Trith-Saint-Léger
Trith-Saint-Léger est une commune française de la banlieue de Valenciennes, située sur le cours canalisé de l'Escaut, dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.
Trith-Saint-Léger | |||||
Mairie. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Valenciennes | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut | ||||
Maire Mandat |
Dominique Savary 2020-2026 |
||||
Code postal | 59125 | ||||
Code commune | 59603 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Trithois(e)(s) | ||||
Population municipale |
6 124 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 891 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
333 383 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 19′ 33″ nord, 3° 29′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 21 m Max. 81 m |
||||
Superficie | 6,87 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Valenciennes (partie française) (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Valenciennes (partie française) (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aulnoy-lez-Valenciennes | ||||
Législatives | Dix-neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | site de la mairie | ||||
modifier |
Au , la commune comptait 6 376 habitants appelés Trithois. Elle fait partie de la communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut, qui regroupe 39 communes et 143 786 habitants, en 2006.
Les habitants de la commune s'appellent des Trithois et/ou des Trithoises[1].
Géographie
modifierSituation
modifierTrith-Saint-Léger est située sur la départementale 59, entre Prouvy et Valenciennes, au sud-ouest de celle-ci. La commune inscrit son développement dans un schéma du développement urbain élaboré avec une forte dynamique de concertation.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Escaut canalisée, l'Etang de Trith, le ruisseau du Bois[2], divers bras de décharge amont rive gauche de l'écluse de Trith-saint-léger sur l'Escaut canalisée[3], divers bras de décharge aval rive gauche de l'écluse de Trith-saint-léger sur l'Escaut canalisée[4], la rivière la Rié[5] et divers autres petits cours d'eau[6],[Carte 1].
L'Escaut est un fleuve européen de 355 km de long, qui traverse trois pays (France, Belgique et Pays-Bas), avant de se jeter en mer du Nord. La partie canalisée en France relie Cambrai à , après avoir traversé 34 communes[7].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Trith (3,6 ha)[Carte 1],[8].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[9].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 4 km à vol d'oiseau[12], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1,4 | 3,3 | 5 | 8,4 | 11,4 | 13,5 | 13,2 | 10,7 | 8 | 4,4 | 2 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 3,9 | 4,5 | 7,4 | 10,1 | 13,6 | 16,6 | 18,7 | 18,6 | 15,5 | 11,7 | 7,3 | 4,5 | 11 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,4 | 7,6 | 11,4 | 15,1 | 18,8 | 21,9 | 24 | 24 | 20,4 | 15,5 | 10,2 | 6,9 | 15,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,9 07.01.09 |
−13,3 04.02.12 |
−11,9 13.03.13 |
−4,9 11.04.03 |
−1,1 06.05.19 |
1,1 02.06.06 |
5 31.07.15 |
5,6 20.08.14 |
−0,4 30.09.18 |
−6,2 24.10.03 |
−10,1 23.11.1998 |
−11,6 18.12.10 |
−14,9 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,3 09.01.15 |
19,2 26.02.19 |
23,9 31.03.21 |
28 20.04.18 |
31,2 29.05.17 |
35 28.06.11 |
40,9 25.07.19 |
37,2 12.08.03 |
34,8 15.09.20 |
28,6 01.10.11 |
21,8 12.11.1995 |
16,2 31.12.22 |
40,9 2019 |
Précipitations (mm) | 54,3 | 47,3 | 50,8 | 41,8 | 57,9 | 63,1 | 66,4 | 67,6 | 52,1 | 60,1 | 63,9 | 68,8 | 694,1 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Trith-Saint-Léger est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant 56 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[18]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (84,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (50,4 %), zones urbanisées (33,9 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), terres arables (4,1 %), prairies (0,7 %)[21]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communications et transports
modifierTrith-Saint-Léger dispose de deux gares ferroviaires sur son territoire :
- la gare de Trith-Saint-Léger desservie par des trains TER Hauts-de-France assurant des relations entre Valenciennes et Cambrai ;
- la gare du Poirier-Université desservie par des trains TER Hauts-de-France assurant des relations entre Lille et Maubeuge, Jeumont, Hirson et Charleville-Mézières.
La commune est également desservie par les lignes 30, S1 et A du réseau Transvilles.
Histoire
modifierEn 1170, le village établi sur les deux rives de l'Escaut s'appelait Pont-de-Trith (de trajectus, passage de cours d'eau). Un vieux pont recevait un chemin descendant de Famars et remontant directement vers le hameau de Saint-Léger qui portait le nom du martyr qui y souffrit.
Ce passage important se trouvait défendu par une forteresse qu'occupaient de puissants seigneurs. Parmi eux, Rénier de Trith qui participa aux croisades de Constantinople. C'est pour ses hauts faits d'armes en Orient que les descendants de Renier de Trith portèrent dans leurs armoiries « un croissant de gueules dans un champ d'argent ».
C'est au XIe siècle qu'il est fait mention de Trith dont les seigneurs étaient pairs du comté de Valenciennes. Riches et puissants, ils furent longtemps en guerre avec ceux d'Aulnoye jusqu'à ce que Baudouin V, Comte de Hainaut, les oblige à renoncer à leurs querelles en 1171.
À la fin du XIIe siècle, le château de Trith passe à la famille de Rœulx puis au Comte du Hainaut.
La houille, que l'on cherchait déjà à la fin du XVIIIe siècle et que l'on exploite en 1826, façonne ensuite le visage de Trith-Saint-Léger, ainsi que la sidérurgie.
La fosse « Ernest » était ouverte en 1826 à Trith (actuel territoire de La Sentinelle). On peut lire dans une statistique de 1832 : « il existe à Trith sept fosses à charbon des mines d'Anzin et… un établissement considérable contenant des forges et laminoirs à l'anglaise, où l'on étire les fers; plus une fonderie où l'on coule des pièces en fonte du poids de 12 à 15 000 livres. » Cet établissement avait été créé en 1823. La « Maison César Sirot », aujourd'hui Laminés Marchands Européens, société détenue par le groupe Beltrame et ArcelorMittal, y a été créée en 1875.
La commune, comme beaucoup d'autres de cette région, a été durement touchée par les séquelles économiques, sociales et environnementales de la mine, les séquelles de deux guerres mondiales puis de la crise de la sidérurgie (ex : fermeture du site métallurgique d'Usinor, qui en termes d'emploi n'a été que très partiellement compensée par l'installation de l'usine PSA Peugeot Citroën, et qui a laissé des sols pollués sur environ 30 ha[22] (gazomètre (aujourd'hui détruit), ancien crassier sidérurgique dont une partie est occupée par l'aciérie LME (USINOR - LME) qui a aussi « exploité une décharge interne pour le stockage de poussières d'aciérie jusqu'en juin 99 »)[23]. Ces sites sont à l'origine d'une pollution de la nappe des alluvions par des métaux lourds (plomb, chrome, arsenic issus de déchets industriels spéciaux, et des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).
La commune se relève progressivement de ces crises, en soutenant le développement culturel et en intégrant les principes du développement durable et de la construction de haute qualité environnementale dans ses nouveaux investissements.
Héraldique
modifierLes armes de la commune de Trith-Saint-Léger se blasonnent ainsi : |
Environnement
modifier
De nombreux sites industriels dégradés ou pollués ont fait l'objet (dans les communes et sa proche région) de démolitions et traitement (avec l'EPF souvent), ou font encore l'objet d'une surveillance.
La commune a construit une école HQE, maison de retraite spécialisée dans l'accueil et hébergement de personnes âgées dépendantes dessinée par l'architecte Jean-Luc Collet, créée avec le Sivom de Trith-Saint-Léger et environs[26],[25]. HQE avec puits thermique, vitrages spéciaux (récupérant l'énergie), mur végétalisé, puits de lumière, modules photovoltaïques, système innovant de climatisation, qui permettra à cet établissement de mieux réagir aux canicules, etc.
Culture et associations
modifierOutre les associations et les écoles, la Médiathèque Gustave Ansart, et le Théâtre des Forges René Carpentier sont les principaux supports de la vie culturelle de la commune. Le théâtre est une relique de l'architecture industrielle caractéristique qui s'est développée à partir du XIXe siècle jusqu'à l'entre-deux-guerres dans le bassin minier.
Natation sportive
modifierLa ville de Trith-Saint-Léger dispose d'une piscine composée de deux bassins. Le projet de rénovation de la piscine débutera au début de l'année 2015. Le club de natation sportive surnommé "Le Squale Trithois" participe à de nombreuses compétitions FSGT et quelques compétitions FFN.
Politique et administration
modifierEn 2011, la commune de Trith-Saint-Léger a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[27].
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierInstances judiciaires et administratives
modifierTrith-Saint-Léger relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2021, la commune comptait 6 124 habitants[Note 5], en évolution de −2,64 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population passe de 950 habitants en 1803 à 1 799 en 1842. Par contre, le territoire de la commune (1 064 ha en 1803) est amputé de La Sentinelle.
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 010 hommes pour 3 179 femmes, soit un taux de 51,37 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
modifier- La gare du Poirier-Université
- La gare de Trith-Saint-Léger
- Église Saint-Martin[39]
- Église Saint-Eloi dans le quartier du Poirier[40]
-
L'église Saint-Martin
-
L'église Saint-Éloi
-
La gare de Trith-Saint-Léger
-
La gare du Poirier-Université et le quartier attenant
Économie
modifier- Laminés Marchands Européens, aciérie et laminoirs
- Valdunes
- Usine PSA de Valenciennes (Boîtes de vitesses pour voitures Peugeot et Citroën)
Cadre de vie
modifierLa commune a été récompensée par une fleur au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[41] puis par une deuxième fleur l'année suivante[42].
Personnalités liées à la commune
modifier- Aimable : accordéoniste (de son vrai nom Aimable Pluchard, né le ).
- Daniel Leclercq : footballeur
- Jean-Pierre Papin : footballeur
- Patrick Jeskowiak : footballeur
- Jules Meriaux : entrepreneur
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Odette Hardy-Hémery, Trith-Saint-Léger du premier âge industriel à nos jours, Villeneuve d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », , 368 p. (ISBN 2-85939-768-X et 9782859397685, BNF 38931516, lire en ligne)
Articles connexes
modifier- Liste des communes du Nord
- Eustache V du Rœulx pair de la terre du Rœulx et de Trith
Liens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- communauté d'agglomération La Porte du Hainaut
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Valenciennes (partie française) comprend une ville-centre et 55 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Trith-Saint-Léger » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- habitants.fr, « Nom des habitants des communes françaises - Trith-Saint-Léger » (consulté le ).
- Sandre, « le ruisseau du Bois »
- Sandre, « divers bras de décharge amont rive gauche de l'écluse de Trith-saint-léger sur l'Escaut canalisée »
- Sandre, « divers bras de décharge aval rive gauche de l'écluse de Trith-saint-léger sur l'Escaut canalisée »
- Sandre, « la rivière la Rié »
- « Fiche communale de Trith-Saint-Léger », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « l'Escaut canalisée »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Escaut », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Trith-Saint-Léger et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Trith-Saint-Léger ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Base de données sols pollués
- Base de données BASOL (Décharge interne LME)
- d'argent au croissant de gueules « Copie archivée » (version du sur Internet Archive), sur le site labanquedublason2.com, non trouvé le 7 janvier 2013
- Jean-Luc Collet, "Ehpad Les Godenettes à Trith-Saint-Léger (59), Une démarche architecturale innovante pour l'accueil des personnes âgées". 11e congrès Manager le développement durable en établissement de santé, 5 avril 2011, Paris, in Techniques hospitalières no 728, juillet-août 2011, La revue des technologies de santé, p. 67-73.
- Document de présentation de l'EHPAD « Les Godenettes » (qui signifie « les lentilles d'eau » en patois local)
- N. G., « Villes Internet : 32 communes du Nord - Pas-de-Calais récompensées », La Voix du Nord, (consulté le ).
- Les maires de Trith-Saint-Léger, sur le site Geneawiki.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 279, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 152-153. Images 182-183..
- Notice GILLES Florent par Odette Hardy-Hémery, Yves Le Maner, version mise en ligne le 19 août 2009, dernière modification le 19 août 2009
- Condamné en juin 1997 pour prise illégale d'intérêts et abus de confiance, il est déclaré inéligible et donc contraint de démissionner de ses mandats de maire et de Conseiller général du canton de Valenciennes-Sud.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Trith-Saint-Léger (59603) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Site de la paroisse Saint Bernard de Fontenelle
- <site égliseinfo.catholique.fr
- Source : Villes et Villages Fleuris
- Source : « Villes et Villages Fleuris »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).