Drocourt (Pas-de-Calais)
Drocourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Drocourtois.
Drocourt | |||||
L'église Sainte-Barbe. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Lens | ||||
Intercommunalité | CA Hénin-Carvin | ||||
Maire Mandat |
Bernard Czerwinski 2020-2026 |
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Code postal | 62320 | ||||
Code commune | 62277 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Drocourtois | ||||
Population municipale |
2 943 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 866 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
552 694 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 23′ 31″ nord, 2° 55′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 39 m Max. 68 m |
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Superficie | 3,4 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lens - Liévin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Hénin-Beaumont-2 | ||||
Législatives | 11e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-drocourt.fr mairie-drocourt.fr] | ||||
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La commune fait partie de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin qui regroupe 14 communes et compte 126 840 habitants en 2021.
Géographie
modifierLocalisation
modifierDrocourt est située en bordure de l'ancien bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.
La commune de Drocourt comprend deux parties, le secteur sud est le chef-lieu de la commune appelé Drocourt village, le secteur nord est constitué principalement par une ancienne cité minière appelée La Parisienne.
Ces deux entités étaient séparées par une voie ferrée (ancienne ligne Avion-Corbehem) remplacée par une route départementale qui se branche sur l'autoroute A1.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 3,4 km2 ; son altitude varie de 39 à 68 m[1].
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspèces faunistiques et floristiques
modifierLe site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 326 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 40 protégées et 14 menacées et quasi-menacées[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Drocourt est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,6 %), zones urbanisées (24,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication
modifierLa commune est desservie par les routes départementales D 40, D 40e et D 919 et est à 5 km de la sortie no 16.1 de l'autoroute A1 reliant Paris à Lille[16].
Transport ferroviaire
modifierLa commune se trouve à 4 km, au sud-ouest, de la gare d'Hénin-Beaumont, située sur la ligne de Lens à Ostricourt, desservie par des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[17].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Droecort, Drauecort en 1171 ; Drohaucort en 1198 ; Draucourt, Draucurt au XIIe siècle ; Drahaucourt en 1206 ; Drehaucort en 1213 ; Dreaucurt en 1213 ; Draaucurt en 1213 ; Drehaucourt en 1290 ; Drehaucoucourt en 1294 ; Drehaucourt en 1323 ; Derehaucourt en 1337 ; Derraucourt en 1430 ; Drecourt en 1469 ; Derraucourt en 1565 ; Drochourt en 1565 ; Deraucourt en 1640[18], Drocourt en 1793 ; Draucourt et Drocourt depuis 1801[1].
Histoire
modifierExploitation minière
modifierLa société civile a commencé dès 1879 avec l'ouverture d'un puits, no 1 ou La Parisienne, au sud de la commune d'Hénin-Beaumont, près du sondage de Drocourt qui a fait de belles découvertes. À peine entré dans le niveau, la venue d'eau s'élève à 80 000 hectolitres par 24 heures. Les terrains sont désagrégés et exigent, pour être maintenus en place, un boisage provisoire très soigné. Le cuvelage est constitué de dix-huit pans de bois. Il a fallu mettre en marche une machine d'épuisement à traction directe de 150 chevaux et deux pompes de 55 centimètres de diamètre.
Mais les terrains se raffermissent dans la profondeur et des picotages successifs retiennent bientôt les eaux. Le cuvelage commencé le 25 octobre 1880 a été terminé le 20 mars 1881 à 79,48 mètres de profondeur. Le puits de Drocourt est creusé au diamètre de 4,50 mètres dans le cuvelage. L'extraction des déblais s'effectue au moyen d'une machine à deux cylindres conjugués et horizontaux de la force de cent chevaux. Le 1er mai 1881, le puits a atteint la profondeur de 112 mètres.
Une fois ces niveaux franchis, le creusement progresse beaucoup plus vite. En 1883, le terrain houiller est rencontré à 291,80 mètres. L'extraction commence avec une production de 1 524 tonnes de charbon gras. Des étages de recette sont ouverts à 250, 592, 550 et 609 mètres. Le puits est remblayé en 1952.
La fosse est devenue le siège du service géologie des houillères du bassin du Nord-Pas-de-Calais et possède notamment un simulateur d'aérage. Toute activité industrielle s'éteindra avec la fermeture de la cokerie de Drocourt.
De simple village rural de 182 habitants en 1881, Drocourt connaît un essor démographique fulgurant en dix ans, puisque l'afflux de mineurs et d'ouvriers avec leurs familles fait passer la population de Drocourt à près de deux mille habitants en 1891. Désormais, Drocourt est partagé en Drocourt-Village autour de l'ancien village et de son église Saint-Léger, au bord de la route d'Hénin-Liétard et Drocourt-Mines avec ses corons, vers la route d'Arras. Ville minière formée de corons, Drocourt atteint près de trois mille habitants en 1911 et encore plus de deux mille six-cents habitants en 1931. Le pic de population est en 1982 avec plus de trois mille quatre-cents habitants.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais depuis 2015, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement d'Arras[1].
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin.
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton d'Hénin-Beaumont-2.
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la onzième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierJumelages
modifierLa commune est jumelée avec :
Ville | Pays | Période | ||
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Tokarnia[25],[26] | Pologne | depuis |
Équipements et services publics
modifierEnseignement
modifierLa commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
La ville administre trois établissements ; l'école maternelle Jeannette Prin, l'école primaire Maurice Thorez et l'école élémentaire Joliot-Curie[27].
Justice, sécurité, secours et défense
modifierLa commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d'Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[28].
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants de la commune sont appelés les Drocourtois[29].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2021, la commune comptait 2 943 habitants[Note 5], en évolution de −0,17 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 442 hommes pour 1 482 femmes, soit un taux de 50,68 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierLa ville possédait sur une partie de son territoire la plus grande cokerie d'Europe[35], la cokerie de Drocourt. Construite par la Compagnie des mines de Drocourt, puis les HBNPC, ce sera une des dernières unités de traitement du charbon (avec la centrale d'Hornaing) exploitée par les Charbonnages de France. Elle ferme le et est totalement détruite entre 2002 et 2003.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierPatrimoine mondial
modifierDepuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l'UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 49 de Drocourt est composé de la cité de corons de la Parisienne, de l'école, et de l'église Sainte-Barbe, à Drocourt. Ces éléments ont été bâtis par la Compagnie des mines de Drocourt pour sa fosse no 1, située à Hénin-Beaumont[36],[37].
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Les corons.
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Les corons.
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L'école.
Autres lieux et monuments
modifier- L'église Saint-Léger
- Le monument aux morts[38].
Héraldique
modifierBlason | De gueules à l'épi de blé d'or posé en barre et accompagné en chef d'une colombe volante d'argent tenant dans son bec un rameau d'olivier du même, et en pointe de quatre chevalets de puits de mine d'argent rangés en fasce[39].
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Détails | Le blason de Drocourt rappelle l'existence de la Compagnie des mines Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
modifier- André Drouart (1896-1943), résistant, mort décapité en Allemagne en 1943, né à Drocourt.
- Leon Podsiadły (pl) (1932-2020), sculpteur, peintre et dessinateur polonais, né à Drocourt.
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierOuvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[40] :
- A. Bellet et P. Baud, L'usine de ma vie. Mémoires vives de la cokerie de Drocourt, Paris, Le cherche midi,
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l'IGN, [lire en ligne][Note 6]
- « Drocourt » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Drocourt » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fiche communale de Drocourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Drocourt et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Drocourt ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et la gare d'Hénin-Beaumont », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- « Bilan du maire - Drocourt : Bernard Czerwinski prêt pour un quatrième mandat : En 1995, pour sa première candidature, il avait un adversaire. Puis en 2001 et 2008, Bernard Czerwinski était seul à présenter une liste, communiste, dans une commune rouge depuis 1935. En 2014, il sera de nouveau candidat. Sans doute le seul encore une fois. Mais le maire de Drocourt commence déjà a préparé l'après… », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Pierre Debris (CLP), « Drocourt : réélu, Bernard Czerwinski veut faire encore plus et mieux pour la population », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Bernard Czerwinski veut renforcer les liens entre quartiers et harmoniser la commune : Drocourt est une ville coupée en deux, voire en trois. D'un côté, le Drocourt mine et sa cité La Parisienne. De l'autre, Drocourt village et sa cité Palma refermée sur elle-même. Au milieu, le CD 40. Et si les Drocourtois se réunissaient ? C'est l'idée du maire, Bernard Czerwinski, qui entame son 4e mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=26971 »
- « https://mairie-drocourt.fr/fr/rb/397581/jumelage-15 »
- « Établissements scolaires de Drocourt », sur le site du ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- « Les habitants du Pas-de-Calais - Gentilé », sur habitants.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Drocourt (62277) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « La cokerie de Drocourt cesse sa production », sur Les Echos, (consulté le ).
- « Bassin minier du Nord-Pas de Calais », sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « 62277 », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « La commune de Blendecques », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).