[go: nahoru, domu]

Eugène François Léon de Béthune-Hesdigneul

Eugène François Léon de Béthune, marquis d'Hesdigneul, comte de Noyelles, vicomte de Nielles, etc., né le à Saint-Omer, mort le à Saint-Germain-en-Laye, fut le 1er prince de Béthune-Hesdigneul.

Eugène François Léon de Bethune Hesdigneul
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 77 ans)
Père
Comte Joseph Maximilen Ghislain de Béthune-Hesdigneul, Comte de Noyelles, Vicomte de Nielles (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Jeanne Louise Le Vasseur de Guernonval (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Albertine Josèphe Eulalie le Vaillant (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Marie Amé Bernard de Bethune Hesdigneul (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Famille

modifier

Il appartient à la famille de Bethune Hesdigneul (olim « des Planques »), dont la filiation prouvée remonte à Michel des Planques, écuyer, lieutenant du Château de Béthune, marié en 1522 à Jacqueline Bours[1],[2].

Il est le fils de Joseph Maximilien Guislain de Béthune dit le marquis d'Hesdigneul (1705-1789) et de Jeanne Louise de Guernonval-Esquelbecq (1724-1746), qui meurt quelques jours après l'avoir mis au monde. Il épouse en 1772 Albertine-Josèphe-Eulalie le Vaillant (1750-1789); et en 1791, Charlotte-Louise-Élisabeth Bidal d'Asfeldt.

Carrière militaire

modifier
  • Mousquetaire gris en 1764 (première compagnie des mousquetaires de la garde du roi)
  • Colonel de cavalerie responsable du guidon des gendarmes de la garde du roi en 1771
  • Capitaine en chef de la première compagnie des gentilshommes des provinces de Flandre, Artois et Picardie, qui fit partie de l'armée d'observation commandée par le duc de Bourbon dans le pays de Liège en 1792.
  • Maréchal-de-camp en 1793,
  • lieutenant-général des armées du roi en 1816.
  • chambellan de Joseph II en 1776,
 
Armoiries de la famille de Béthune-Hesdigneul
  • Admis en qualité de marquis dans l'État noble de Flandre en 1778.
  • Prince héréditaire de Béthune-Hesdigneul le par ordre de primogéniture par diplôme de Joseph II, reconnu en France le et confirmé le par ordonnance de Louis XVIII sur promesse de constituer un majorat de 30 000 livres de rente.

Décorations

modifier

Notes et références

modifier

Bibliographie

modifier

Voir aussi

modifier

Article connexe

modifier

Liens externes

modifier