« Jeanne Granier » : différence entre les versions
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{{Infobox Musique classique (personnalité)
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'''Jeanne Granier''' est une [[Chanteur|chanteuse]] et [[comédien]]ne [[France|française]], née le {{date-|29|mars|1853|en musique classique}} à [[Batignolles-Monceau]] (aujourd'hui Paris) et morte le {{date-|17|décembre|1939|en musique classique}} à [[17e arrondissement de Paris|Paris {{17e}}]].
[[File:CFP Granier, Jeanne (1).jpg|vignette]]▼
== Biographie ==▼
▲Elle est devenue, pour une période de 20 ans, une des plus grandes stars de la musique à Paris, douée à la fois comme chanteuse et comme actrice. Mais Jeanne Granier était également très attachée au public londonien car, au cours de sa longue carrière, elle fit de nombreuses tournées d'opérettes à [[Londres]] et y alla aussi souvent jouer la comédie.
=== Enfance et débuts ===
<ref name=":0">{{Lien web|titre=Acte de naissance|url=http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH115/PG/FRDAFAN84_O19800035v0278949.htm|site=Ministère de la culture - Base Léonore|consulté le=2019-12-02}}</ref>.
Elle
▲==Biographie==
▲Jeanne Granier est la fille de l'actrice Marie dite Emma Granier, pensionnaire du « [[Théâtre du Vaudeville (Paris)|Théâtre du Vaudeville]] » et du « [[Théâtre du Palais-Royal]] » et d'un père non-dénommé, née dans la commune de [[Batignolles-Monceau|Batignolles-Monceaux]] [[Seine (département)|(Seine]]), supprimée le 1er janvier 1860<ref name=":0" />.
Elle crée dans la foulée ''[[Giroflé-Girofla]]'' (1874) de [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]], mais c'est le rôle-titre du ''[[Le Petit Duc (opéra-comique)|Petit Duc]]'' du même compositeur, créé le {{date-|25 janvier 1878}} au théâtre de la Renaissance, qui lui apporte la consécration, devenant sa « signature ». Elle rependra l’œuvre dans ce même théâtre en 1879, 1881 et 1883.
▲Elle a été l'élève de Barthe-Banderali, étudiant à la fois l'[[opéra-comique]] et la musique. Elle débute en 1873, au [[Théâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]], en remplaçant au pied levé [[Louise Théo]] dans ''La Jolie parfumeuse''. Remarquée par [[Jacques Offenbach]] et [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]], elle a créé ''Giroflé-Girofla'', ''La Marjolaine'', ''Le Petit Duc'', ''[[Belle Lurette]]'', ''Janot'', ''Ninella'', ''Madame le Diable'', ''Fanfreluche'' et bien d'autres rôles.
Elle
Toujours à la Renaissance, elle crée ''La Marjolaine'' (1878) et ''Janot'' (1881) de Charles Lecocq, ''[[Belle Lurette]]'' (1880) dernière œuvre d'Offenbach, ''Ninetta'' de Raoul Pugno (1882), ''Madame le Diable'' (1882) et ''Fanfreluche'' (1883) de [[Gaston Serpette]] et bien d'autres.
Les [[
▲Elle a joué dans ''[[Scènes de la vie de bohème|La Vie de bohème]]'' au [[Théâtre de l'Odéon]] en 1875, dans l'acte I de ''Musette'', en chantant ''La Jeunesse et l'Amour'' (paroles de [[Meilhac]], musique de Massenet). [[Jules Massenet]] lui a composé une chanson pour ''Esmeralda'' en 1879 pour son apparition dans ''Notre-Dame de Paris''. Le 15 octobre 1876, elle apparut dans un spectacle au bénéfice de Berengère et Anatole au Théâtre de la Renaissance.
▲Les [[Frères Isola]] ont dit au sujet de l'artiste dans leur livre de ''Souvenirs'' recueillis en 1943 : « À la Renaissance, dans ''Madame le Diable'', un personnage de la pièce arrivait sur la scène avec une valise de petite dimension à la main. Il ouvrait cette valise et Jeanne Granier en sortait costumée en diable. Son extrême minceur lui permettait de réussir cette acrobatie. L'admirable artiste a ainsi conté ses débuts d'amusante façon : ''C'est par la Renaissance que je débutais à la scène, sans être passée par le Conservatoire... Au vrai, je me destinais au classique, je travaillais pour le théâtre italien, et nul n'imaginait chez moi que je dusse "tomber" dans l'opérette...'' »
Aux côtés de [[José Dupuis]], chanteur-fétiche d'Offenbach, elle participe aux reprises de ''[[La Fille de madame Angot]]'' de Lecocq et ''[[Orphée aux Enfers]]'' à l'[[Théâtre de l'Athénée Louis-Jouvet|Eden-Théâtre]] en 1888 et de ''[[La Belle Hélène]]'', ''[[Barbe-Bleue (opéra bouffe)|Barbe-Bleue]]'' et ''[[La Grande-duchesse de Gérolstein]]'' d'Offenbach aux [[Théâtre des Variétés|Variétés]] en 1890.
Le compositeur [[Emmanuel Chabrier]] lui
En 1897, elle joue dans la pièce de [[Jules Renard]]
La célèbre
Le {{date-|30 juillet 1921}}, le ministère de l'Instruction publique lui décerne la distinction de [[Ordre national de la Légion d'honneur#Organisation|chevalier de la Légion d'honneur]]<ref name=":0" />.
La frontière entre le demi-monde et les coulisses des théâtres étaient assez floues et très nombreuses étaient les actrices qui voyaient dans le commerce de leur charme le prolongement logique de leur carrière artistique, cependant Jeanne Granier a toujours décliné les propositions libertines.▼
Elle meurt le {{date-|17 décembre 1939}}, 88 [[avenue de Wagram]] à [[17e arrondissement de Paris|Paris {{17e}}]], à l'âge de 86 ans<ref name=":2">[https://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjMtMTAtMTkiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjY2OTAxO3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=6.3166656494140625%2C150&uielem_islocked=0&uielem_zoom=99&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F « Acte de décès n° 1975 (vue 9/19) »] registre des décès du {{17e}} arrondissement pour l'année 1939, Archives en ligne de la Ville de Paris. Elle y est faussement dite « fille de Charles Émile Granier et d'Irma Tisseyre, époux décédés ».</ref>. Un grand nombre de personnalités artistiques, mondaines et littéraires qui avaient connu l'époque brillante dont Jeanne Granier avait été une des vedettes les plus appréciées et les plus fêtées se réunit le {{date-|20 décembre 1939}} en l'[[Église Saint-François-de-Sales de Paris|église Saint-François de Sales]] afin de rendre un dernier hommage à l'incomparable artiste. Le deuil est conduit par son fils, André Granier. Elle est inhumée dans le caveau de famille au [[cimetière de Montmartre]] ({{29e|division}})<ref>[https://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article3785 Cimetières de France et d'ailleurs]</ref>, mais la tombe des Granier est détruite quelques années plus tard et la concession reprise en 2010.
=== Vie privée ===
À ce propos, le réalisateur [[Jean Renoir]], en parlant de son père le peintre [[Pierre-Auguste Renoir]], relata cette anecdote : « L’actrice qu’il préférait était Jeanne Granier. « Un filet de voix, mais si net, si précis, si spirituel. » Le prince de Galles, futur [[Édouard VII du Royaume-Uni|Édouard VII d'Angleterre]], ne ratait pas une représentation de Jeanne Granier aux Variétés quand il était à Paris. Le public était convaincu que son admiration pour l’étoile ne se cantonnait pas au domaine artistique. Lorsque, à la fin d’un air, les applaudissements éclataient, ils s’adressaient aussi bien au prince qu’à la chanteuse. Toute la salle se tournait vers lui pour le féliciter de son goût. Et le futur [[roi d’Angleterre]], bon enfant, saluait la foule, nullement gêné par l’allusion, savourant cette intimité qui était parmi bien d'autres choses la marque de Paris. » Un soir, à la sortie d'une représentation au [[Théâtre des Capucines]], le prince [[Édouard VII du Royaume-Uni|Édouard]] offrit à Jeanne la rose qu'il portait à sa boutonnière.▼
▲[[File:CFP Granier, Jeanne (1).jpg|vignette|Jeanne Granier vers 1900]]
▲La frontière entre le demi-monde et les coulisses des théâtres étaient assez floues et
▲À ce propos, le réalisateur [[Jean Renoir]], en parlant de son père le peintre [[
Jeanne Granier est, par ailleurs, mentionnée dans l'œuvre de [[Marcel Proust]] ''[[À la recherche du temps perdu]]''.▼
Jamais mariée, elle accouche le {{date-|29 septembre 1877}} à Paris {{16e}} à la villa Montmorency, 7 avenue du Square, d'un fils prénommé Xavier-Jean-André de père inconnu<ref name=":1">[https://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjMtMTAtMTkiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjIzOTA4O3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=-1213%2C-1146&uielem_islocked=0&uielem_zoom=217&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F « Acte de naissance n°819 avec mentions marginales (vue 17/31) »], registre des naissances du {{16e}} arrondissement pour l'année 1877, Archives en ligne de la Ville de Paris.</ref>. Elle le reconnaît à l'état-civil le {{date-|10 juillet 1907}}<ref name=":1" />.
Concernant la paternité d'André Granier, la chanteuse [[Eugénie Buffet]] déclare, avec une pointe d'humour: « C'était [[Laure Hayman]]
André Granier se marie à deux reprises (dont un divorce) et meurt le {{date-|1 juin 1949}} à [[Nice]] ([[Alpes-Maritimes]])<ref name=":1" />.
* [[
* [[
* [[1875 au théâtre|1875]] : ''La Petite Mariée'', opéra bouffe d'Eugène Leterrier et Albert Vanloo, musique de Charles Lecocq, théâtre de la Renaissance
* [[1877 au théâtre|1877]] : ''La Marjolaine'', opéra bouffe d'Eugène Leterrier et Albert Vanloo, musique de Charles Lecocq, théâtre de la Renaissance
▲« C'était [[Laure Hayman]] ''(demi-mondaine célèbre)'' qui, fort gentiment, m'avait mis en garde contre la trop grande fécondité du beau de Merena, lequel avait la réputation justifiée de faire des enfants à toutes les jolies femmes de Paris ! Elle m'amusait beaucoup quand, me prenant par le bras, elle croyait devoir m'avertir : "Ne vous asseyez pas sur cette chaise, de Merena vient de s'y asseoir, vous auriez un enfant !" Et elle me glissait à l'oreille : "Savez-vous que le fils de Jeanne Granier est du Comte de Merena ?" Et elle ajoutait, avec un grand sérieux : "Il y en a comme ça des tas dans Paris !" »
* [[
* [[1879 au théâtre|1879]] : ''La Petit Mademoiselle'', opéra-comique d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy, musique de Charles Lecocq, théâtre de la Renaissance
* [[1880 au théâtre|1880]] : ''Les Voltigeurs de la {{32e}}'', opéra-comique d'[[Edmond Gondinet]] et [[Georges Duval (dramaturge)|Georges Duval]], musique de [[Robert Planquette]], théâtre de la Renaissance
* 1880 : ''[[Belle Lurette]]'', opéra-comique d'Ernest Blum, [[Édouard Blau]] et Raoul Toché, musique de Jacques Offenbach, théâtre de la Renaissance
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▲* [[1888 au théâtre|1888]] : reprise de ''[[Barbe-Bleue (opéra bouffe)|Barbe-Bleue]]'' (création en 1866), opéra bouffe de [[Henri Meilhac]] et [[Ludovic Halévy]], musique de [[Jacques Offenbach]], [[Théâtre des Variétés]]
▲* [[1890 au théâtre|1890]] : reprise du ''Petit Duc'', opéra bouffe d'[[Henri Meilhac]] et [[Ludovic Halévy]], musique de [[Charles Lecocq (compositeur)|Charles Lecocq]], [[Théâtre des Variétés]]
▲* [[1895 au théâtre|1895]] : ''Amants'', comédie de [[Maurice Donnay]], avec [[Lucien Guitry]], [[Théâtre de la Renaissance (Paris)|Théâtre de la Renaissance]]
* [[1897 au théâtre|1897]] : ''[[Le Plaisir de rompre]]'', comédie de [[Jules Renard]], Cercle des Escholiers
* [[1899 au théâtre|1899]] : ''Le Vieux Marcheur'', comédie d'[[Henri Lavedan]],
* [[1900 au théâtre|1900]] : ''Éducation de Prince'', comédie de
* [[1901 au théâtre|1901]] : ''Les Médicis'', comédie d'
*
*
* [[1902 au théâtre|1902]] : ''Les Deux Écoles'', comédie d'
*
* [[1903 au théâtre|1903]] : ''La
* [[1905 au théâtre|1905]] : ''Snob'', comédie de [[Gustave Guiches]],
*
* [[1906 au théâtre|1906]] :
* [[1907 au théâtre|1907]] :
* [[1908 au théâtre|1908]] : ''Mariage d'Étoile'', comédie d'[[Alexandre Bisson]] et Georges Thurner,
*
* [[1911 au théâtre|1911]] : ''La Bonne intention'', [[Théâtre Michel (Paris)|
* [[1912 au théâtre|1912]] : ''[[L'Habit vert (Flers et Caillavet)|L'Habit vert]]'' de [[Robert de Flers]] et [[Gaston Arman de Caillavet]],
* [[1913 au théâtre|1913]] : ''Le Ruisseau'' de [[Pierre Wolff]], [[
* [[1914 au théâtre|1914]] : ''Madame'' d'[[Abel Hermant]] et [[Alfred Savoir]], avec [[Monna Delza]],
* [[1921 au théâtre|1921]] : ''[[Le Grand Duc (pièce de théâtre)|Le Grand Duc]]'', comédie de [[Sacha Guitry]],
* [[1925 au théâtre|1925]] : ''Le Mariage de Maman'' de [[Louis Verneuil]] et [[Georges Berr]], [[Théâtre Antoine - Simone-Berriau|théâtre Antoine]]<ref>{{Lien web |langue=FR |titre=''Comœdia'' |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7649937w/f1.item.r=Granier.zoom |site=Gallica |date=1925-11-24 |consulté le=2021-03-02}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |titre=''Le Ménestrel'' |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5617943r/f8.image.r=Granier|site=Gallica |date=1925-11-27 |consulté le=2021-02-21}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=FR |titre=''La Rampe'' |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5725412c/f9 |site=Gallica |date=1925-12-01 |consulté le=2021-02-21}}</ref>.
==
En 1890, [[Rodolphe Piguet]] exécute son portrait gravé intitulé ''Une française de 1900''.
▲Dans d'autres théâtres de Paris elle crée ''Mademoiselle Gavroche'' (aux Variétés), ''La Béarnaise'' (aux [[Théâtre des Bouffes-Parisiens|Bouffes-Parisiens]]), ''La Cigale et la Fourmi'' (Gaité) et ''Saturnales'' (Nouveautés).
▲Le compositeur [[Emmanuel Chabrier]] lui a dédié sa chanson ''Ballade des gros dindons'' (1889)
▲Jeanne Granier est, par ailleurs, mentionnée dans l'œuvre de [[Marcel Proust]] ''[[À la recherche du temps perdu]]''.
== Notes et références ==
{{Traduction/Référence|en|Jeanne Granier|545756730}}▼
{{Références}}
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* K. Gänzl, «
▲{{Traduction/Référence|en|Jeanne Granier|545756730}}
* J. Martin, ''Nos artistes des théâtres et des concerts'', [[Paul Ollendorff]], Paris, 1895.▼
▲* K. Gänzl, « Jeanne Granier », ''[[The New Grove Dictionary of Opera]]'', Macmillan, Londres et New York, 1997.
▲* J. Martin, ''Nos artistes des théâtres et des concerts'', Paul Ollendorff, Paris, 1895.
* D. Irvine, ''Massenet, une chronique de sa vie et l'époque'', Amadeus Press, Portland, 1997.
* R. Delage, ''Emmanuel Chabrier'', Fayard, Paris, 1999.
== Liens externes ==
{{autres projets|commons=Category:Jeanne Granier}}
{{liens}}
* [https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/170191 Jeanne Granier] sur la Base Léonore
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* [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53117217h?rk=1309019;2
* [http://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article3785 Photo de la tombe disparue de Jeanne Granier au cimetière de Montmartre]
▲* [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53117217h?rk=1309019;2 Estampe ''le Petit Duc''] chez Gallica, avec Mlle Jeanne Granier, duc Raoul et Mlle [[Mily-Meyer|Mily Meyer]], la duchesse
{{Média externe|image1=[https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&startRecord=0&maximumRecords=15&page=1&query=%28gallica%20all%20%22Granier%2C%20Jeanne%20%281852-1939%29%22%29%20and%20dc.type%20all%20%22image%22%20sortby%20dc.date%2Fsort.ascending Portraits de Jeanne Granier sur le site de la Bibliothèque nationale de France] ''[[Bibliothèque nationale de France|BnF]]'' ({{Gallica}})}}
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{{DEFAULTSORT:Granier, Jeanne}}
[[Catégorie:Soprano française]]
[[Catégorie:Chanteuse française du XIXe siècle]]
[[Catégorie:Chanteuse française du XXe siècle]]
[[Catégorie:Chanteuse française d'opéra
[[Catégorie:
[[Catégorie:Naissance en mars 1853]]
[[Catégorie:Naissance dans le département de la Seine]]
[[Catégorie:Décès en décembre 1939]]
[[Catégorie:
[[Catégorie:Décès à 87 ans]]
[[Catégorie:Personnalité inhumée au cimetière de Montmartre (division 29)]]
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