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Constance Debré

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Constance Debré
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (52 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Père
Autres informations
Distinctions
Prix Contrepoint (en) ()
Prix Les Inrockuptibles du roman français ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Constance Debré, née en , est une avocate[1] et romancière française.

Constance Debré est la fille du journaliste François Debré (1942-2020) et de l'ancien mannequin Maylis Ybarnégaray (1942-1988).

Par son père, elle est petite-fille de Michel Debré (1912-1996) et petite-fille par sa mère de Jean Ybarnégaray (1883-1956). Elle est, en outre, la nièce des anciens ministres Jean-Louis Debré[2] et Bernard Debré.

Elle a une sœur prénommée Ondine[3].

Jeunesse et formation

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Sa mère décède en 1988 alors qu'elle a 16 ans[4]. Elle étudie au lycée Henri-IV[5], puis le droit à l'université Paris-Panthéon-Assas[6].

Elle est diplômée de la promotion 99 (E99) de l'École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC)[7]. Mariée en 1993 à vingt ans, elle a un fils en 2008[8], quinze ans plus tard.

Avocate de profession en 2010[5], elle accompagne son père François Debré en 2011, mis en examen dans l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris[9], et défend notamment une dizaine de cas de djihadistes[10]. Reconnue pour son éloquence, elle est élue deuxième secrétaire de la Conférence des avocats du barreau de Paris en 2013[11].

Carrière dans le mannequinat et la littérature

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Fin 2020, elle défile sur le podium pour le couturier Paco Rabanne[12].

Après quelques livres d'autobiographie et d'autofiction, elle rejoint la fiction avec Offenses, où elle présente un jeune assassin de vieille voisine (sic) : pour tout paradis un enfer.

Vie privée

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En 2015, elle quitte son conjoint, sa « vie bourgeoise »[13] et son métier d’avocate. Elle se met en « cavale » en renonçant à la propriété d’un appartement et mène à plein temps une carrière d'écrivaine[14].

Elle a vécu avec la styliste Camille Bidault-Waddington[15], ancienne femme de Jarvis Cocker[16].

Notes et références

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  1. Pascale Robert-Diard, « Constance Debré : de l'autre côté du nom », Le Monde, (consulté le ).
  2. Ludovic Perrin, « Constance Debré », Le Journal du dimanche,‎ , p. 47.
  3. [1]
  4. Marianne Bliman« Constance Debré : un « Nom » qui claque comme un « non » », Les Échos, 17 mars 2022 .
  5. a et b « Portrait : Constance Debré, la prometteuse avocate métamorphosée par la littérature », Vanity Fair, (consulté le ).
  6. « Constance Debré : "Dans "Love me tender", il y a un désir de table-rase et de faire le vide." », France Inter, 13 janvier 2020.
  7. Louis Armengaud Wurmser, « Livre : Play Boy », sur ESSEC Alumni, (consulté le ).
  8. Luc Le Vaillant, « Constance Debré, maître ès femmes », Libération, (consulté le ).
  9. Rémi Duchemin, « François Debré, le fils maudit », Europe 1, (consulté le ).
  10. Lucie Soullier, « Profession : avocats de djihadistes », Le Monde, (consulté le ).
  11. Nathalie Segaunes, « Constance, François, Jean-Louis, etc. : les Debré et la France », L'Opinion, (consulté le ).
  12. Sophie Abriat, « Les écrivaines, nouvelles influenceuses mode », Le Monde, (consulté le ).
  13. « Sylvain Prudhomme, Constance Debré, Jean-Pierre Abraham : la chronique « poches » de Véronique Ovaldé », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. Gaspard Dhellemmes, « L'important d'être Constance », Vanity Fair no 68, mai 2019, pp. 78-85.
  15. Aurélie Raya, « Constance Debré : «Papa-maman-et-mes-traumas est une religion qui m’ennuie» », Paris Match,‎ (lire en ligne).
  16. Louis-Henri de La Rochefoucauld, « Le génie de sa famille », Technikart,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. Isabelle Beaulieu, « Constance Debré remporte le prix de La Coupole », sur Revue Les libraires, (consulté le ).
  18. « Entretien avec Constance Debré et Eric Reinhardt, lauréats du Prix des Inrockuptibles - Les Inrocks », sur lesinrocks.com (consulté le ).
  19. Françoise Le Corre, « Recensions », Études, S.E.R., vol. Tome 402, no 1,‎ , p. 121-143 (122-123) (ISSN 0014-1941, résumé, lire en ligne).
  20. Elisabeth Philippe, « "J'aime les filles" : le bras d'honneur littéraire de Constance Debré », L'Obs, (consulté le ).
  21. Gérard Lefort, « “Play Boy”, le jeu de massacre de Constance Debré », Les Inrocks, (consulté le ).
  22. Claire Devarrieux, « Vues sur la mère : la dépossession selon Constance Debré », Libération, (consulté le ).
  23. Nathalie Crom, « Quand Constance Debré dit “Nom” », Télérama, (consulté le ).
  24. Amandine Schmitt, « Constance Debré contre la Justice », L'Obs, .

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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