[go: nahoru, domu]

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prurit

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo

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Le rhume des foins et ses projections prurigineuses. (1)

prurit \pʁy.ʁit\ linô kôlï

  1. (Sêndânganga) särä, särängö-terê
    • Savant estimé, il avait attrapé une maladie de foie à manier les explosifs pendant la guerre et il était atteint de ce mal accablant : le prurit généralisé. Je lui avais passé une ordonnance à ce sujet de mon vieil ami le docteur Lamarre, de Saint-Germain, qui recommandait, à dose minime, le Rhus toxicodendron. — (Léon DaudetSouvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Député de Paris , Grasset, 1932, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 442)
    • Il se gratte le front qu'un prurit tenace ne cesse de taquiner, et où fleurissent des taches rougeâtres. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 257)
  2. (Zäzämä) yëngö-yê
    • Un prurit d’honneurs, d’ambition.
    • Elle en avait assez de cette vie solitaire, de cet éternel supplice de Tantale, de ce prurit invincible de caresses et d’or. — (Joris-Karl HuysmansMarthe, histoire d’une fille , 1877)
    • C’est aux récits de ma mère qu’il me faut remonter, quand il me prend, comme à tous ceux qui vieillissent, la hâte, le prurit de posséder les secrets d’un être à jamais dissous. — (ColetteSido , 1930, Fayard, lêmbëtï 85)
    • La Personne Royale avait suscité une sorte de prolifération générale des arts plastiques, un prurit de richesse et d’exaltation, dans une manière de ferveur précieuse.— (Jean de La VarendeVersailles , édition Henri Lefebvre, Paris, 1959, lêmbëtï 235)

Âlïndïpa

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