Attentat de Joseph Henri. — Manuscrit rempli d’intercalations, d’ajoutés collés en marge ; entièrement de la main de Victor Hugo, sauf le texte de ses discours ; en tête de ce texte, une note : 27 août. Dicté par moi en rentrant de la séance secrète.
Deux croquis représentant Joseph Henri : le premier biffé ; le second, reproduit page 157, porte en marge : Très ressemblant.
À la Chambre des pairs. 1846-1847. — Chaque feuillet porte en tête le titre : Faits contemporains, sauf le premier, sur le général Fabvier, qui ne porte qu’un mot : Profils.
Visite la Conciergerie. — Sur la couverture de ce dossier, au-dessous du titre, un croquis représentant un bonhomme aux rares cheveux hérissés, à l’œil rond, au nez long et pointu, montrant des dents inquiétantes dans une bouche férocement entr’ouverte et faisant un magistral pied de nez.
En marge du texte, Victor Hugo a dessiné la table de torture.
Quelques ajoutés. Pas de ratures.
1847. Procès Teste et Cubières. — Pour ce dossier de soixante-dix-sept pages, entièrement écrites par lui, Victor Hugo a pris les premières feuilles de papier qui lui tombaient sous la main ; deux de ces feuilles sont des convocations de la Chambre des pairs. Sur une page datée 10 juillet, le croquis reproduit page 257, et le portrait de l’huissier.
Affaire Praslin. — Tout le début de ce récit est dans le Journal de 1847. Le manuscrit ne commence qu’aux débats à la Chambre des pairs.
1848. — La plupart des récits de cette année étaient sous une chemise portant pour titre : Révolution de 1848. — Faits, pièces, etc. Outre les récits publiés, on trouve dans ce dossier une lettre intéressante publiée dans l’Historique, page 448 ; une autre lettre demandant à Victor Hugo sa protection ; un feuilleton de l’Assemblée natio-