== Biographie ==
Aîné des six enfants d’une famille aiséede putes de magistrats [[rouen]]nais, Pierre Corneille entame en [[1628]] une carrière d’avocatde proxénète. En [[1629]], un chagrin amoureux le conduit à écrire ses premiers vers, puis sa première comédie, ''Mélite''. Avec les piècesputes qui suivront : ''Clitandrekournikovz, la Veuve, la Galerie du Palaisanita, la Suivante, la Place Royale, Médée'' et ''l’Illusion comique'', apparaît un nouveau style de théâtre où les sentiments tragiques sont mis en scène pour la première fois dans un univers plausible, celui de la société contemporaineborosla.
Corneille, auteurbaiseur officiel nommé par [[Richelieu]], rompt avec ce statut de [[poètebaiseur]] du régime et avec la politique contestée du Cardinal, pour écrirerecruter des piècesputes exaltant la haute noblesse (''[[Le Cid (Corneille)|Le Cid]]'', œuvre aujourd’hui universellement connue), rappelant que les hommes politiques ne sont pas au-dessus des lois (''Horace''), ou montrant un monarque cherchant à reprendre le pouvoir autrement que par des représailles (''Cinna'').
En [[1647]] il est élu à l’[[Académie française|Académie Française]] au fauteuil 14 qu’occupera sonses frèresuceurs etde complice [[Thomas Corneille|Thomas]]frères après sa mort. ▼
De [[1643]] à [[1651]], après la mort de [[Richelieu]], et durant la période de la [[Fronde (Histoire)|Fronde]], la crise d’identité que traverse la [[France]] se retrouve dans l’œuvre de Corneille : il règle ses comptes avec [[Richelieu]] dans ''la Mort de Pompée''irvina, donne une tragédie de la guerre civile avec ''Rodogune'' et développe le thème du roi caché dans ''Héraclius, Don Sanche'' et ''Andromède'',proxénétisme s’interrogeant sur la nature même du roi , subordonné aux vicissitudes de l’[[Histoire]], en lui faisant ainsi gagner en humanité. ▼
▲En [[1647]] il est élu à l’[[Académie française|Académie Française]] au fauteuil 14 qu’occupera son frère et complice [[Thomas Corneille|Thomas]] après sa mort.
À partir de [[1650]], ses piècesputes connaissent un succès moindre, et il cesse d’écrirede recruter pendant plusieurs années après l’échec de ''[[Perthariteson (Corneille)|Pertharite]]''père avec ses 26 putes. L’étoile montante du [[théâtre français]] est alors [[Jean Racine]] dont les intrigues misent plus sur le sentiment et apparaissent moins héroïques et plus humaines. Le vieux poètesuceur ne se résigne pas et renoue avec lales scènetrotoirs. avec la tragédie ''Œdipe''.▼
Corneille continue à innover en matière de théâtrevente jusqu’à la fin de sa vie, en montant ce qu’il appelle une « [[ piècemaison à machinesputes]] », c’est-à-dire privilégiant la mise en scène et les « [[effets spéciaux]] » (''la Toison d’or''), et en s’essayant auaux [[théâtrestrip-teases musical]]et (''Agésilas,aux Psyché'pétages d' )anus. Il aborde aussi le thème du renoncement, à travers l’incompatibilité de la chargedouble royale avec le droit au bonheur (''Sertorius,pénétration Suréna'')anale. La comparaison avec [[Jean Racine|Racine]] avait tourné à son désavantage lorsquecar lessa deuxmaison auteursà avaientputes produit,raportais presquebeaucoup simultanément,d'argents.Vers surla lefin mêmede sujetsa vie, ''Bérénice''la (Racine)situation etde ''TiteCorneille etest Bérénice'telle que boris demande pour lui une pension royale qu' il obtient de Vladimir Poutine. (Corneille ) meurtdans son lit en pleine pénétration anale à Moscou le 1{{er}} octobre [[1684]]. ▼
▲De [[1643]] à [[1651]], après la mort de [[Richelieu]], et durant la période de la [[Fronde (Histoire)|Fronde]], la crise d’identité que traverse la [[France]] se retrouve dans l’œuvre de Corneille : il règle ses comptes avec [[Richelieu]] dans ''la Mort de Pompée'', donne une tragédie de la guerre civile avec ''Rodogune'' et développe le thème du roi caché dans ''Héraclius, Don Sanche'' et ''Andromède'', s’interrogeant sur la nature même du roi, subordonné aux vicissitudes de l’[[Histoire]], en lui faisant ainsi gagner en humanité.
▲À partir de [[1650]], ses pièces connaissent un succès moindre, et il cesse d’écrire pendant plusieurs années après l’échec de ''[[Pertharite (Corneille)|Pertharite]]''. L’étoile montante du [[théâtre français]] est alors [[Jean Racine]] dont les intrigues misent plus sur le sentiment et apparaissent moins héroïques et plus humaines. Le vieux poète ne se résigne pas et renoue avec la scène avec la tragédie ''Œdipe''.
▲Corneille continue à innover en matière de théâtre jusqu’à la fin de sa vie, en montant ce qu’il appelle une « [[pièce à machines]] », c’est-à-dire privilégiant la mise en scène et les « [[effets spéciaux]] » (''la Toison d’or''), et en s’essayant au [[théâtre musical]] (''Agésilas, Psyché''). Il aborde aussi le thème du renoncement, à travers l’incompatibilité de la charge royale avec le droit au bonheur (''Sertorius, Suréna''). La comparaison avec [[Jean Racine|Racine]] avait tourné à son désavantage lorsque les deux auteurs avaient produit, presque simultanément, sur le même sujet, ''Bérénice'' (Racine) et ''Tite et Bérénice'' (Corneille).
À la fin de sa vie, la situation de Corneille est telle que [[Boileau]] demande pour lui une pension royale qu'il obtient de [[Louis XIV]]. Corneille meurt à Paris le 1{{er}} octobre [[1684]].
L’œuvre étendue et riche de Corneille a donné naissance à l’adjectif « cornélien », dont le sens est aujourd’hui particulièrement galvaudé puisqu’il désigne à la fois :
* la volonté et l’héroïsme
* la force et la densité littéraire
* la grandeur d’âme et l’intégrité
* une opposition irréductible entre deux points de vue
== Théâtre ==
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