Yvonne Printemps]], [[Théâtrethéâtre Édouard -VII]]
* [[1925 au théâtre|1925]] : ''Le Mariage de Maman'' de [[Louis Verneuil]] et [[Georges Berr]], [[Théâtre Antoine - Simone-Berriau|théâtre Antoine]]<ref>{{Lien web |langue=FR |titre=''Comœdia'' |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7649937w/f1.item.r=Granier.zoom |site=Gallica |date=1925-11-24 |consulté le=2021-03-02}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |titre=''Le Ménestrel'' |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5617943r/f8.image.r=Granier|site=Gallica |date=1925-11-27 |consulté le=2021-02-21}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=FR |titre=''La Rampe'' |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5725412c/f9 |site=Gallica |date=1925-12-01 |consulté le=2021-02-21}}</ref>.
* [[1925 au théâtre|1925]] : ''Le mariage de Maman'' de [[Louis Verneuil]] et [[Georges Berr]], [[Théâtre Antoine]]
 
==''Le PetitHommages Duc''==
Son rôle-titre dans ''[[Le Petit Duc]]'' de [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]] est devenu la signature de Jeanne Granier. Elle y apparaît lors de la première le 25 janvier 1878 au Théâtre de la Renaissance et chante aussi sa partie dans des reprises à ce théâtre en 1879, 1881 et 1883. Elle joue avec [[José Dupuis]] dans des productions au [[Théâtre de l'Éden]] en 1888 et au [[Théâtre des Variétés]] en 1890. À ce théâtre, elle apparaît dans les reprises de ''[[La Belle Hélène]]'', ''[[Barbe-Bleue (opéra bouffe)|Barbe-Bleue]]'' et ''[[La Grande-duchesse de Gérolstein]]''.
 
En 1890, [[Rodolphe Piguet]] exécute son portrait gravé intitulé ''Une française de 1900''.
Dans d'autres théâtres de Paris elle crée ''Mademoiselle Gavroche'' (aux Variétés), ''La Béarnaise'' (aux [[Théâtre des Bouffes-Parisiens|Bouffes-Parisiens]]), ''La Cigale et la Fourmi'' (Gaité) et ''Saturnales'' (Nouveautés).
 
Le compositeur [[Emmanuel Chabrier]] lui a dédié sa chanson ''Ballade des gros dindons'' (1889)
 
Jeanne Granier est, par ailleurs, mentionnée dans l'œuvre de [[Marcel Proust]] ''[[À la recherche du temps perdu]]''.
== Notes et références ==
{{Traduction/Référence|en|Jeanne Granier|545756730}}
{{Références}}
 
==Références et Bibliographie ==
* K. Gänzl, «  Jeanne Granier  », ''[[The New Grove Dictionary of Opera]]'', Macmillan, Londres et New York, 1997.
{{Traduction/Référence|en|Jeanne Granier|545756730}}
* J. Martin, ''Nos artistes des théâtres et des concerts'', [[Paul Ollendorff]], Paris, 1895.
 
* K. Gänzl, « Jeanne Granier », ''[[The New Grove Dictionary of Opera]]'', Macmillan, Londres et New York, 1997.
* J. Martin, ''Nos artistes des théâtres et des concerts'', Paul Ollendorff, Paris, 1895.
* D. Irvine, ''Massenet, une chronique de sa vie et l'époque'', Amadeus Press, Portland, 1997.
* R. Delage, ''Emmanuel Chabrier'', Fayard, Paris, 1999.
 
== Liens externes ==
{{autres projets|commons=Category:Jeanne Granier}}
* {{Autorité}}
{{liens}}
* Photo d'un buste de Jeanne Granier réalisé par [[Francis de Saint-Vidal]] : [[:Fichier:Francis de Saint-Vidal - Mme Jeanne Granier.jpg|Photo]]
* [https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/170191 Jeanne Granier] sur la Base Léonore
* Dessin de [[Jean Veber]], Jeanne Granier et [[Lucien Guitry]] dans Les amants de Donnay : [http://catalogue.drouot.com/ref-drouot/lot-ventes-aux-encheres-drouot.jsp?id=1763644 Dessin]
* [[:Fichier:Francis de Saint-Vidal - Mme Jeanne Granier.jpg|Buste de Jeanne Granier]] par [[Francis de Saint-Vidal]]
* Dessin de [[Henri de Toulouse-Lautrec]], Jeanne Granier et [[Lucien Guitry]] : [http://cache2.allpostersimages.com/p/LRG/62/6217/ZSB3100Z/affiches/de-toulouse-lautrec-henri-dessins-lucien-guitry-et-jeanne-granier.jpg Dessin]
* [http://catalogue.drouot.com/ref-drouot/lot-ventes-aux-encheres-drouot.jsp?id=1763644 Jeanne Granier et Lucien Guitry dans ''Les Amants'' de M. Donnay] par [[Jean Veber]]
* Caricature de Jeanne Granier : [http://c.hprints.net/md/21/21685-quina-laroche-19-jeanne-granier-de-losques-caricature-hprints-com.jpg Caricature]
* Dessin de [[Henri de Toulouse-Lautrec]], Jeanne Granier et [[Lucien Guitry]] : [http://cache2.allpostersimages.com/p/LRG/62/6217/ZSB3100Z/affiches/de-toulouse-lautrec-henri-dessins-lucien-guitry-et-jeanne-granier.jpg DessinJeanne Granier et Lucien Guitry] par [[Henri de Toulouse-Lautrec]]
* Photo de la tombe disparue de Jeanne Granier au cimetière de Montmartre : [http://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article3785 Photo]
* [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53117217h?rk=1309019;2 Jeanne Granier et Mily-Meyer dans ''le Petit Duc''] sur ''Gallica''
* [http://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article3785 Photo de la tombe disparue de Jeanne Granier au cimetière de Montmartre]
 
{{Média externe|image1=[httphttps://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&startRecord=0&maximumRecords=15&page=1&query=%28gallica%20all%20%22Granier%2C%20Jeanne%20%281852-1939%29%22%29%20and%20dc.type%20all%20%22image%22%20sortby%20dc.date%2Fsort.ascending Portraits de Jeanne Granier sur le site de la Bibliothèque nationale de France] ''[[Bibliothèque nationale de France|BnF]]'' ({{Gallica}})}}
 
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