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Jean-Claude Trichet

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Jean-Claude Trichet
Illustration.
Jean-Claude Trichet en 2010.
Fonctions
Président de la
Banque centrale européenne

(8 ans)
Vice-président Lucas Papademos
Vítor Constâncio
Prédécesseur Wim Duisenberg
Successeur Mario Draghi
Gouverneur de la Banque de France

(10 ans et 2 mois)
Prédécesseur Jacques de Larosière
Successeur Christian Noyer
Directeur du Trésor

(6 ans et 1 mois)
Prédécesseur Daniel Lebègue
Successeur Christian Noyer
Biographie
Date de naissance (81 ans)
Lieu de naissance Lyon 4e (Rhône)
Nationalité Française
Parti politique PSU
Père Jean Trichet
Diplômé de Lycée Condorcet
École nationale supérieure des mines de Nancy
Université de Paris
IEP de Paris
École nationale d'administration
Profession Ingénieur
Haut fonctionnaire

Signature de Jean-Claude Trichet

Jean-Claude Trichet
Présidents de la Banque centrale européenne

Jean-Claude Trichet, né le dans le 4e arrondissement de Lyon[1], est un haut fonctionnaire français. Après avoir été directeur du Trésor de 1987 à 1993, gouverneur de la Banque de France de 1993 à 2003, il est président de la Banque centrale européenne de 2003 à 2011.

Jeunesse et études

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Jean-Claude Trichet est né le à Lyon. Son père, Jean Trichet, est enseignant, normalien, ami de Georges Pompidou et de Léopold Sédar Senghor[2],[3]. Il a aussi été membre du premier cabinet civil du Maréchal Pétain[4].

Il est élève à Paris au lycée Fénelon Sainte-Marie puis au lycée Condorcet. Il devient ensuite ingénieur civil de l'École nationale supérieure des mines de Nancy (Promotion 1961) et obtient une maîtrise en sciences économiques à l'université de Paris en 1966. Il est diplômé de l'IEP de Paris (1966, section Service Public)[5], et est élève de l'École nationale d'administration (ENA) de 1969 à 1971[6]. Il fait partie de la promotion Thomas More de l'ENA, avec Michel Bon, Jean-Louis Bianco, Marc Tessier, Claude Guéant, Alain Richard, François d'Aubert et Jean-Paul Huchon, entre autres. Il est aussi conseiller pour le think-tank transatlantique European Horizons[7].

Il indique avoir été membre du PSU « entre 19 et 20 ans »[8].

Parcours professionnel

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Haute fonction publique

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Il commence sa carrière comme inspecteur des Finances. Il occupe dès lors différents postes au ministère des finances, à l’Inspection générale des finances, puis à la Direction du Trésor où il devient, en 1976, secrétaire général du Comité interministériel pour l’aménagement des structures industrielles (CIASI).

En 1978, Jean-Claude Trichet est nommé conseiller économique au cabinet du ministre de l’économie puis, la même année, conseiller du président de la République (Valéry Giscard d’Estaing). À ce titre, il travaille de 1978 à 1981 sur les dossiers de l’énergie, de l’industrie, de la recherche et de la microéconomie[9],[10].

De 1985 à 1993, Jean-Claude Trichet est président du Club de Paris[10].

En 1986, il est directeur de cabinet d'Édouard Balladur au ministère des Finances[8]. Entre 1987 et 1993, il est directeur du Trésor[11] et gouverneur suppléant du Fonds Monétaire International. Il est président du Comité monétaire européen de 1992 à 1993[10].

Gouverneur de la Banque de France

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En 1993, il devient gouverneur de la Banque de France[11],[12],[13] Comme directeur du Trésor et comme gouverneur de la Banque de France, il a mis en œuvre la stratégie française de « désinflation compétitive » dans les années 1980 et 1990. À la fin des années 1990, il lance l’idée des « Principes pour des flux de capitaux stables et une restructuration équitable de la dette dans les pays émergents », qui seront adoptés par la Communauté internationale au début des années 2000[10].

Le 29 juin 2003, Jean-Claude Trichet est élu président des gouverneurs des banques centrales du Groupe des Dix (G-10). Il est également élu président des banquiers centraux de la Réunion de l’économie globale (Global Economy meeting) et président du groupe des gouverneurs et des responsables de la supervision bancaire (Governors and Heads of Supervision (GHOS)[10].

Président de la Banque centrale européenne

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Il est nommé président de la Banque centrale européenne le , d’un commun accord, par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres ayant adopté l’euro, pour une durée de huit ans. Sa nomination prend effet à compter du , succédant à Wim Duisenberg, il devient le deuxième président de la Banque centrale européenne[14]. Depuis fin 2010 et jusqu’au 31 octobre 2011, M. Trichet est président du Comité européen du risque systémique (CERS). À cette époque, il note que l'endettement des ménages et des particuliers augmente de 8 % par an en moyenne et considère que l'augmentation trop rapide de l'endettement privé pourrait se traduire par une crise ultérieure de surendettement[15]. Malgré ses alertes, l'opposition au sein du bureau de la BCE ne prend aucune mesure concrète de régulation du crédit, notamment du crédit immobilier[15]. La BCE n'impose également aucune mesure de prudence aux banques prêteuses[15].

Il préconise un alignement de la France sur les réformes économiques adoptées en Allemagne. Il fait de la réduction de l'inflation sa priorité, y compris au moyen de politiques d’austérité, ce qui aurait eu pour effet de contribuer à démanteler le tissu industriel français[16].

Selon le journal L'Express, la rémunération de Jean-Claude Trichet en tant que président de la Banque centrale européenne à Francfort est de 345 252 , auxquels s'ajoutent la résidence et les frais de représentation[17]. En 2007, le Financial Times le déclare personnalité de l'année pour sa gestion de la crise financière de l'été 2007 qui se révèlera être la première étape de la crise des subprimes[18],[19].

Le , il cède sa place à Mario Draghi, ancien président de la Banque centrale italienne[20]. Pendant son passage à la tête de la Banque centrale européenne, son principal objectif est de lutter contre l'inflation[21]. Il prit la décision, en pleine crise économique, d’augmenter les taux d’intérêts de la zone euro en juillet 2008 et en avril 2011[16].

Le , le Conseil d’administration d’EADS a approuvé la nomination de Jean-Claude Trichet en remplacement d’Arnaud Lagardère au Conseil, où il représentera (avec Dominique d’Hinnin, directeur financier de Lagardère SCA) la Sogeade, structure qui porte les intérêts des actionnaires français[22].

Pour l'universitaire Frédéric Lebaron, Jean-Claude Trichet « est le plus célèbre et le plus influent d'entre tous » les experts issus de l’inspection des finances[23]. Il est membre d'honneur de l'Institut Aspen France[10],[24]. Il est administrateur de l'Institute for International Economics[25] un important think tank de Washington. Il est membre du comité de direction du groupe Bilderberg[26]. Il est membre du club Le Siècle[27]. Jean-Claude Trichet est le président en exercice du groupe européen de la Commission trilatérale[28] et président d'honneur du Group of Thirty[29]. Il est président du Conseil d’administration de l’ Institut Bruegel de Bruxelles[10].

Parcours professoral

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Jean-Claude Trichet a enseigné l'économie à l'Institut d'études politiques de Paris. Richard Descoings le cite comme l'un des grands économistes à avoir enseigné la macroéconomie au sein de l'école[30].

En [31], il est mis en examen pour « complicité de diffusion de fausses informations au marché et complicité de présentation et publication de comptes sociaux inexacts » dans l’affaire du Crédit Lyonnais (devenu LCL). Il est renvoyé en correctionnelle le puis relaxé par le tribunal correctionnel de Paris avec Jacques de Larosière le [32]. La Cour d'appel de Paris confirme la relaxe le . Le , la Cour de cassation rejette définitivement les pourvois formés contre l’arrêt de la cour d’appel de Paris[33].

En , Jean-Claude Trichet a été soupçonné avec huit autres accusés d'irrégularités au Crédit lyonnais. Il était responsable du trésor français à cette époque. Il est blanchi en [34].

Il a été critiqué[Par qui ?] pour la manière dont la BCE a répondu à la récession liée à la crise économique des années 2000, en mettant l'accent sur la stabilité des prix plutôt que sur la reprise et la croissance[35]. On lui a également reproché d'avoir refusé de répondre à une question sur un possible conflit d'intérêts concernant l'implication de son successeur Mario Draghi à Goldman Sachs, avant qu'il ne prenne la tête de la BCE[36].

Il s'attire l'opposition de la délégation française de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe pour avoir refusé de parler en français, ce qui lui vaut en 2004 l'obtention d'un prix parodique[21],[37].

  • Recréer le système monétaire international en collaboration avec Jacques de Larosière, Jean Baechler, Michel Pebereau, Hermann, 2015
  • Les Lumières: hier, aujourd’hui, demain, Sciences et société, ouvrage collectif, Hermann, 2014
  • La monnaie pourquoi? Bayard Adulte, 2013
  • Notice sur la vie et les travaux de Pierre Messmer, 1916-2007 lue le lundi 5 décembre 2011, Institut de France, Académie des sciences morales et politiques, Palais de l’Institut 2011
  • La Banque nationale de Belgique, du Franc Belge à l’Euro, Racine Lanoo, 2006
  • Un Président devrait faire ça – Mesures d’urgence pour le nouveau quinquennat, sous la direction de Philippe Dessertine (Cercle Turgot), Editions Telemaque, 2022.
  • Le patriotisme économique a-t-il un sens aujourd’hui ? , sous la direction de Christian de Boissieu et Dominique Chesneau, Maxima, 2020
  • The Value of Money, Controversial Economic Cultures in Europe: Italy and Germany, sous la direction de Francesco Papadia, Villa Vigoni, 2020
  • La dette : potion magique ou poison mortel ?, sous la direction de Philippe Dessertine (Cercle Turgot), Editions Telemaque, 2020.
  • Paroles d’euro sous la direction de Jean-Claude Trichet et Christian de Boissieu avec comme auteurs Pierre Bellon, Daniel Bernard, Michel Bon, Dany Breuil, Pierre Drachline, Bernard Esambert, Paul Hermelin, Maurice Levy , Jacques Maillot, Serge Marti, Michel Prada, Franck Riboud, Pierre Richard, Louis Schweitzer, Jean-François Théodore, Alain Touraine, Claude Vallon, Marc Viénot, Cherche midi 2019
  • La descente aux enfers de la finance, Georges Ugeux, Odile Jacob,2019.
  • La vulnérabilité du système financier mondial, Pierre Cailleteau, Economica, 2018.
  • Dessine-moi une Europe qui donne envie (Courage : Ich wünsch’ mir ein Europa, das begeistert), Axel Rückert, Le Bord de l’Eau (Dietz Verlag), 2017.
  • La crise financière et la fin de l’Ancien Régime, Jean-Pierre Patat, Editions Bernard Giovanangeli, 2015.
  • The Future of economic and monetary union in the light of Pierre Werner’s legacy, ouvrage collectif, P.I.E. Peter Lang, 2014.
  • Capital markets, derivations and the law: evolution after crisis, Alan N. Rechtschaffen, Oxford University Press, 2014.
  • Comment la régulation financière peut-elle sortir l’Europe de la crise ? François-Gilles Le Theule, Paolo Bailo, ENA,2014.
  • Politique monétaire : stratégies et défis, Christian Pfister, François Drumetz, De Boeck,2010.
  • The external dimension of the Euro area : assessing the linkages, Filippo Di Mauro, Robert Anderton, Cambridge University Press,2008.
  • Stabilité financière et Banques centrales, André Icard, Economica,2007.
  • Sortir de l’engrenage de la dette, David Lawson (Le Club de Paris), L’Harmattan,2004.
  • Les billets de la Banque de France et du Trésor : 1800 – 2002, Claude Fayette, Fayette,2004.
  • Code monétaire et financier, Alice Pezard, Juris Code,2004.
  • Sauvez l’or de la Banque de France  ! l’incroyable périple, 1940-1945, Tristan Gaston-Breton, Cherche-Midi,2002.
  • L’Art du billet : billets de la Banque de France 1800-2000, Banque de France, Musée Carnavalet,2000.
  • Banque de France. Deux siècles d’histoire, Tristan Gaston Breton, Cherche Midi, 1999
  • Couverture des risques de change et de taux dans l’entreprise, Charles de la Baume, André Rousset, Charles-Henri Taufflieb, Economica, 1999.
  • La réglementation bancaire, Pierre-Henri Cassou, SEFI,1997.

Il est marié à une diplomate et il a deux fils, Alexis, directeur marketing chez Orange, et Nicolas, musicien et producteur de musique électronique[38] au sein du duo français Archigram.

Distinctions

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Décorations

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Autres distinctions honorifiques étrangères : commandeur ou grand officier ou grand-croix des ordres nationaux du Mérite argentin, autrichien, belge, brésilien, équatorien, ivoirien et yougoslave[10].

  • Policy maker of the year, The International Economy magazine (1991 et 2007)[46],[10].
  • Prix Zerilli-Marimo de l'Académie des sciences morales et politiques (1999)[46].
  • Prix international Pico della Mirandola (2002)[46].
  • Prix franco-allemand de la Culture (2006) - Deutsch-Französischer Kulturpreis (2006)[46].
  • Médaille d’or Ludwig-Erhard (en 2007)[47].
  • Man of the year du Financial Times pour sa gestion de la crise du subprime (2007)[19].
  • « Banquier européen de l’année 2007 » par le groupe « 20+1 »[10].
  • « Banquier central de l’année 2008 » par « Euromoney »[10].
  • « Banquier central de l’année » par la revue The Banker (2008)[10]
  • n°5 dans la liste des personnalités les plus influentes du monde (World Most Powerful) établie par Newsweek (2008)[10].
  • n°5 dans la liste des personnalités les plus influentes dans le domaine financier (Most powerful figures in finance) de la revue Institutional Investors (2008)[10].
  • l’une des « Cinquante personnes ayant influencé la décennie » (Fifty faces that shaped the decade) du Financial Times en décembre 2009[10].
  • Vision pour l'Europe Award (2008)[10].
  • l’une des personnalités les plus importantes dans le monde de Time Magazine en 2011 (Most influential people in the world)[10].
  • Prix international Charlemagne d'Aix-la-Chapelle attribué pour son engagement en faveur de l’unité européenne (2011)[48],[10]
  • Prix de l’économie mondiale 2011 du Kiel Institute (2011)[10]
  • « Collier du Mérite Européen » à Luxembourg (2013)[10]
  • « Lifetime Achievement Award for Economic Policy » de l’Association américaine des économistes d’entreprises (NABE) lui a été remise à Washington (2014)[10].
  • prix pour réalisations exceptionnelles dans le domaine monétaire de la « Monetärer Workshop », Francfort (2016)[10].
  • Les universités de Liège, Stirling, Montréal, Tel Aviv, Bologne et Sofia ont conféré à Jean-Claude Trichet le titre de docteur honoris causa[46],[10].

Notes et références

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  1. Archives municipales de Lyon, 4e arrondissement, tables décennales des naissances 1933-1942, cote 2E2795
  2. Jean-Claude Groshens, Jean-François Sirinelli, Noëlline Castagnez-Ruggiu et al., Culture et action chez Georges Pompidou : actes du colloque, Paris, 3 et 4 décembre 1998, Association Georges Pompidou, , 454 p. (lire en ligne), p. 41
  3. Alain Pompidou, Georges Pompidou : Lettres, notes et portraits / 1928-1974, Paris, Robert Laffont, (lire en ligne)
  4. Jérôme Cotillon, « Les entourages de Philippe Pétain, chef de l'Etat français, 1940-1942 », Histoire@Politique, vol. 8, no 2,‎ , p. 81–81 (DOI 10.3917/hp.008.0081, lire en ligne, consulté le )
  5. Sciences Po, FNSP 27 rue Saint Guillaume 75007 Paris, « Sciences Po Stories - L'histoire de Sciences Po : la frise, les récits, les portraits et la carte », sur Sciences Po stories (consulté le )
  6. « JEAN-CLAUDE TRICHET, La légende du grand argentier », sur L'Express du 8 juin 2000 (consulté le )
  7. (en) « European Horizons – A Transatlantic Think-Tank », sur www.europeanhorizons.org (consulté le )
  8. a et b « Jean-Claude Trichet, chevalier du franc fort », sur L'Express du 16/09/1993 (consulté le )
  9. « Valéry Giscard d’Estaing and Helmut Schmidt on “The Future of Europe – views from Founding Fathers” », sur ECB (consulté le )
  10. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x et y « JEAN-CLAUDE TRICHET », sur Académie des sciences morales et politiques (consulté le )
  11. a et b « Biographie Jean-Claude Trichet », sur Trader Finance (consulté le )
  12. « Décret du 13 septembre 1993 », sur legifrance.gouv.fr (consulté le )
  13. « Décret du 9 septembre 1999 », sur legifrance.gouv.fr (consulté le )
  14. Déjeuner du Centre des Professions Financières - 12 juin 2012
  15. a b et c Le Canard Enchainé, « Les petits et les gros profiteurs de la crise : Les (mal) voyants sont au rouge », Les dossiers du Canard Enchainé,‎ , p. 22-23
  16. a et b « Pascal Lamy, Pierre Moscovici, Jacques Attali... Les cerveaux du naufrage », sur www.marianne.net,
  17. « Ces postes qui valent de l'or », sur L'Express du 9 avril 2008 (consulté le )
  18. « Trichet, l'homme de l'année pour la City », Les Échos, 26 décembre 2007
  19. a et b « Person of the Year: Jean-Claude Trichet », sur FT du 23 décembre 2007 (consulté le )
  20. Mario Draghi remplace Jean-Claude Trichet, France-Soir, le .
  21. a et b « BCE : Jean-Claude Trichet se retire dans la tourmente économique », sur rfi.fr,
  22. « Jean-Claude Trichet devient administrateur d’EADS », sur lefigaro.fr 26/1/2012 (consulté le )
  23. Frédéric Lebaron, « La croyance économique dans le champ politique français », Regards croisés sur l'économie, vol. 1, no 18,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « Premium Communication », sur www.premium-communication.fr (consulté le )
  25. IIE Board of Directors
  26. (en) « Steering Committee », sur Bildergbergmeetings.org
  27. « Select Club : Le Siècle, club de rencontres des élites françaises. », sur La République des Lettres. (version du sur Internet Archive)
  28. (en) « Trilateral Commission - Leadership» , Commission Trilatérale
  29. (en) « Group of 30 :: Current Member Biography », sur group30.org (consulté le )
  30. Richard Descoings, Sciences Po: de la Courneuve à Shanghai, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, (ISBN 978-2-7246-0990-5, OCLC ocm86113501, lire en ligne)
  31. « L'affaire du Lyonnais éclabousse Jacques de La Rosière », l’Expansion,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. « Trichet in the clear », sur The Economist du 19 juin 2003 (consulté le )
  33. « Jacques de larosière de Champfeu », sur denistouret.net (consulté le )
  34. (en-GB) « Top Euro banker cleared of scandal cover-up », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. (en-US) Paul Krugman, « Opinion | An Impeccable Disaster », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
  36. « Liens Draghi-Goldman Sachs : Trichet reste muet (Arte) », Arrêts sur images,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Délégation française à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe/Communiqué de presse », sur francophonie-avenir.com (consulté le )
  38. Gerald Braunberger, Monsieur Euro : Jean-Claude Trichet eine Biographie, Frankfurter Allgem. Buch, , 220 p. (ISBN 978-3899811407)
  39. « European Region – The Trilateral Commission », sur trilateral.org (consulté le )
  40. Décret du 8 mars 2012 portant nomination d'un gouverneur honoraire de la Banque de France - M. Trichet (Jean-Claude)
  41. « Décret du 13 juillet 2006 », sur legifrance.gouv.fr (consulté le )
  42. « Décret du 10 mai 1995 », sur legifrance.gouv.fr (consulté le )
  43. (nl) Hoge onderscheiding voor ECB-topman
  44. « Hoge onderscheiding voor ECB-topman », sur NOS, 22 janvier 2011 (consulté le )
  45. https://www.fr.emb-japan.go.jp/itpr_fr/20180430-decorations.html
  46. a b c d et e « Jean-Claude Trichet », sur OECD (consulté le )
  47. « Speech by Jean-Claude Trichet, President of the European Central Bank, at the Wirtschaftstag 2007 as recipient of the “Ludwig Erhard Memorial Coin in Gold”, Berlin, 13 June 2007. », sur BIS.org (consulté le )
  48. Le président de la BCE Trichet lauréat du prix Charlemagne", Le Monde, daté du 4 décembre 2010
  • Dictionnaire historique des inspecteurs des Finances 1801-2009, Institut de la gestion publique et du développement économique, 2012

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