[go: nahoru, domu]

Arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe

arrondissement français

L'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe, appelé communément « Avesnois », est une division administrative française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. L'Avesnois est le seul arrondissement départemental dont les limites se confondent avec celles d'un pays traditionnel et d'un pays d'aménagement du territoire constitué en EPCI (dont le nom officiel est « pays de Sambre-Avesnois »).

Arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe
Arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe
Situation de l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe dans la région Hauts-de-France.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département et
collectivité territoriale
Nord
Chef-lieu Avesnes-sur-Helpe
Code arrondissement 591
Démographie
Population 225 391 hab. (2021)
Densité 160 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ 00″ nord, 3° 50′ 00″ est
Superficie 1 407,5 km2
Subdivisions
Communes 151

Les villes les plus peuplées de l'arrondissement sont Maubeuge, Hautmont et Fourmies, bien que son siège soit la ville d'Avesnes-sur-Helpe et ses 4 118 habitants.

Géographie

modifier

Localisation

modifier

L'Avesnois se situe dans le sud-est du département du Nord (et donc de l'ancienne région Nord-Pas-de-Calais), limitrophe de la Belgique au nord et à l'est et de l'Aisne au sud, à proximité des Ardennes. Par la route, l'Avesnois se trouve à h à h 30 de Lille et h 30 à h de Paris.

 

Paysage

modifier
 
Bocage avesnois.

Les paysages de l'Avesnois sont verdoyants, et constituent une exception par rapport au reste du département : prairies, bocage, forêts de feuillus, relique de la forêt linéaire de la Haie d'Avesnes[1], vergers, rivières sinueuses, moulins et villages pittoresques où les kiosques de spectacle et les oratoires en pierre bleue sont encore nombreux. Les paysages de bocages sont pour partie des reliques de l'antique forêt charbonnière ou préhistorique[2], fortement réaménagés par l'Homme, mais encore très enherbés en raison d'un sous-sol peu propice à l'agriculture intensive. Ils confèrent à l'Avesnois son unité et un attrait touristique particulier, si bien qu'aujourd'hui les habitants et les instances touristiques officielles de l'Avesnois ne revendiquent ni n'utilisent plus l'appellation « Hainaut », ancien comté dont l'Avesnois pourtant faisait autrefois partie[3].

L'ensemble de l'arrondissement se situe à une altitude supérieure au reste de la région (environ 150 m à 200 m d'altitude). Le point culminant de l'arrondissement, qui est également celui du département, se situe à l'extrémité sud-est de celui-ci, sur le territoire de la commune d'Anor, près de la frontière belge, au Bois Saint-Hubert qui culmine à 271 m (la borne géodésique sur place en témoigne). À quelques kilomètres de là se situent les Monts de Baives, d'une altitude proche de 239 m, formé sur un ancien massif corallien âgé de plus de 370 millions d'années. Ce site est constitué des dernières pelouses calcicoles du département du Nord.

 
Matin brumeux sur l’étang de la Forge (Glageon).
 
Base de loisirs du Val-Joly.
 
Yucca redevenu sauvage.

Situé à près de 200 km de la mer, l’Avesnois bénéficie d’un climat continental dégradé adouci par l’influence du Gulf Stream[réf. souhaitée]. Avec son exposition au pied des Ardennes, fermée du côté nord par les collines du Beaumontois (Belgique), la région se trouve protégée des vents dominants du nord et de l’est (70 % des vents sont en provenance du secteur sud-ouest).

Comparativement au reste de la région Nord-Pas-de Calais, les saisons y sont bien plus marquées et les amplitudes thermiques journalières et annuelles plus importantes. Avec une moyenne maximale des températures estivales légèrement supérieures à 23 °C, l’Avesnois est l’endroit le plus chaud de la région Nord-Pas-de-Calais en été. Le côté continental du climat se fait ressentir également durant les hivers lors desquels les températures sont bien plus basses que dans le reste de la région (avec des moyennes minimales situées plus de °C en dessous de celles de Lille-Lesquin et °C en dessous de Dunkerque ou Boulogne-sur-Mer). Les précipitations sous forme de neige et de grêle sont également plus fréquentes. Malgré l’apparente rudesse hivernale, l’endroit est réputé pour ses pâturages verdoyants même en plein hiver[réf. souhaitée]. Les journées de gel sont rares, ce qui permet dans de bonnes expositions la prolifération de certaines plantes subtropicales[réf. souhaitée].

Les précipitations annuelles sont de l'ordre de 650 mm, soit moins qu'à Lille (740 mm). Elles sont en grande partie délivrées sous forme de pluies d’orage en été, et sous forme de neige ou pluie en hiver, faisant du printemps et de l’automne les saisons les plus sèches de l’année. À ce titre, des sécheresses printanières sont courantes et ne sont pas sans préjudice pour la végétation.

Tourisme

modifier
 
Maroilles.

L'Avesnois, version verte et bocagère, région d'industrie ancienne et agricole, est connue pour être le pays du maroilles, fromage emblématique du territoire. Elle a développé depuis plusieurs années un tourisme de proximité : présence de gîtes, randonnées, base de loisirs du Val-Joly dans le canton de Fourmies-Trélon. Il est également possible de visiter les fermes locales et les fruitières (où se pratique de la vente directe) où on fabrique le désormais célèbre fromage local portant le nom de maroilles, ainsi que découvrir la gastronomie locale utilisant ce fromage dans de nombreuses recettes telles que la flamiche au maroilles, les moules au maroilles , la glace au maroilles ou encore l’entrecôte sauce maroilles.

De même visiter des musées retraçant l'histoire de la région, sa culture, ses habitants, ses traditions et les savoir-faire artisanaux, industriels et agricoles comme le musée du textile et de la vie sociale à Fourmies (qui est une ancienne usine textile), le MusVerre de Sars-Poterie, l'atelier musée du verre à Trélon, le musée des évolutions de Bousies.Traditions et savoir-faire artisanaux qui se retrouvent aussi parmi les nombreuses fêtes locales et communales que comportent le territoire et qui font partie de son identité tout comme ses kiosques, lavoirs, oratoires, moulins à eau, etc.

Un héritage historique artisanal et industriel qui côtoie un héritage historique plus ancien antique, médiéval ou datant de l'époque moderne. En effet sont présents sur le territoire des sites antiques gallo-romains comme le Forum antique de Bavay, des remparts et fortifications édifiés par Vauban, comme à Le Quesnoy, Avesnes ou Maubeuge.

Fin juillet et début août à Aulnoye-Aymeries, se déroule le festival des Nuits secrètes.

Histoire

modifier
Seigneurie d'Avesnes

IXe siècle – 1795

Blason 
La Terre d'Avesnes et le comté de Hainaut.
Informations générales
Capitale Avesnes-sur-Helpe

Depuis sa création avec les autres arrondissements du département du Nord en 1800, cet arrondissement n'a jamais remis en cause le choix d'Avesnes-sur-Helpe comme sous-préfecture, bien que la ville de Maubeuge ait acquis depuis longtemps un poids économique et démographique plus important.

1793 : création du district d'Avesnes comportant 9 cantons[4] : Avesnes-sur-Helpe, Barbençon[5], Dourlers, Étrœungt, Maroilles, Maubeuge, Prisches, Solre-le-Château et Trélon et du district du Quesnoy comportant 6 cantons[6] : Bavai, Berlaimont, Feignies, Landrecies, Le Quesnoy, Solesmes.

1801 : fusion entre le district d'Avesnes-sur-Helpe et du Quesnoy. L'arrondissement comporte 10 cantons : Avesnes-sur-Helpe-Nord, Avesnes-sur-Helpe-Sud, Bavay, Berlaimont, Landrecies, Le Quesnoy-Est, Le Quesnoy-Ouest, Maubeuge, Solre-Libre, Trélon.

1910 : scission du canton de Maubeuge en Maubeuge-Nord et Maubeuge-Sud.

1958 : création du canton d'Hautmont.

En 1998 a été créé le parc naturel régional de l'Avesnois, regroupant tout l'arrondissement à l'exception du canton de Maubeuge-Nord (excepté Gognies-Chaussée) et des communes de Boussois, Cerfontaine, Louvroil, Recquignies et Rousies.

Composition

modifier

Composition de l'arrondissement depuis 2015

modifier

Composition de l'arrondissement avant le redécoupage cantonal de 2014

modifier

Découpage communal depuis 2015

modifier

Depuis 2015, le nombre de communes des arrondissements varie chaque année soit du fait du redécoupage cantonal de 2014 qui a conduit à l'ajustement de périmètres de certains arrondissements, soit à la suite de la création de communes nouvelles. Le nombre de communes de l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe reste quant à lui inchangé depuis 2015 et égal à 151.

Au , l'arrondissement groupe les 151 communes suivantes[7] :

  1. Aibes
  2. Amfroipret
  3. Anor
  4. Assevent
  5. Audignies
  6. Aulnoye-Aymeries
  7. Avesnelles
  8. Avesnes-sur-Helpe
  9. Bachant
  10. Baives
  11. Bas-Lieu
  12. Bavay
  13. Beaudignies
  14. Beaufort
  15. Beaurepaire-sur-Sambre
  16. Beaurieux
  17. Bellignies
  18. Bérelles
  19. Berlaimont
  20. Bermeries
  21. Bersillies
  22. Bettignies
  23. Bettrechies
  24. Beugnies
  25. Boulogne-sur-Helpe
  26. Bousies
  27. Bousignies-sur-Roc
  28. Boussières-sur-Sambre
  29. Boussois
  30. Bry
  31. Cartignies
  32. Cerfontaine
  33. Choisies
  34. Clairfayts
  35. Colleret
  36. Cousolre
  37. Croix-Caluyau
  38. Damousies
  39. Dimechaux
  40. Dimont
  41. Dompierre-sur-Helpe
  42. Dourlers
  43. Eccles
  44. Éclaibes
  45. Écuélin
  46. Élesmes
  47. Englefontaine
  48. Eppe-Sauvage
  49. Eth
  50. Étrœungt
  51. Le Favril
  52. Feignies
  53. Felleries
  54. Féron
  55. Ferrière-la-Grande
  56. Ferrière-la-Petite
  57. La Flamengrie
  58. Flaumont-Waudrechies
  59. Floursies
  60. Floyon
  61. Fontaine-au-Bois
  62. Forest-en-Cambrésis
  63. Fourmies
  64. Frasnoy
  65. Ghissignies
  66. Glageon
  67. Gognies-Chaussée
  68. Gommegnies
  69. Grand-Fayt
  70. Gussignies
  71. Hargnies
  72. Haut-Lieu
  73. Hautmont
  74. Hecq
  75. Hestrud
  76. Hon-Hergies
  77. Houdain-lez-Bavay
  78. Jenlain
  79. Jeumont
  80. Jolimetz
  81. Landrecies
  82. Larouillies
  83. Leval
  84. Lez-Fontaine
  85. Liessies
  86. Limont-Fontaine
  87. Locquignol
  88. La Longueville
  89. Louvignies-Quesnoy
  90. Louvroil
  91. Mairieux
  92. Marbaix
  93. Maresches
  94. Maroilles
  95. Marpent
  96. Maubeuge
  97. Mecquignies
  98. Monceau-Saint-Waast
  99. Moustier-en-Fagne
  100. Neuf-Mesnil
  101. Neuville-en-Avesnois
  102. Noyelles-sur-Sambre
  103. Obies
  104. Obrechies
  105. Ohain
  106. Orsinval
  107. Petit-Fayt
  108. Poix-du-Nord
  109. Pont-sur-Sambre
  110. Potelle
  111. Preux-au-Bois
  112. Preux-au-Sart
  113. Prisches
  114. Le Quesnoy
  115. Quiévelon
  116. Rainsars
  117. Ramousies
  118. Raucourt-au-Bois
  119. Recquignies
  120. Robersart
  121. Rousies
  122. Ruesnes
  123. Sains-du-Nord
  124. Saint-Aubin
  125. Saint-Hilaire-sur-Helpe
  126. Saint-Remy-Chaussée
  127. Saint-Remy-du-Nord
  128. Saint-Waast
  129. Salesches
  130. Sars-Poteries
  131. Sassegnies
  132. Sémeries
  133. Semousies
  134. Sepmeries
  135. Solre-le-Château
  136. Solrinnes
  137. Taisnières-en-Thiérache
  138. Taisnières-sur-Hon
  139. Trélon
  140. Vendegies-au-Bois
  141. Vieux-Mesnil
  142. Vieux-Reng
  143. Villereau
  144. Villers-Pol
  145. Villers-Sire-Nicole
  146. Wallers-en-Fagne
  147. Wargnies-le-Grand
  148. Wargnies-le-Petit
  149. Wattignies-la-Victoire
  150. Wignehies
  151. Willies

Sous-préfecture

modifier

Liste des sous-préfets d'Avesnes :

  • 1er sous-préfet : M. Théodore Marie Joseph Prissette (1765 Avesnes-1829), ex administrateur du département du Nord, sous-préfet à la création de l'arrondissement en prairial de l'an VIII, (1800), sous-préfet en 1806[8], en 1808[9], destitué au retour de Napoléon Ier , rétabli en 1815, chevalier de la Légion d'honneur en 1814[10].
  • ..e sous-préfet : M. Gase (???? - 1854)
  • ..e sous-préfet : Ernest Guillemin (1870)
  • ..e sous-préfet : M. Pasques (???? - 1883)
  • ..e sous-préfet : M. Mosset (???? - mars 1889)
  • ..e sous-préfet : Ferdinand Isaac (avril 1889 - 1891)
  • ..e sous-préfet : Adrien Letailleur (18 juin 1891 - 16 novembre 1895)
  • ..e sous-préfet : A. Milleteau (16 novembre 1895 - 19 juillet 1898)
  • ..e sous-préfet : Pierre Marie Blanc (19 juillet 1898-1903)
  • ..e sous-préfet : M. Charles (1903-1906)
  • ..e sous-préfet : M. Morice (1906-1907)
  • ..e sous-préfet : Jean-Marie Ducaud (26 février 1907-25 novembre 1911)
  • ..e sous-préfet : Maurice Anjubault (1911-1914)
  • ..e sous-préfet : Pierre Alfred Aantoine (15 novembre 1918-…)
  • ..e sous-préfet : Fernand Leroy (22 octobre 1920-13 février 1925)
  • ..e sous-préfet : J. Godefroy (1925-1927)
  • ..e sous-préfet : Henri Ferdinand Chéberry (13 décembre 1927-29 mars 1934)
  • ..e sous-préfet : J. E. Jossier (1934-1939)
  • ..e sous-préfet : Joseph Bernard (1947-1949)
  • ..e sous-préfet : Joseph Biehn (1949-1…)
  • ..e sous-préfet : Paul Adam (1957-1960)
  • ..e sous-préfet : Léon Barbier (1960-1967)
  • 44e sous-préfet : Yves Régenry (1967-1974)
  • 45e sous-préfet : Jacques Millorit (1974 - août 1978)
  • 46e sous-préfet : Claude Érignac (août 1978 - août 1981)
  • 47e sous-préfet : Jean Sarton du Jonchay (1981-…)
  • 48e sous-préfet : Xavier Bertrand (1983- …)
  • 49e sous-préfet : Emmanuel Karlin (1989- …)
  • 50e sous-préfet : Jean-Claude Giraud (1993- septembre 1996)
  • 51e sous-préfet : Philippe Faure (octobre 1996 - octobre 1998) - Décret du 27 septembre 1996
  • 52e sous-préfet : Paul Maurau (novembre 1998 - mai 2001) - Décret du 10 novembre 1998
  • 53e sous-préfet : Michel Jeanjean (juin 2001 - octobre 2005) - Décret du 29 mai 2001
  • 54e sous-préfet : François Lobit (novembre 2005 - décembre 2008) - Décret du 17 octobre 2005
  • 55e sous-préfet : Olivier André (janvier 2009 - janvier 2013) - Décret du 3 décembre 2008
  • 56e sous-préfet : Philippe Curé (février 2013 - décembre 2014) - Décret du 1er février 2013
  • 57e sous-préfet : Virginie Klès (janvier 2015 - août 2017) - Décret du 2 janvier 2015[11]
  • 58e sous-préfet : Alexander Grimaud (août 2017 - septembre 2020) - Décret du 2 août 2017
  • 59e sous-préfet : Corinne Simon (octobre 2020 - juillet 2023) - Décret du 13 octobre 2020
  • 60e sous-préfet : Hélène Demolombe-Tobie (depuis août 2023) - Décret du 2 août 2023

Démographie

modifier

En 2021, l'arrondissement comptait 225 391 habitants[Note 1].

Évolution de la population  [ modifier ]
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
239 613246 662251 746250 632245 460238 466234 656232 680230 372
2021 - - - - - - - -
225 391--------
(Sources : Base Insee, population sans doubles comptes à partir de 1962[12] puis population municipale à partir de 2006[13].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

Comparaison des pyramides des âges de l'arrondissement et du département du Nord en 2006 :

Pyramide des âges de l'Arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe en 2006[14] en pourcentage.
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ans et plus
0,8 
5,1 
75 à 89 ans
8,7 
11,5 
60 à 74 ans
12,9 
21,3 
45 à 59 ans
20,5 
20,1 
30 à 44 ans
19,2 
20,3 
15 à 29 ans
18,8 
21,6 
0 à 14 ans
19,1 
Pyramide des âges du Nord en 2006[15] en pourcentage.
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ans et plus
0,8 
4,3 
75 à 89 ans
7,9 
10,3 
60 à 74 ans
11,9 
19,7 
45 à 59 ans
19,4 
21,1 
30 à 44 ans
20,1 
22,6 
15 à 29 ans
21 
21,6 
0 à 14 ans
19 

Notes et références

modifier
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

modifier
  1. Rodolphe Dumouch, L'origine du bocage de l'Avesnois-Thiérache, (lire en ligne)
  2. Mézières S., « La formation du paysage en Avesnois au XVIIIe siècle », Noctuathène, revue de l’association « symbiose », Saint-Gérard, 2001
  3. « 5 pays à decouvrir », sur tourisme-nord.fr via Wikiwix (consulté le ).
  4. Voir la composition de chaque canton page 11 ici
  5. Le canton de Barbençon, avec ses cinq communes, a été cédé en 1816 à la Belgique. Voir le document des archives départementales, page 10 ici
  6. Voir la composition de chaque canton page 14 ici
  7. Insee, « Arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe (591) » (consulté le ).
  8. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le )
  9. « Annuaire du département du Nord pour l'année 1809. », sur lillonum.univ-lille.fr/, p. 42. Image 59.
  10. « PRISSETTE Théodore Marie », sur Base Léonore (consulté le ).
  11. « Prise de fonctions de Virginie Klès, Sous-préfète d'Avesnes-sur-Helpe », sur Préfecture du Nord,
  12. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  13. Fiches Insee - Populations légales de l'arrondissement pour les années 1968, 1975, 1982, 1990, 1999, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  14. « Pyramide des âges de l'Arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe en 2006 », sur site de l'INSEE (consulté le )
  15. « Pyramides des âges du département du Nord », sur site de l'INSEE

Voir aussi

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier