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Discussion:Jeanne d'Arc/LSV 14373

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Archivage de la discussion

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Cette page contient l'archivage de la discussion d'une proposition d'anecdote.

Flambée à l'Armagnac

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Validée Proposition validée. L’anecdote qui suit, proposée par Remietcolette, a été validée par Fanfwah et va être déplacée sur la page de préparation des publications, pour être ensuite insérée automatiquement sur la page d’accueil :
Jean Poton de Xaintrailles, gentilhomme gascon du parti des Armagnacs, compagnon d'armes de Jeanne d'Arc au siège d'Orléans.


Proposant : Remietcolette (discuter) 18 octobre 2017 à 22:08 (CEST)[répondre]

Discussion :
La référence aux Armagnacs se trouve dans la note 8 (ref n° 58) à la fin de la section Jeanne d'Arc#Chinon : « Les compagnons d'armes de Jeanne, les capitaines de ses compagnies, Jean Poton de Xaintrailles, La Hire, Thibault d'Armagnac, sont en effet choisis parmi les gascons du parti des Armagnacs parce que, disait-elle, « ils estaient tous soldats fols et adventureux qui ne voulaient pas rester rasibus des murailles pour esviter les traicts, mais allaient jouer de l'espée en pleins champs », ce qui lui valut d'être surnommée « l'Armagnacaise » et affublée d'un qualificatif injurieux par les Anglais lors du siège d'Orléans[1] ».

  1. Jules de Carsalade du Pont, « Gesta Johannæ per Vascones », Bulletin de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, Montauban, Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne,‎ , p. 127-133 (BNF 34430001, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica

La référence à François Villon se trouve dans la section Jeanne d'Arc#Reconnaissance littéraire et politique : « Villon mentionne en deux vers, parmi les Dames du temps jadis, « Jeanne la bonne Lorraine / Qu'Anglois brûlèrent à Rouen ». ». Bien cordialement. -- Remietcolette (discuter) 18 octobre 2017 à 22:36 (CEST)[répondre]

Demande : forme à retravailler. Sur le fond, ouaille note, mais le style allusif a la pruderie de sa source (de 1892 !), les auteurs plus récents mangent le morceau : « putain d'Armagnac » (Bordonove 61) ou « putain des Armagnacs » (Beaune 2013, parmi bien d'autres). --Fanfwah (discuter) 19 octobre 2017 à 01:31 (CEST)[répondre]
Allons-y pour « putain des Armagnacs ». Je garde mon évêque gascon, et j'ajoute en référence l'analyse de Colette Beaune même si elle écrit Armagnac avec un « s » (aurait-on idée d'ajouter un « s » aux Bourbon ?), reprenant sans doute là la forme ancienne d'Armignacz. On peut se garder pour plus tard cette autre anecdote : « Après avoir délivré Orléans avec Jeanne, Xaintrailles et La Hire ont dévasté la Lorraine avec les Écorcheurs ». Bien cordialement. -- Remietcolette (discuter) 19 octobre 2017 à 05:14 (CEST)[répondre]
Il me semble que le « s » correspond à l'usage dominant lorsqu'il s'agit non de la maison d'Armagnac au sens strict, mais plus largement du parti des Armagnacs. C'en tout cas ce qui ressort non seulement du titre de l'article WP correspondant, mais aussi de ceux de ses sources. --Fanfwah (discuter) 19 octobre 2017 à 11:32 (CEST)[répondre]
C'est bien sûr tout-à-fait exact et corrigé. Autant pour moi. Bien cordialement. -- Remietcolette (discuter) 19 octobre 2017 à 19:50 (CEST)[répondre]
Oui. Plus rien à redire. --Fanfwah (discuter) 19 octobre 2017 à 20:12 (CEST)[répondre]


Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot (10100111001) 21 octobre 2017 à 01:02 (CEST) [répondre]

Notification Remietcolette : ✔️ ton anecdote proposée le 2017-10-18 22:08:00 a été acceptée. GhosterBot (10100111001) 21 octobre 2017 à 01:02 (CEST)[répondre]