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* [[Sèvres]], [[musée national de Céramique]] : ''Vers l'amour'' ou ''Au Ruisseau'' ou ''Paul et Virginie'', réduction en biscuit par la [[Manufacture de Sèvres]].
* [[Sèvres]], [[musée national de Céramique]] : ''Vers l'amour'' ou ''Au Ruisseau'' ou ''Paul et Virginie'', réduction en biscuit par la [[Manufacture de Sèvres]].
* [[Tarbes]], [[musée Massey]] : ''Tête de Céphale'', dit aussi ''La Douleur'', vers 1890, plâtre.
* [[Tarbes]], [[musée Massey]] : ''Tête de Céphale'', dit aussi ''La Douleur'', vers 1890, plâtre.
** ''[[Fontaine des quatre vallées]]'' ou ''Monument Duvignau-Bousigues'', 1897, en collaboration avec [[Jean Escoula]] et [[Louis Mathet]]<ref>[https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/fontaine-des-quatre-vallees-ou-monument-duvignau-bousigues-tarbes/ « Fontaine des quatre vallées, ou Monument Duvignau-Bousigues – Tarbes »], notice sur e-monumen.net.</ref> ;
* [[Valenciennes]], [[Musée des Beaux-Arts de Valenciennes|musée des Beaux-Arts]] : ''Tête de Céphale'', dit aussi ''La Douleur'', bronze, fonte [[Siot-Decauville]].
* [[Valenciennes]], [[Musée des Beaux-Arts de Valenciennes|musée des Beaux-Arts]] : ''Tête de Céphale'', dit aussi ''La Douleur'', bronze, fonte [[Siot-Decauville]].



Version du 14 mars 2022 à 09:36

Jean Escoula
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 59 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Maître
Maurice Journès (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant

Jean Escoula né à Bagnères-de-Bigorre le et mort à Paris en est un sculpteur français.

Son fils Jacques Escoula (1882-1930) est également sculpteur[1].

Biographie

Jean Escoula reçoit une formation d'apprenti chez son père marbrier jusqu'en 1871. Il travaille comme praticien dans les ateliers de Jean-Baptiste Carpeaux, Jean Gautherin, Alfred Lenoir et Auguste Rodin, tout en développant parallèlement son œuvre personnel.

Entre 1884 et 1900, il exécute pour Rodin les marbres d’Ève, Éternelle idole, Madame Alfred Roll (vers 1887, avec Louis Cornu), Madame Vicuna (en 1888, avec Louis Cornu), La Danaïde (vers 1889), ainsi que les chevaux du Monument de Claude Gellée (en 1892, avec Victor Peter)[2].

Entre 1868 et 1908, il expose au Salon des artistes français, et de 1892 à 1910 au Salon de la Société nationale des beaux-arts.

Il remporte une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889 et à celle de 1900.

Œuvres dans les collections publiques

Salons

  • 1890 : La Mort de Procris, groupe en plâtre.
  • 1892 : Le Printemps, statue en plâtre.
  • 1895 : Nymphe des Sources, statue en plâtre.
  • 1897 : La Douleur, statue[7].
  • 1898 : La Mort de Procris, groupe en marbre.
  • 1909 : Muse bagnéraise, statue en marbre.

Notes et références

  1. « Jacques Escoula (1883-1930) », dans Art dans les Hautes-Pyrénées, sur art.loucrup65.fr.
  2. Site du musée d'Orsay.
  3. « Muse bagnéraise », notice no IM65002601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  4. « Monument à Sophie Cottin », notice sur anosgrandshommes.musee-orsay.fr.
  5. Notice du musée d'Orsay.
  6. « Fontaine des quatre vallées, ou Monument Duvignau-Bousigues – Tarbes », notice sur e-monumen.net.
  7. Gaston Schefer, Le Salon de 1897, Paris, Goupil et Cie, 1897, pp. 89 et 95 (en ligne).

Annexes

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Bibliographie

Liens externes