Sculptures à Liège
Voici la liste commentée des sculptures qui ornent la ville belge de Liège, classées par quartier.
Amercœur
[modifier | modifier le code]Statue de Notger
[modifier | modifier le code]Réalisée en 1891 à l'initiative du curé de Saint-Jean, Auguste Meyer, la statue représentant Notger, premier prince-évêque de Liège, est l’œuvre des sculpteurs H. Rixkens & fils. Érigée dans le cloître de Saint-Jean, la statue est transférée au pied de l'église Saint-Remacle dans le quartier d'Amercœur. L'état de dégradation de l'œuvre est une raison probable de son déménagement ; la main gauche, la crosse, l'index de la main droite ainsi que le clocher de la maquette sont manquants.[réf. nécessaire]
Notger y est représenté, montrant du doigt une reproduction de la collégiale Saint-Jean avec, à ses pieds, l'inscription : HIC REQUIES MEA (Ici est mon repos)[1],[2].
Angleur
[modifier | modifier le code]Monument Zénobe Gramme
[modifier | modifier le code]Le monument dédié à Zénobe Gramme, inauguré le dans le cadre de l'Exposition Universelle de Liège, est l’œuvre du sculpteur belge Thomas Vinçotte, en collaboration avec l'architecte liégeois Charles Soubre.
Ce monument se dresse à la jonction entre le pont de Fragnée et le pont de Fétinne sur le square qui porte le nom de l'illustre inventeur, à la fin du XIXe siècle, de la dynamo électrique.
Au centre, posé sur un haut socle, trône le buste en bronze de Zénobe Gramme, qui tient sa dynamo. Une femme (symbole probablement d'une muse inspiratrice ou de la récompense bien méritée) se tient à côté, ses mains enserrant des palmes glorieuses et des foudres électriques.
En bas, les statues en pierre représentent Gramme à 18 ans, quand il exerce son premier métier de menuisier ; et à 40 ans, quand il médite sur sa fameuse invention.
Sans titre
[modifier | modifier le code]Sans titre, Nic Joosen, 2003, Angleur, rond-point de la porte des Ardennes.
Avroy
[modifier | modifier le code]Parc d'Avroy
[modifier | modifier le code]Statue équestre de Charlemagne
[modifier | modifier le code]En 1855, Louis Jehotte, alors professeur de sculpture à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles, propose à la Ville de Liège de réaliser une statue équestre de Charlemagne. Cette sculpture en bronze, prévue initialement pour la place Saint-Lambert, surmonte un socle en pierre. Ce socle comporte six niches, accueillant chacune une statuette illustrant un ancêtre de l'empereur carolingien : Begge d'Andenne, Pépin de Herstal, Charles Martel, Bertrude, Pépin de Landen et Pépin le Bref. Il est orné également de médaillons, de colonnettes, de motifs végétaux et de l'aigle impérial. Une inscription latine rappelle que Charlemagne fut « grand dans la guerre, plus grand encore dans la paix ».
La statue est finalement érigée sur le boulevard d'Avroy et inaugurée en 1868.
En 1876, l'imposant socle est endommagé et sa partie inférieure est remplacée en 1897, après la mort du sculpteur.
Ce monument s'inscrit dans la tradition des statues équestres, remontant à l'Antiquité.
Le , la statue est démontée et emmenée en atelier à Périgueux, en Dordogne en vue d'une restauration complète[3]. La statue fait son retour au parc d'Avroy le [4].
Monument à la mémoire de Charles Rogier
[modifier | modifier le code]La statue dédiée à Charles Rogier est inaugurée en le à l'occasion de l'Exposition universelle de 1905 et du 75e anniversaire de l'indépendance du pays. Le monument est l'œuvre du sculpteur Camille-Marc Sturbelle et de l'architecte liégeois Paul Jaspar.
Il est situé à l'angle du boulevard d'Avroy, antique promenade du vieux Liège, et de l'avenue Blonden, le boulevard de la ville neuve.
La femme plantureuse symbolise la Patrie, et le lion est un emblème fréquent pour désigner la Belgique.
Monument national à la Résistance
[modifier | modifier le code]Le monument, réalisé par l'architecte Paul Étienne et du sculpteur Louis Dupont, est érigé dans la ville qui fut à la pointe du combat mené par la Résistance contre l'occupation nazie, il a été inauguré le , date anniversaire de la reddition allemande. Le groupe de gauche évoque la Résistance armée ; celui de droite, la Résistance intellectuelle. Sur les flancs du reliquaire en bronze doré sont gravées des figures représentant la presse clandestine, l'Union des services de renseignement et d’action et la Résistance armée et civile.
Le choix d'ériger cette œuvre à Liège est le reflet de l'importante activité de « l'armée de l'ombre » dans la Cité ardente. Les neuf provinces de l'époque sont représentées sous la forme de médaillons entourant l'urne reliquaire recelant les cendres de résistants inconnus du camp de Flossenbürg en Allemagne. Il ne s'agit donc pas de mettre en avant des personnalités, mais l'action commune d'une partie de la population.
Banc Jean d'Ardenne
[modifier | modifier le code]Le Banc Jean d'Ardenne est une œuvre de Louis Dupont et Camille-Marc Sturbelle, avec une plaque par Simone Plomdeur, dédiée à « l'ami des arbres et des sites » Léon Dommartin, connu également sous le pseudonyme Jean d'Ardenne[5],[6].
Œuvres antiques
[modifier | modifier le code]- Laocoon: copie du Groupe du Laocoon, œuvre des Rhodiens Agésandros, Athénodore et Polydore, vers 40 av. J.-C., situé au musée Pio-Clementino du Vatican. La sculpture est en fonte moulée du Val d'Osne
- Lutteurs
- Persée: la statue de Persée réalisée en 1880-1881 est une œuvre en fonte de Charles Veeck issue des fonderies du Val d'Osne. Il s'agit d'une reproduction de Persée tenant la tête de Méduse de Benvenuto Cellini se trouvant à Florence[7].
- Gladiateur Borghese
- Silène
- Polymnie
Monument Walthère Frère-Orban
[modifier | modifier le code]Sculpteur Paul Du Bois à proximité du parc d'Avroy
Bas-reliefs du lycée Léonie de Waha
[modifier | modifier le code]L’Étude, d'Adelin Salle, et l'Insouciance de la jeunesse de Louis Dupont et Robert Massart datant de 1937 sur la façade de Lycée Léonie de Waha.
Centre
[modifier | modifier le code]Hôtel de Ville
[modifier | modifier le code]Statue de la reine Astrid présentant le prince de Liège
[modifier | modifier le code]Réalisée en 1937 par le sculpteur Adelin Salle, cette statue d'1,90 m en marbre blanc représente la Reine Astrid présentant le prince Albert aux liégeois depuis le balcon de l'Hôtel de ville de Liège le [8],[9].
Elle est située dans une niche de la salle des pas perdus.
Place du Marché
[modifier | modifier le code]Perron
[modifier | modifier le code]Patrimoine classé (1936, no 62063-CLT-0026-01)
Le perron et la fontaine sous leur forme actuelle sont l’œuvre de Jean Del Cour. Le perron reversé par un vent violent le fut réparé par le statutaire liégeois. Il y ajouta trois statues (trois Grâces) en marbre blanc soutenant la pomme de pin et 6 bustes de même matière qui décoraient les arcades de la fontaine. Ces bustes furent déplacés par les bourgmestres Michel-Nicolas de Lohier et Louis-Lambert de Liverlo en 1717 dans le vestibule de l'Hôtel de ville où ils se trouvent encore au-dessus des portes.
La fontaine élevée par Jean Del Cour a été démolie en 1848 et reconstruite sur les plans primitifs. Elle a été livrée à l'usage du public en .
Fontaine de la Tradition
[modifier | modifier le code]La fontaine de la Tradition datant de 1719 est aussi appelée fontaine des Savetresses parce qu'autrefois, les jours de marché, c'était autour d'elle que se regroupaient les vendeurs de souliers (savetiers). D'ailleurs, elle se trouve sur une place appelée place du Marché
Il y avait une fontaine sœur à l'opposé du perron qui n'existe plus depuis 1921.
La construction en pierre, y compris les quatre coquilles placées aux coins de la fontaine et qui recueillent l'eau jaillissant des mascarons à visage humain, a été entreprise par I.J. Cramillon pour la somme de 700 florins. Une des faces comporte un panneau de bronze frappé des armoiries du prince-évêque Joseph-Clément de Bavière et des deux bourgmestres de l'an 1719 : Nicolas-Dieudonné de Trappé et Jacques-Mathias de Lambinon ainsi que l'inscription « faite par Pierre Levache » qui révèle le nom du fondeur. Ce panneau provient d'une fontaine antérieure.
Trois autres panneaux en bronze furent placés en 1930 et représentent en bas-relief des scènes de la vie populaire liégeoise : la cramignon, les marionnettes et les botteresses[A 1]. Ceux-ci sont l’œuvre de Georges Petit. C'est à cette époque que la fontaine pris le nom de « de la Tradition »[10].
L'ensemble s'achève par un couronnement mouluré, à nouveau orné de blasons et surmonté de la pomme de pin.
En 2012, la fontaine est démontée pour être rénovée, les marches et les vasques ont été replacées en octobre 2013 et le reste de l'édifice retrouve sa place en avril 2014[11]. Lors du démontage, des traces d'une fontaine plus ancienne ont été découvertes[12].
Façade néogothique ouest du Palais provincial
[modifier | modifier le code]La façade ouest du Palais provincial de Jean-Charles Delsaux, réalisée dans la seconde moitié du XIXe siècle, ne comporte pas moins de 42 statues, 19 bas-reliefs représentant des faits marquants de l'histoire de Liège et 60 blasons (villes de la Principauté et corporations) réalisés par 12 sculpteurs sous la conduite de Lambert Noppius[13]. Parmi les sculpteurs, on trouve Jules Halkin, Léon Mignon, Mathieu et Alphonse de Tombay,…
Statue de Simenon
[modifier | modifier le code]Statue de représentant Simenon assis sur un banc, cette œuvre se situe derrière l'Hôtel de ville, Place Commissaire Maigret.
L'Ombre
[modifier | modifier le code]L'Ombre est une œuvre de l'artiste liégeoise Mady Andrien, réalisée en 2002, située dans le jardin Jean-Bernard Lejeune traversé par la rue Louvrex.
Statue Montefiore-Levi
[modifier | modifier le code]Georges Montefiore-Levi meurt à Bruxelles en 1906. Dès 1908, la Province de Liège souhaite, par une œuvre publique, rendre hommage « aux philanthropes qu’étaient les époux Montefiore-Levi » [14] et organise à cette fin un concours, ouvert à tous les artistes belges. Oscar Berchmans, le sculpteur retenu, réalisée en 1911 ce bronze montrant « la Patrie protégeant ses enfants », qui est d'abord installé au square Notger, en face du palais des Princes-Évêques, près des degrés Saint-Pierre. Quand le square est détruit dans les années 1970, le monument Montefiore-Levi est démonté et entreposé dans un dépôt de la ville. Début 1995, il est restauré et installé en Féronstrée, dans la cour de l'hôtel Somzé. En 2012, sous l'impulsion de l'urbaniste Claude Strebelle, la ville fait revenir le bronze près de son premier emplacement, et l'installe aux degrés des Dentellières, entre Pierreuse et la rue du Palais [15],[16].
Cointe
[modifier | modifier le code]Mémorial Interallié
[modifier | modifier le code]Le Mémorial Interallié est un mémorial construit après la Première Guerre mondiale. Le mémorial est constitué de l'église du Sacré-Cœur comme édifice religieux et d'une tour comme monument civil.
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Le Mémorial Interallié
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Statue du Mémorial représentant un soldat
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L'église du Sacré-Cœur
Coronmeuse
[modifier | modifier le code]Mémorial Albert Ier
[modifier | modifier le code]À l'entrée du canal Albert, statue monumentale de 1939 de Louis Dupont.
Fétinne
[modifier | modifier le code]Le Rameur
[modifier | modifier le code]Au bord de la Dérivation, en face du no 6 du quai Mativa, se trouve la sculpture Le Rameur, œuvre de l'artiste liégeoise Mady Andrien réalisée en 1998.
Hors-Château
[modifier | modifier le code]Les Principautaires
[modifier | modifier le code]Située place Saint-Barthélemy, cette œuvre en acier Corten est une commande du Groupe Cockerill-Sambre (ArcelorMittal, en 2006) à l'artiste Mady Andrien. Au sommet du plan incliné, onze ecclésiastiques, hiératiques, vêtus de leur lourd manteau, arborant la crosse et la mitre, toisent les petits personnages qui, à leurs pieds et sous leur nez, effectuent une farandole, symbole de leur joie de vivre et du peu de respect de l’autorité. Cette œuvre monumentale teintée d’humour célèbre les 175 ans de l’installation de son fondateur, l’Anglais John Cockerill, en terre liégeoise.
Fontaine Saint-Jean-Baptiste
[modifier | modifier le code]La fontaine Saint-Jean-Baptiste datant du XVIIe siècle et située rue Hors-Château à la place d'une ancienne fontaine du XIVe siècle qui avait pour nom Pixherotte ou Pisseroule se trouvait à peu près au même emplacement. Le groupe en bronze de Saint-Jean-Baptiste et les bas-relief en bronze sont premières œuvres de Jean Del Cour après son retour de la ville éternelle, Rome.
Deux jeunes filles qui se coiffent les cheveux
[modifier | modifier le code]Appelée également Confluence est une sculpture de Idel Ianchelevici, placée au pied de la Cité administrative.
Tikal
[modifier | modifier le code]La sculpture-fontaine Tikal réalisée en 1982 par les artistes Anne et Patrick Poirier s'étend dans la longueur de la cour Saint-Antoine. La fontaine en forme d'obélisque est reliée à la pyramide d'inspiration maya par une rigole [17].
Les Terrasses
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Li Tore
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Le cheval de halage
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Le Bœuf au repos
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Le cheval dompté
Li tore
[modifier | modifier le code]Li Tore (dénomination populaire du Dompteur de taureau) est une sculpture de Léon Mignon qui obtint la médaille d'or au salon de Paris en 1880. Elle est installée aux Terrasses, au coin du pont Albert 1er et de l'avenue Rogier, en plein centre de Liège.
Le cheval du batelier et son conducteur
[modifier | modifier le code]Le cheval de halage ou Le cheval du batelier et son conducteur est une sculpture de Jules Halkin datant de 1885.
Bœuf au repos
[modifier | modifier le code]Le Bœuf au repos est une sculpture de Léon Mignon datant de 1885-1886.
Le cheval dompté
[modifier | modifier le code]Le cheval dompté ou Le cheval dompté par l'homme est une sculpture d'Alphonse de Tombay datant de 1885.
Outremeuse
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Statut d'Édouard Van Beneden devant l'Institut de Zoologie
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Le monument Tchantchès dans le cœur du quartier d'Outremeuse
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Le buste de Zénobe Gramme devant l'athénée Saucy
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Statue du lieutenant général Bertrand
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L'Envol de la Wallonie
Institut de Zoologie de Liège
[modifier | modifier le code]Statue d'Édouard Van Beneden
[modifier | modifier le code]Socle en pierre portant l’inscription Édouard Van Beneden et une plaque gravée : La générosité de mécènes a permis à l’Université de Liège de dédier cette statue le 2 mai 1920 au célèbre biologiste.
Statue Théodore Schwann
[modifier | modifier le code]Socle en pierre portant l’inscription Théodore Schwann et une plaque gravée : La générosité du professeur P. Nolf a permis à l’Université de Liège de dédier cette statut au fondateur de la théorie cellulaire.
Le monument Tchantchès
[modifier | modifier le code]Cette sculpture en pierre et bronze réalisée par Joseph Zomers en 1936 se situe dans le quartier d'Outremeuse rue Pont-Saint-Nicolas, au croisement des rues Puits-en-Sock et Surlet.
L’œuvre montre une monumentale hiercheuse[A 2] qui présente de la main droite la marionnette de Tchantchès. Un grand socle porte en son centre l’inscription Tchantchès en lettres massives dites « lettres-blocs » et sur le côté une plaque apposée en 2002 rappelant les cérémonies du 75e anniversaire de la République libre d'Outremeuse. La sculpture constitue un hommage à l’industrie minière liégeoise et aux traditions folkloriques de la cité.
Buste de Zénobe Gramme
[modifier | modifier le code]Située devant l'entée de l'athénée Maurice Destenay (ancienne École industrielle où étudia Zénobe Gramme) sur le boulevard Saucy, Zénobe Gramme, est représenté en buste. Sa barbe, son front plissé et son regard grave soulignent le sérieux de l’inventeur de la dynamo.
Buste de Simenon
[modifier | modifier le code]Le buste de Simenon est situé place du Congrès.
Statue du Général Bertrand
[modifier | modifier le code]La statue du Général Bertrand située place Théodore Gobert date de 1934.
L'envol de la Wallonie
[modifier | modifier le code]L'envol de la Wallonie est une sculpture de 5 mètres de haut situé quai Édouard van Beneden. Elle évoque les jeux enfantins de deux fillettes. Elle symbolise le dynamisme d'une jeunesse épanouie et sereine, celle qui sera appelée à prendre notre relais. Sculpteur René Julien[18].
Parc de la Boverie
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Le Faune mordu
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Stèle à la mémoire de Louis Boumal
Buste
[modifier | modifier le code]Sculpteur Adelin Salle
Buste de Joseph Joset
[modifier | modifier le code](1952) sculpteur Paul Donnay.
Composition
[modifier | modifier le code]Intégrée dans l’épaisseur du mur du Palais des Congrès, cette œuvre de Éva Herbiet témoigne de la collaboration de l’artiste avec les architectes du Palais. Elle attire l’attention sur l'entrée principale du bâtiment en se distinguant clairement du parement en calcaire. Constituée de carreaux de céramique, la composition se caractérise par son dynamisme induit par la diversité des formes en couleurs, les décrochements de surface et un mouvement ascensionnel.
Tout comme le sigle conçu par Freddy Wybaux pour l’autre façade, cette œuvre est caractéristique du renouveau de l’art abstrait dans la Belgique d’après-guerre.
Le Faune mordu
[modifier | modifier le code]Particulièrement appréciée aux Salons de Paris et Bruxelles, l'œuvre de Jef Lambeaux entraîne des réactions indignées lors de sa présentation lors de l'Exposition universelle de 1905. Le public liégeois s’offusque de cette scène de lutte entre les corps nus enlacés d’un faune et d’une femme aux formes pleines.
Le Comité de l’Exposition vote même la réexpédition de l’œuvre à l’artiste. Finalement, pour réparer l’affront fait à ce sculpteur de renom, la Ville achète le bronze qui sera placé dans la roseraie du parc après la Deuxième Guerre mondiale.
La Légende
[modifier | modifier le code]Sculpteur Joseph Rulot.
Monument à Armand Rassenfosse
[modifier | modifier le code](1934) sculpteur Pierre-Félix Fix-Masseau.
Le mouton
[modifier | modifier le code](1976), par Pierre Petry.
Sans titre
[modifier | modifier le code]Nic Joosen.
Stèle à la mémoire de Georges Antoine
[modifier | modifier le code](1938) Louis Dupont
Stèle à la mémoire de Louis Boumal
[modifier | modifier le code]Sculpture réalisée par Georges Petit.
La Toilette
[modifier | modifier le code](1910) sculpteur Max d'Haveloose.
Tour cybernétique
[modifier | modifier le code]Installée en 1961, la tour monumentale de Nicolas Schöffer est une sculpture très complexe faisant partie du projet Tour Lumière Cybernétique. À l’origine, elle réagissait à son environnement grâce à un cerveau électronique situé dans le Palais des Congrès. Dans ce but, l’œuvre est notamment équipée de microphones, de capteurs de lumière, d’un hygromètre et d'un anémomètre. Après analyse des données, cette intelligence artificielle les traduisait par le mouvement des plaques polies, par des jeux de lumière tant naturelle qu'artificielle et par la production de séquences sonores composées par Henri Pousseur. Elle avait même la possibilité de n’en faire qu'à sa tête. Faute d’entretien approprié, la tour est assez rapidement désactivée. Cependant, ce témoignage d’une époque où la foi dans le progrès scientifique était inébranlable continue de fasciner. En 1998, elle a été classée comme monument, puis partiellement restaurée.
Bas-reliefs d'Oscar Berchmans
[modifier | modifier le code]Les trois baies de l'avant-corps semi-circulaire de la façade du Palais des beaux-arts dressée face à la Meuse sont surplombées de trois bas-reliefs allégoriques du sculpteur Oscar Berchmans représentant, de gauche à droite : la Peinture, l’Architecture et la Sculpture.
Pergola
[modifier | modifier le code]La pergola est ornée de sept bustes en bronze représentant des Liégeois célèbres[19] :
- Richard Heintz par Louis Dupont
- Auguste Donnay par Georges Petit
- Jean Varin par Louis Dupont, inauguré le
- Gilles Demarteau par Berthe Centner, inaugurée le
- Léon Philippet par le sculpteur Oscar Berchmans et l’architecte Alfred Lobet
- Jacques-Barthélemy Renoz par Adelin Salle, inauguré le
- Adrien de Witte, reproduction d'un plâtre d'Oscar Berchmans, inauguré le
Quartier latin
[modifier | modifier le code]Cathédrale Saint-Paul
[modifier | modifier le code]La cathédrale, en plus de son Trésor, compte de nombreuses œuvres.
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Statue de Jean-Baptiste de Jean Del Cour
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Le Christ gisant
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Le Génie du Mal
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Reliquaire de saint Lambert
Statue de Jean-Baptiste
[modifier | modifier le code]Statue de Jean-Baptiste de Jean Del Cour réalisée en 1682.
Christ gisant
[modifier | modifier le code]Cette statue en marbre blanc de Jean Del Cour provient de l'église des religieuses Sépulcrines dites des Bons-Enfants, rue Agimont. Il faisait partie du monument que Walter de Liverlo, bourgmestre de Liège en 1705 et 1712, avait fait élever pour lui et son épouse dans l'église des dites Sépulcrines[20]. Il porte l'inscription suivante :
- CHRISTO SEPVLTO WALTERUS DE LIVERLO ET MARIA D'OCIER/ CONJUGES POSUÉRE ANNO 1696.
La tête du Christ est dépouillée de sa couronne d'épines. On voit encore les trous qui servaient à la maintenir au moyen d'écrous.
Pour cette œuvre, Jean Del Cour s’inspira de la Piéta de Michel-Ange en cours d'un voyage à Rome, notamment pour le visage du Christ.
Le Génie du Mal
[modifier | modifier le code]Censée symboliser le Triomphe de la Religion sur le Génie du Mal, la chaire de vérité réalisée par Guillaume Geefs pour la cathédrale Saint-Paul inclut à l'origine une représentation du Génie du mal due au ciseau de son frère, Joseph Geefs (œuvre aujourd'hui conservée aux Musées royaux des beaux-arts de Belgique[21]). Mise en place en 1843, cette statue ne satisfait guère le Conseil de fabrique de la cathédrale. Les journaux de l'époque rapportent que « Ce diable-là est trop sublime »[A 3] et qu'il risque de distraire les jeunes paroissiennes. Afin de remplacer l'œuvre, le Conseil de fabrique passe commande à Guillaume Geefs d'une nouvelle version du Génie du mal, installée à l'arrière de la chaire dès 1848.
Tout comme son frère, Guillaume Geefs représente le démon sous les traits d'un jeune homme assis sur un rocher, vêtu d'une simple draperie et pourvu d'une ample paire d'ailes de chauve-souris. Son ange déchu est plus conforme à l'imagerie satanique. Enchaîné au rocher, il se tient la tête afin de se protéger du châtiment divin. De sa main gauche, il étreint une couronne et un sceptre brisés. Deux petites cornes émergent des cheveux ébouriffés. Son visage crispé exprime le remords et le désespoir. À ses pieds, aux ongles crochus, se trouvent le fruit défendu et une partie du sceptre.
L'œuvre de Guillaume Geefs relève du néoclassicisme par son esthétique. Elle se rattache aussi au courant romantique : en représentant l'ange déchu sous les traits d'un homme séduisant, l'artiste évoque le thème de la beauté du diable. D'après Jacques Lennep, l'œuvre serait inspirée du poème Eloa ou la Sœur des anges d'Alfred de Vigny.
Le Christ en bronze
[modifier | modifier le code]Le Christ en bronze de Jean Del Cour qui se trouve aujourd'hui au-dessus de la porte de la cathédrale Saint-Paul provient du pont des Arches, posé sur la Dardanelle afin de contenir les habitants du quartier d'Outremeuse[22] où il était entouré de la Vierge et de saint Lambert. Il marquait l’entrée de la cité, en signe de dédicace : Legiae cives te adorant (ancienne inscription).
Chapelle de la Vierge
[modifier | modifier le code]La chapelle de la Vierge contient une belle statue en marbre de Carrare, au style classique rigoureux, de Robert Henrard (1617-1676) et de part et d’autre les bas-reliefs de Jean Del Cour : le don des clés à Pierre (inspiré du bas-relief de la façade de Saint-Pierre au Vatican) et de la rencontre de Pierre et Paul à Rome.
Place du Vingt-Août et place Cockerill
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Façade du bâtiment de l'Université place du 20-Août
Statue d'André Dumont
[modifier | modifier le code]Par Louis-Eugène Simonis, place du Vingt-Août (1866) Trois ans après la mort d'André Dumont, un comité propose à la Ville de Liège d'élever un monument en hommage à l’homme de sciences. Sous une forme réaliste, le sculpteur Louis-Eugène Simonis immortalise André Dumont, vêtu de la robe professorale, indiquant de la main droite les richesses géologiques du sol ex tenant une carte roulée dans l’autre main ; une lampe, allusion au travail dans la mine, est déposée aux pieds du savant. La statue du scientifique est judicieusement érigée devant l’Université, à l’emplacement de celle de Grétry, transférée place de l'Opéra.
Façade de l'Université côté Vingt-Août
[modifier | modifier le code]Depuis 1893, la nouvelle façade du bâtiment de l'Université de Liège de la place du Vingt-Août est agrémentée de six sculptures en bronze, allégories des enseignements de l’Université :
Au 1er étage :
- Les Arts et Manufactures, soit les techniques, de Jules Lagae, dans la niche à droite de l’entrée identifiables par les attributs de la roue et du marteau,
- L’Étude, de Maurice de Mathelin, dans la niche de gauche avec une feuille de papier et une plume.
Au-dessus de l’entablement, quatre personnages masculins illustrent :
- Le Droit, d'Alphonse de Tombay, doté d’une plume et d’un rouleau
- La Philosophie, de Léon Mignon, tenant un livre en main et son menton de l’autre en signe de réflexion
- Les Mathématiques, de Joseph Pollard, avec une sphère et un compas
- La Médecine, de Hippolyte Leroy, reconnaissable à son caducée.
Façade de l'Université côté Cockerill
[modifier | modifier le code]Trois bas-reliefs prennent place, en 1958, sur la façade de la nouvelle aile de l’Université de Liège, place Cockerill, ils s’intitulent respectivement Philosophia, Litterae et Historia. Sculptés par Louis Dupont, ils évoquent des disciplines enseignées à la faculté de Philosophie et Lettres installée dans le nouveau bâtiment. Ne faisant guère référence à la tradition iconographique, la signification allégorique des bas-reliefs reste assez énigmatique. Leur identification est rendue possible par la seule présence d’un intitulé.
Boulevard Piercot
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Buste de Louis Poulet
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Buste de César Thomson
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Buste de Eugène Ysaye
Buste de Louis Poulet
[modifier | modifier le code]Buste de Louis Poulet
Buste de César Thomson
[modifier | modifier le code]Boulevard Piercot
Buste d'Eugène Ysaye
[modifier | modifier le code]Boulevard Piercot
Buste d'Henri Koch
[modifier | modifier le code]Boulevard Piercot
Buste d'Hector Klockers
[modifier | modifier le code]Boulevard Piercot
Fontaine de la Vierge
[modifier | modifier le code]Patrimoine classé (1936, no 62063-CLT-0054-01)
La fontaine bâtie à l'origine (1695-1696) sur la place de la Cathédrale et en marbre, est reconstruite, en petit granit, en 1854 par l'architecte Rémont et installée en Vinâve d'Île[23]. Elle est surmontée par la statue la Vierge à l'Enfant du statuaire liégeois Jean Del Cour[23].
La Vierge a le regard tourné vers la cathédrale Saint-Paul (collégiale à l'époque). Le socle de la statue présente une porte de bronze symbolisant la Religion couronnée par un ange et embrassant le perron.
En 1794, au début de la période française, la statue échappe à la fonderie de canons grâce aux protestations des Liégeois.
Statue d'André Grétry
[modifier | modifier le code]La statue en bronze est réalisée par Guillaume Geefs en 1840. En 1842, elle est initialement installée place du XX août, face à l'Université.
En 1866, la statue d'André Grétry est transférée place de l'Opéra en face du Opéra royal de Wallonie.
La France a conservé son corps, qui repose au Père-Lachaise, à côté de Delille et de Méhul ; mais André Grétry a voué son cœur à la ville qui lui donna le jour. Après un long procès, ce cœur, d'où sortirent tant de chants immortels, fut transporté en 1829 à Liège, et depuis, scellé dans le piédestal de la statue en bronze.
En , lors du banquet offert aux artistes à l'Émulation à l'occasion de l'inauguration de la statue, ainsi que celle du Plan incliné de la côte d'Ans, le compositeur Franz Liszt porta un toast à Liège en ces termes[24] :
« La première ville à élever une statue à un compositeur. Je suis accouru pour saluer avec transport la statue de Grétry et j'émets le vœu que Mozart et Beethoven obtiennent de leurs concitoyens l'hommage éclatant qu'on a rendu ici au grand compositeur liégeois. »
Statue de Jean Del Cour
[modifier | modifier le code]Depuis 1911, il existe, place Saint-Paul, un monument dédié à Jean Del Cour.
Le Plongeur
[modifier | modifier le code]Œuvre du sculpteur roumain Idel Ianchelevici. Cette sculpture, dont l'original est réalisé en terre-plâtre, lui avait été commandée pour l’Exposition internationale de la technique de l’eau, qui s’ouvre à Liège le 20 mai 1939[25]. Elle surplombait alors la piscine du Lido à l'entrée du canal Albert.
L'exposition fut démontée et vu son succès, la réplique du plongeur fut achetée par la ville qui décida d'en construire une copie en matériaux plus durables (l'original était en terre-plâtre).
Survient la Deuxième Guerre mondiale et le Plongeur se retrouve dans les caves du Palais des beaux-arts d'où il ne ressort qu'en 1998. L'œuvre reconstituée d'après des documents d'époque est installée à la pointe du port des yachts[26] dans l'axe du boulevard Piercot et inaugurée en 2000.
L'arc en acier peint, d'un rayon de 10 m, d'un poids de 3,5 tonnes ; le plongeur mesure 3,20 m, pèse 80 kg et est construit en polyester creux sur structure métallique.
Le Saute-mouton
[modifier | modifier le code]Sculpture située place des Carmes d'Mady Andrien réalisée en 1973.
Les Danseurs
[modifier | modifier le code]Sculpture de Mady Andrien, réalisée en 1981, située à l'intérieur de la galerie commerciale Opéra.
Saint-Laurent
[modifier | modifier le code]Douze bas-reliefs de la collégiale Saint-Martin
[modifier | modifier le code]Del Cour
Sainte-Walburge
[modifier | modifier le code]La Piscine
[modifier | modifier le code]À l'entrée de l'hôpital de la Citadelle, se trouve un ensemble sculptural intitulé : « La Piscine ». Cette œuvre a été réalisée par la liégeoise Mady Andrien en 1976.
Les Passants
[modifier | modifier le code]Les Passants est sculpture de Mady Andrien, réalisée en 2006, située sur le rond-point de la rue de Campine et de l'avenue Victor Hugo.
Monument au 14e Régiment de Ligne
[modifier | modifier le code]Le Monument au 14e Régiment de Ligne (appelé également Monument des Fusillés des Remparts de la Citadelle), œuvre monumentale du sculpteur Edmond Falise, se trouve au pied de la citadelle de Liège au croisement du boulevard du Troisième Génie et du Péri en haut de la Montagne de Bueren.
Sart-Tilman
[modifier | modifier le code]Depuis 1967, le domaine de l'Université de Liège au Sart Tilman abrite une collection de sculptures en plein air et d'œuvres d'art intégrées à l'architecture (Musée en Plein Air du Sart-Tilman).
Ponts
[modifier | modifier le code]Pont Albert Ier
[modifier | modifier le code]Le pont Albert Ier intègre dans son environnement plusieurs œuvres d'art public :
- Rive gauche
- Pierre Caille, Monument aux Liégeois morts pour la liberté (1964)
- Daniel Dutrieux, L'Arbre et son ombre (1991)
- Charles Leplae, Statue équestre du roi Albert Ier (1964)
- Rive droite
- George Grard, La Terre et L'Eau (1962-1964)
-
Statue équestre du roi Albert Ier de Charles Leplae
-
Monument aux Liégeois morts pour la liberté de Pierre Caille
Pont des Arches
[modifier | modifier le code]Lors de sa reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, le pont des Arches fait l'objet d'un vaste programme décoratif, auquel participent plusieurs artistes.
Statuaire
[modifier | modifier le code]Les piles sont décorées de quatre statues :
- Le Moyen Âge, évoqué par un chevalier en armes, 1948, sculpteur Adolphe Wansart
- La résistance à l'occupant allemand, symbolisée par un personnage dissimulant une grenade dans son manteau, sculpteur Gustave Fontaine
- La révolution belge de 1830, évoquée par un personnage aux chaînes brisées, 1948-1949, Alphonse Darville
- La Naissance de Liège, symbolisée par une mère et son enfant, allégorie de Liège, fille de Meuse, 1948, sculpteur Marceau Gillard
Bas-reliefs
[modifier | modifier le code]Sur la rive gauche, des reliefs évoquent les sciences et techniques:
- Les travaux du pont, 1948, sculpteur Ernest Stroobants
- L'Art et la Technique, 1947, sculpteur Robert Massart
Sur la rive droite, des reliefs évoquent le folklore et les traditions mosanes :
- Scènes populaires liégeoises, 1948-1949, sculpteur Adelin Salle
- La Nativité. Le cheval Bayard, 1949, sculpteur Louis Dupont
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les botteresses (botresses) formaient une corporation recrutée sur les hauteurs de Montegnée, Grâce-Berleur, Ans, Sainte-Walburge... Venant des terrains maraîchers, elles gagnaient les marchés de la ville pour y vendre le contenu de leur hotte pesante. Celles de Jemeppe étaient spécialisées dans le transport de la viande, qu'elles amenaient place du Marché via Tilleur et Saint-Gilles.
- ouvrière qui tire les wagonnets de charbon en wallon
- cité par Van Lennep, d'après L'Émancipation, 4 août 1844
Références
[modifier | modifier le code]- Lily Portugaels, « Notger ou l'ingratitude liégeoise », La Libre Belgique, (lire en ligne, consulté le )
- Pierre Colman, « La statue de Notger », Bulletin de la Société Royale Le Vieux-Liège, vol. 14, no 309, , p. 661-664
- « Charlemagne : la statue bientôt démontée », sur rtc.be (consulté le ).
- « La statue de Charlemagne est de retour boulevard d'Avroy à Liège », sur rtbf.be, (consulté le ).
- Robert Ruwet et Albert Cariaux, Liège éternelle : Les traces d'antan dans les rues d'aujourd'hui, Tempus, coll. « Mémoire en images », , 128 p., p. 16
- Asbl Homme et Ville, « Historique du parc d'Avroy (Liège) » [PDF], sur homme-et-ville.net, (consulté le ), p. 15.
- Ruwet et Cariaux 2008, p. 16
- Christian Koninckx et al., Astrid : 1905 - 1935, Bruxelles, Racine, , 217 p. (ISBN 978-2-87386-432-3, lire en ligne), p. 180-183
- « Photo de la présentation du prince Albert aux Liégeois », sur portfolio.lesoir.be (consulté le ).
- Robert Ruwet et Albert Cariaux, Liège éternelle : Les traces d'antan dans les rues d'aujourd'hui, Tempus, coll. « Mémoire en images », , 128 p. (ISBN 978-90-76684-87-1), p. 64
- « La Fontaine de la Tradition de retour sur la place du Marché », L'Avenir, (lire en ligne)
- Joël Matriche, « Une fontaine sous la fontaine », Le Soir, , p. 22 (lire en ligne)
- [PDF] « Parcours d'art public - dossier pédagogique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Liège.be, page 9.
- « Art public et patrimoine : Statue Montefiore-Levy », sur Ville de Liège
- « Installation de la statue Montefiore-Levi aux Degrés des Dentellières »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur liege.be
- Joël Matriche, « La statue Montefiore s’installe en Pierreuse », Le Soir,
- Benjamin Hermann, « La cour Saint-Antoine, « un monde à part au centre de Liège » », L'Avenir, (lire en ligne)
- « Un « embarcadère du savoir » a Liège : pour quoi faire ? »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur embarcaderedusavoir.ulg.ac.be (consulté le ).
- ASBL Homme et Ville 2005, p. 20-21
- Olivier-Joseph Thimister, Essai historique sur l'église de Saint Paul, ci-devant collégiale, aujourd'hui cathédrale de Liége, Liège, Grandmont-Donders, , 439 p. (présentation en ligne), p. 184
- « Le génie du mal », sur fine-arts-museum.be (consulté le ).
- Matthieu-Lambert Polain, Liège pittoresque ou Description historique de cette ville et de ses principaux monuments, Société belge de librairie, , 279 p. (OCLC 16507863), p. 191
- « Restauration de la Fontaine de la Vierge en Vinâve d’Ile — Site de la Ville de Liège »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur liege.be (consulté le ).
- Ricardo Gutiérrez, « Franz Liszt est de retour à Liège », Le Soir, , p. 17 (lire en ligne, consulté le ).
- Quanah Zimmerman, « Le Plongeur et son arc (1939) », sur Les Petites Histoires, (consulté le ).
- « Ville de Liège – Installation du Plongeur de Ianchelevici », sur Atelier d'Architecture Cocina, (consulté le ).
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean-Patrick Duchesne (dir.), Edith Culot, Marie-Sophie Degard, Isabelle Graulich, Julie Hanique et Isabelle Verhoeven, Parcours d'art public. Dossier pédagogique, Liège, Echevinat de l'Urbanisme, de l'Environnement, du Tourisme et du Développement durable, , 62 p. (lire en ligne)
- Jean-Patrick Duchesne (dir.), Clara Erpicum, Julie Hanique, Pierre Henrion, Jean Housen et Edith Schurgers, Musée en plein air du Sart-Tilman. Dossier pédagogique; Parcours d'art public, Liège, Musée en plein air du Sart-Tilman, , 60 p. (lire en ligne)
- ASBL Homme et Ville, « Historique du parc de la Boverie (Liège) » [PDF], sur homme-et-ville.net, (consulté le )